Marie Arconati-Visconti. La passion de la République

Par : Martine Poulain

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  • Nombre de pages352
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-13-085096-0
  • EAN9782130850960
  • Date de parution05/07/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurPUF

Résumé

Née sous la royauté, Marie Arconati Visconti meurt à 83 ans en 1923, en ayant traversé l'Empire, la République, deux guerres, dont une mondiale. Jeune fille libre que campent les Goncourt, elle se marie au jeune marquis Gianmartino Arconati Visconti, qui meurt trois ans plus tard, lui laissant une immense fortune. Fille d'Alphonse Peyrat, journaliste pauvre et inlassable opposant à l'Empire devenu député puis sénateur, elle voue une vénération à son père.  Misogyne, elle convie à sa table hommes politiques en vue et savants.
Liée jeune à Gambetta, elle reçoit Émile Combes, Joseph Reinach, Jean Jaurès, Henri Brisson et tant d'autres, qui débattent avec les professeurs Abel Lefranc, Joseph Bédier ou Gabriel Monod. Les « jeudistes » sont dreyfusards et Alfred Dreyfus sera des leurs. D'autres déjeuners dédiés au culte de l'art rassemblent conservateurs de musées et amateurs. Collectionneuse, elle multiplie les dons aux musées.
Soutenant les établissements d'enseignement supérieur, aidant ses amis à accéder aux plus hauts postes de la reconnaissance intellectuelle, elle fait de l'Université de Paris sa légataire universelle.
Née sous la royauté, Marie Arconati Visconti meurt à 83 ans en 1923, en ayant traversé l'Empire, la République, deux guerres, dont une mondiale. Jeune fille libre que campent les Goncourt, elle se marie au jeune marquis Gianmartino Arconati Visconti, qui meurt trois ans plus tard, lui laissant une immense fortune. Fille d'Alphonse Peyrat, journaliste pauvre et inlassable opposant à l'Empire devenu député puis sénateur, elle voue une vénération à son père.  Misogyne, elle convie à sa table hommes politiques en vue et savants.
Liée jeune à Gambetta, elle reçoit Émile Combes, Joseph Reinach, Jean Jaurès, Henri Brisson et tant d'autres, qui débattent avec les professeurs Abel Lefranc, Joseph Bédier ou Gabriel Monod. Les « jeudistes » sont dreyfusards et Alfred Dreyfus sera des leurs. D'autres déjeuners dédiés au culte de l'art rassemblent conservateurs de musées et amateurs. Collectionneuse, elle multiplie les dons aux musées.
Soutenant les établissements d'enseignement supérieur, aidant ses amis à accéder aux plus hauts postes de la reconnaissance intellectuelle, elle fait de l'Université de Paris sa légataire universelle.