Marche et invente ta vie. Adolescents en difficulté, ils se reconstruisent par une marche au long cours
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- Nombre de pages235
- FormatePub
- ISBN978-2-08-131323-1
- EAN9782081313231
- Date de parution11/02/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille737 Ko
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurArthaud
Résumé
Rebattre, entre 14 et 18 ans, les cartes de leurs vies un peu biseautées par des enfances brisées, c'est le contrat que Seuil, association atypique en France, propose à des adolescents égarés, embourbés dans des conflits familiaux, des bandes ou des séries de délits qui les ont conduits dans une impasse ou en prison.
Le contrat proposé est simple et brutal : marcher un peu moins de 2 000 kilomètres, sac au dos, pendant trois mois, par tous les temps et en toutes saisons, dans un pays étranger.
Et avec une contrainte terrible pour eux : ni musique, ni téléphone, ni internet pendant 110 jours ! À ce pari fou, une seule règle : c'est le jeune qui est maître de dire « j'arrête » ou « je continue ». Dans tous les cas, c'est son juge qui arbitrera. Ce qu'ils gagnent ? Une place dans la société qu'ils avaient rejetée. Douze ans après le premier départ, que sont devenus ces gamins perdus, ces possibles gibiers de potence ? Attention aux jugements hâtifs.
Ceux qui « ratent » une marche ne ratent pas obligatoirement leur réinsertion et ceux qui font une rechute ne ratent pas nécessairement leur vie. Pour savoir, il fallait les revoir, ceux qui ont « réussi » et ceux qui ont « échoué ».
Et avec une contrainte terrible pour eux : ni musique, ni téléphone, ni internet pendant 110 jours ! À ce pari fou, une seule règle : c'est le jeune qui est maître de dire « j'arrête » ou « je continue ». Dans tous les cas, c'est son juge qui arbitrera. Ce qu'ils gagnent ? Une place dans la société qu'ils avaient rejetée. Douze ans après le premier départ, que sont devenus ces gamins perdus, ces possibles gibiers de potence ? Attention aux jugements hâtifs.
Ceux qui « ratent » une marche ne ratent pas obligatoirement leur réinsertion et ceux qui font une rechute ne ratent pas nécessairement leur vie. Pour savoir, il fallait les revoir, ceux qui ont « réussi » et ceux qui ont « échoué ».
Rebattre, entre 14 et 18 ans, les cartes de leurs vies un peu biseautées par des enfances brisées, c'est le contrat que Seuil, association atypique en France, propose à des adolescents égarés, embourbés dans des conflits familiaux, des bandes ou des séries de délits qui les ont conduits dans une impasse ou en prison.
Le contrat proposé est simple et brutal : marcher un peu moins de 2 000 kilomètres, sac au dos, pendant trois mois, par tous les temps et en toutes saisons, dans un pays étranger.
Et avec une contrainte terrible pour eux : ni musique, ni téléphone, ni internet pendant 110 jours ! À ce pari fou, une seule règle : c'est le jeune qui est maître de dire « j'arrête » ou « je continue ». Dans tous les cas, c'est son juge qui arbitrera. Ce qu'ils gagnent ? Une place dans la société qu'ils avaient rejetée. Douze ans après le premier départ, que sont devenus ces gamins perdus, ces possibles gibiers de potence ? Attention aux jugements hâtifs.
Ceux qui « ratent » une marche ne ratent pas obligatoirement leur réinsertion et ceux qui font une rechute ne ratent pas nécessairement leur vie. Pour savoir, il fallait les revoir, ceux qui ont « réussi » et ceux qui ont « échoué ».
Et avec une contrainte terrible pour eux : ni musique, ni téléphone, ni internet pendant 110 jours ! À ce pari fou, une seule règle : c'est le jeune qui est maître de dire « j'arrête » ou « je continue ». Dans tous les cas, c'est son juge qui arbitrera. Ce qu'ils gagnent ? Une place dans la société qu'ils avaient rejetée. Douze ans après le premier départ, que sont devenus ces gamins perdus, ces possibles gibiers de potence ? Attention aux jugements hâtifs.
Ceux qui « ratent » une marche ne ratent pas obligatoirement leur réinsertion et ceux qui font une rechute ne ratent pas nécessairement leur vie. Pour savoir, il fallait les revoir, ceux qui ont « réussi » et ceux qui ont « échoué ».