Manhattan Folk Story

Par : Dave Van Ronk, Elijah Wald

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages325
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-14025-3
  • EAN9782221140253
  • Date de parution31/10/2013
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurRobert Laffont
  • TraducteurClaire Debru

Résumé

Les Mémoires du musicien culte qui a inspiré Inside Llewyn Davis aux frères Coen, Grand Prix du jury au festival de Cannes 2013 ; sur les écrans le 6 novembre 2013. Il a laissé son nom à une rue de Manhattan ; il était le gourou des guitaristes de sa génération ; il a enregistré une trentaine d'albums entre 1958 et 2002 ... et vous ne le connaissez pas. Dave Van Ronk, le " chanteur blanc à la voix noire ", a pourtant incarné durant plusieurs décennies, le folk américain le plus exigeant aux yeux des meilleurs, à commencer par Bob Dylan, qui prit quelques leçons avec lui et lui " emprunta " la version la plus célèbre de " The House of the Rising Sun ".
Ce livre est un événement : écrit par un musicien aussi modeste que grande gueule, il est le récit du New York folk des années 1950 à 1970. À l'opposé de l'autobiographie trafiquée d'une vedette aigrie, il retrace avec malice et franc-parler le parcours d'un amoureux du jazz passant par le blues avant de devenir le virtuose d'une musique par essence collective (entre " folks ", on propose une phrase et une mélodie que chacun répète et modifie).
Dès l'adolescence, Van Ronk adopte l'atmosphère de vie de bohème qui règne à Greenwich, quartier où se réfugient alors intellectuels, artistes, activistes divers et gauchistes. Il s'initie à la marijuana, vit de bric et de broc, bataille contre les Beatniks, envoie promener Albert Grossman, enregistre des premiers albums catastrophiques, hante la scène du Gaslight Café et rencontre les grands noms du blues et de la folk qu'il contribuera amplement à façonner.
Avec l'art du conteur qui a fait sa légende, il révèle ainsi les débuts chaotiques de Bob Dylan, Joan Baez, Tom Paxton, Gary Davis, Simon et Garfunkel, Mississippi John Hurt... et tant d'autres. Ami généreux ou insupportable puriste, il se fait constamment piller et ne s'en plaint jamais ; même quand il reste dans l'ornière, à dépendre de contrats mesquins. Loser ? Au-dessus de la mêlée, Van Ronk fait surtout figure d'incorruptible.
C'est en tout cas dans cet esprit que Joel et Ethan Coen ont conçu le personnage principal de leur film, Inside Llewyn Davis, dont l'odyssée s'inspire de celle de Dave Van Ronk.
Les Mémoires du musicien culte qui a inspiré Inside Llewyn Davis aux frères Coen, Grand Prix du jury au festival de Cannes 2013 ; sur les écrans le 6 novembre 2013. Il a laissé son nom à une rue de Manhattan ; il était le gourou des guitaristes de sa génération ; il a enregistré une trentaine d'albums entre 1958 et 2002 ... et vous ne le connaissez pas. Dave Van Ronk, le " chanteur blanc à la voix noire ", a pourtant incarné durant plusieurs décennies, le folk américain le plus exigeant aux yeux des meilleurs, à commencer par Bob Dylan, qui prit quelques leçons avec lui et lui " emprunta " la version la plus célèbre de " The House of the Rising Sun ".
Ce livre est un événement : écrit par un musicien aussi modeste que grande gueule, il est le récit du New York folk des années 1950 à 1970. À l'opposé de l'autobiographie trafiquée d'une vedette aigrie, il retrace avec malice et franc-parler le parcours d'un amoureux du jazz passant par le blues avant de devenir le virtuose d'une musique par essence collective (entre " folks ", on propose une phrase et une mélodie que chacun répète et modifie).
Dès l'adolescence, Van Ronk adopte l'atmosphère de vie de bohème qui règne à Greenwich, quartier où se réfugient alors intellectuels, artistes, activistes divers et gauchistes. Il s'initie à la marijuana, vit de bric et de broc, bataille contre les Beatniks, envoie promener Albert Grossman, enregistre des premiers albums catastrophiques, hante la scène du Gaslight Café et rencontre les grands noms du blues et de la folk qu'il contribuera amplement à façonner.
Avec l'art du conteur qui a fait sa légende, il révèle ainsi les débuts chaotiques de Bob Dylan, Joan Baez, Tom Paxton, Gary Davis, Simon et Garfunkel, Mississippi John Hurt... et tant d'autres. Ami généreux ou insupportable puriste, il se fait constamment piller et ne s'en plaint jamais ; même quand il reste dans l'ornière, à dépendre de contrats mesquins. Loser ? Au-dessus de la mêlée, Van Ronk fait surtout figure d'incorruptible.
C'est en tout cas dans cet esprit que Joel et Ethan Coen ont conçu le personnage principal de leur film, Inside Llewyn Davis, dont l'odyssée s'inspire de celle de Dave Van Ronk.