Main basse sur l'or de la France
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- Nombre de pages416
- FormatePub
- ISBN2-226-23528-0
- EAN9782226235282
- Date de parution10/09/1998
- Protection num.Adobe DRM
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
« 18 mars 1998 : à 11 000 kilomètres de Paris et 4 100 mètres d'altitude, me voilà en « Tintin » reporter au nord-est du Pérou, à Yanacocha, l'un des plus riches gisements d'or du monde. Mirifique filon bradé par la France en 1994, lors d'une privatisation truquée, sous le président François Mitterrand, le premier ministre Edouard Balladur et Claude Allègre, alors président du bureau de recherches géologiques et minières, le BRGM.
Scandale d État où l'on voit aussi, en 1997-1998, un « ami » du président de la République Jacques Chirac (et du président du conseil constitutionnel Roland Dumas) tenter de s'imposer comme « intermédiaire » dans cette ténébreuse affaire, à coups de « menaces », « d'intimidations », voire de « chantage ». A ce dossier exemplaire j'ai consacré neuf mois d'enquête en France, au Pérou et aux Etats-Unis.
Voici les pièces d'un puzzle financier et intercontinental, où les intérêts de la France ont été délibérément sacrifiés. Voici comment 800 tonnes d'or - 12 milliards de francs - sont partis en fumée. Un dossier brûlant, accablant, où la friponnerie et l'impunité cohabitent avec l'anonyme et affligeante irresponsabilité d'acteurs de premier plan. »
Scandale d État où l'on voit aussi, en 1997-1998, un « ami » du président de la République Jacques Chirac (et du président du conseil constitutionnel Roland Dumas) tenter de s'imposer comme « intermédiaire » dans cette ténébreuse affaire, à coups de « menaces », « d'intimidations », voire de « chantage ». A ce dossier exemplaire j'ai consacré neuf mois d'enquête en France, au Pérou et aux Etats-Unis.
Voici les pièces d'un puzzle financier et intercontinental, où les intérêts de la France ont été délibérément sacrifiés. Voici comment 800 tonnes d'or - 12 milliards de francs - sont partis en fumée. Un dossier brûlant, accablant, où la friponnerie et l'impunité cohabitent avec l'anonyme et affligeante irresponsabilité d'acteurs de premier plan. »
« 18 mars 1998 : à 11 000 kilomètres de Paris et 4 100 mètres d'altitude, me voilà en « Tintin » reporter au nord-est du Pérou, à Yanacocha, l'un des plus riches gisements d'or du monde. Mirifique filon bradé par la France en 1994, lors d'une privatisation truquée, sous le président François Mitterrand, le premier ministre Edouard Balladur et Claude Allègre, alors président du bureau de recherches géologiques et minières, le BRGM.
Scandale d État où l'on voit aussi, en 1997-1998, un « ami » du président de la République Jacques Chirac (et du président du conseil constitutionnel Roland Dumas) tenter de s'imposer comme « intermédiaire » dans cette ténébreuse affaire, à coups de « menaces », « d'intimidations », voire de « chantage ». A ce dossier exemplaire j'ai consacré neuf mois d'enquête en France, au Pérou et aux Etats-Unis.
Voici les pièces d'un puzzle financier et intercontinental, où les intérêts de la France ont été délibérément sacrifiés. Voici comment 800 tonnes d'or - 12 milliards de francs - sont partis en fumée. Un dossier brûlant, accablant, où la friponnerie et l'impunité cohabitent avec l'anonyme et affligeante irresponsabilité d'acteurs de premier plan. »
Scandale d État où l'on voit aussi, en 1997-1998, un « ami » du président de la République Jacques Chirac (et du président du conseil constitutionnel Roland Dumas) tenter de s'imposer comme « intermédiaire » dans cette ténébreuse affaire, à coups de « menaces », « d'intimidations », voire de « chantage ». A ce dossier exemplaire j'ai consacré neuf mois d'enquête en France, au Pérou et aux Etats-Unis.
Voici les pièces d'un puzzle financier et intercontinental, où les intérêts de la France ont été délibérément sacrifiés. Voici comment 800 tonnes d'or - 12 milliards de francs - sont partis en fumée. Un dossier brûlant, accablant, où la friponnerie et l'impunité cohabitent avec l'anonyme et affligeante irresponsabilité d'acteurs de premier plan. »