Magique système. L esclavage moderne des footballeurs africains
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- Nombre de pages184
- FormatePub
- ISBN978-2-501-13156-8
- EAN9782501131568
- Date de parution31/01/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille580 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMarabout
Résumé
Talentueux et bon marché, les footballeurs africains sont une aubaine pour lesclubs européens. Depuis l'arrêt Bosman, ils sont ainsi de plus en plus nombreuxà franchir la Méditerranée, prêts à tout accepter pour fuir la misère. Organisés en réseaux, de nombreux escrocs en profitent. Sillonnant le continent, ils promettent monts et merveilles à leurs jeunes victimes, avant de s'évanouirdans la nature avec les économies de toute une vie.
D'autres, plus structurés, servent de relais à des mastodontes aux moyens colossaux, qui ratissent l'Afriqueà la recherche de la nouvelle perle noire. Entre l'Afrique et l'Europe s'organise ainsi un système de traite particulièrementopaque, où le footballeur africain ne vaut guère plus qu'un simple kilo de coton oude cacao. Une marchandise extraite du continent, puis soumise à valorisation lelong d'une grande chaîne de valeur ajoutée de laquelle tout le monde ressortgagnant, sauf les principaux intéressés.
Pour tous ceux qui rêvaient de Ligue des champions, c'est la désillusion. Sanspapiers, trimballés de club en club, arnaqués à la chaîne et abandonnés par lesautorités, les jeunes rêveurs de Bamako, d'Abidjan ou de Kinshasa deviennent lesesclaves modernes d'une machine à briser les rêves et les destins.
D'autres, plus structurés, servent de relais à des mastodontes aux moyens colossaux, qui ratissent l'Afriqueà la recherche de la nouvelle perle noire. Entre l'Afrique et l'Europe s'organise ainsi un système de traite particulièrementopaque, où le footballeur africain ne vaut guère plus qu'un simple kilo de coton oude cacao. Une marchandise extraite du continent, puis soumise à valorisation lelong d'une grande chaîne de valeur ajoutée de laquelle tout le monde ressortgagnant, sauf les principaux intéressés.
Pour tous ceux qui rêvaient de Ligue des champions, c'est la désillusion. Sanspapiers, trimballés de club en club, arnaqués à la chaîne et abandonnés par lesautorités, les jeunes rêveurs de Bamako, d'Abidjan ou de Kinshasa deviennent lesesclaves modernes d'une machine à briser les rêves et les destins.
Talentueux et bon marché, les footballeurs africains sont une aubaine pour lesclubs européens. Depuis l'arrêt Bosman, ils sont ainsi de plus en plus nombreuxà franchir la Méditerranée, prêts à tout accepter pour fuir la misère. Organisés en réseaux, de nombreux escrocs en profitent. Sillonnant le continent, ils promettent monts et merveilles à leurs jeunes victimes, avant de s'évanouirdans la nature avec les économies de toute une vie.
D'autres, plus structurés, servent de relais à des mastodontes aux moyens colossaux, qui ratissent l'Afriqueà la recherche de la nouvelle perle noire. Entre l'Afrique et l'Europe s'organise ainsi un système de traite particulièrementopaque, où le footballeur africain ne vaut guère plus qu'un simple kilo de coton oude cacao. Une marchandise extraite du continent, puis soumise à valorisation lelong d'une grande chaîne de valeur ajoutée de laquelle tout le monde ressortgagnant, sauf les principaux intéressés.
Pour tous ceux qui rêvaient de Ligue des champions, c'est la désillusion. Sanspapiers, trimballés de club en club, arnaqués à la chaîne et abandonnés par lesautorités, les jeunes rêveurs de Bamako, d'Abidjan ou de Kinshasa deviennent lesesclaves modernes d'une machine à briser les rêves et les destins.
D'autres, plus structurés, servent de relais à des mastodontes aux moyens colossaux, qui ratissent l'Afriqueà la recherche de la nouvelle perle noire. Entre l'Afrique et l'Europe s'organise ainsi un système de traite particulièrementopaque, où le footballeur africain ne vaut guère plus qu'un simple kilo de coton oude cacao. Une marchandise extraite du continent, puis soumise à valorisation lelong d'une grande chaîne de valeur ajoutée de laquelle tout le monde ressortgagnant, sauf les principaux intéressés.
Pour tous ceux qui rêvaient de Ligue des champions, c'est la désillusion. Sanspapiers, trimballés de club en club, arnaqués à la chaîne et abandonnés par lesautorités, les jeunes rêveurs de Bamako, d'Abidjan ou de Kinshasa deviennent lesesclaves modernes d'une machine à briser les rêves et les destins.




