Magie et sortilèges dans l'Antiquité romaine. Archéologie des rituels et des images
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- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7145-7
- EAN9782705671457
- Date de parution27/09/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Criant, repoussant ou parfois plus discret, à mi-chemin entre clarté et monde infernal, les « objets magiques » antiques témoignent de rituels et se rattachent à tout un réseau de symboles puissants. Voués à la survie de l'individu ou à sa mise à mort, les rituels magiques opéraient en effet sur un terrain ambigu au moyen de stratégies complexes, exécutées dans le secret, en connivence avec les Enfers et l'âme des morts.
et de formules gravées sur du plomb, de sacrifices, de poupées fichées d'épingles. Étaient-ils efficaces ? Est-ce pour s'en protéger ou par peur du mauvais-oil que l'on portait-on des amulettes ? Que signifiaient-elles ? Quelle place allouer aux sources littéraires parodiant ou fustigeant la magie ? Quels rapports entretenaient les images, le rite d'envoûtement, les divinités et les démons hybrides invoqués à cette occasion ? L'image, le mot, le geste tiraient-ils leur pouvoir de fascination, leur puissance de leur action conjointe, de leur ambiguïté ? Qui pratiquait la magie ? Autant de questions que cet ouvrage se propose de poser en observant tour à tour des documents concrets de tradition gréco-romaine (monuments iconographiques, sources littéraires, vestiges de sacrifices.) et en soulignant l'importance de l'archéologie peu sollicitée en ce domaine.
et de formules gravées sur du plomb, de sacrifices, de poupées fichées d'épingles. Étaient-ils efficaces ? Est-ce pour s'en protéger ou par peur du mauvais-oil que l'on portait-on des amulettes ? Que signifiaient-elles ? Quelle place allouer aux sources littéraires parodiant ou fustigeant la magie ? Quels rapports entretenaient les images, le rite d'envoûtement, les divinités et les démons hybrides invoqués à cette occasion ? L'image, le mot, le geste tiraient-ils leur pouvoir de fascination, leur puissance de leur action conjointe, de leur ambiguïté ? Qui pratiquait la magie ? Autant de questions que cet ouvrage se propose de poser en observant tour à tour des documents concrets de tradition gréco-romaine (monuments iconographiques, sources littéraires, vestiges de sacrifices.) et en soulignant l'importance de l'archéologie peu sollicitée en ce domaine.
Criant, repoussant ou parfois plus discret, à mi-chemin entre clarté et monde infernal, les « objets magiques » antiques témoignent de rituels et se rattachent à tout un réseau de symboles puissants. Voués à la survie de l'individu ou à sa mise à mort, les rituels magiques opéraient en effet sur un terrain ambigu au moyen de stratégies complexes, exécutées dans le secret, en connivence avec les Enfers et l'âme des morts.
et de formules gravées sur du plomb, de sacrifices, de poupées fichées d'épingles. Étaient-ils efficaces ? Est-ce pour s'en protéger ou par peur du mauvais-oil que l'on portait-on des amulettes ? Que signifiaient-elles ? Quelle place allouer aux sources littéraires parodiant ou fustigeant la magie ? Quels rapports entretenaient les images, le rite d'envoûtement, les divinités et les démons hybrides invoqués à cette occasion ? L'image, le mot, le geste tiraient-ils leur pouvoir de fascination, leur puissance de leur action conjointe, de leur ambiguïté ? Qui pratiquait la magie ? Autant de questions que cet ouvrage se propose de poser en observant tour à tour des documents concrets de tradition gréco-romaine (monuments iconographiques, sources littéraires, vestiges de sacrifices.) et en soulignant l'importance de l'archéologie peu sollicitée en ce domaine.
et de formules gravées sur du plomb, de sacrifices, de poupées fichées d'épingles. Étaient-ils efficaces ? Est-ce pour s'en protéger ou par peur du mauvais-oil que l'on portait-on des amulettes ? Que signifiaient-elles ? Quelle place allouer aux sources littéraires parodiant ou fustigeant la magie ? Quels rapports entretenaient les images, le rite d'envoûtement, les divinités et les démons hybrides invoqués à cette occasion ? L'image, le mot, le geste tiraient-ils leur pouvoir de fascination, leur puissance de leur action conjointe, de leur ambiguïté ? Qui pratiquait la magie ? Autant de questions que cet ouvrage se propose de poser en observant tour à tour des documents concrets de tradition gréco-romaine (monuments iconographiques, sources littéraires, vestiges de sacrifices.) et en soulignant l'importance de l'archéologie peu sollicitée en ce domaine.