Maggie, une vie pour en finir

Par : Patrick Weber

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  • Nombre de pages350
  • FormatePub
  • ISBN978-2-259-26851-6
  • EAN9782259268516
  • Date de parution27/09/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurPlon

Résumé

A l'occasion du 100e anniversaire de la victoire de 1918, le roman de Maggie raconte le destin vrai d'une femme dont la vie a été bouleversée par la Première guerre mondiale. Les guerres sont propices à la naissance des grandes histoires d'amour. En période de conflit, on aime avec passion et rapidité, comme si chaque jour était le dernier. Des vies basculent au milieu des morts qui se succèdent.
La société change de visage et l'Europe se dirige, sans le savoir, vers un autre désastre. A l'occasion du centième anniversaire de la victoire de 1918, le roman de Maggie raconte le destin d'une femme dont la vie a été bouleversée par le conflit. On y retrouve l'esprit de Downton Abbey et celui de la jeunesse d'Agatha Christie qui se porta volontaire dans les hôpitaux et dont Maggie sera une fidèle lectrice.
Mais on y croise aussi les affres de la Seconde Guerre mondiale, l'ombre de la Guerre Froide et la folie consumériste qui caractérise les lendemains de conflit. Un monde jeté à terre n'a qu'une seule volonté, celle de renaître plus grand, plus beau et plus fort. Mais quand les " golden sixties " surgissent, il est trop tard pour les témoins des heures sombres. Ils incarnent des épisodes tragiques que chacun cherche à oublier. A travers la vie, les choix et la mort de Maggie, c'est l'histoire de ces innombrables femmes du XXe siècle qui s'incarne.
On les a un peu oubliées mais les femmes d'aujourd'hui leur doivent beaucoup. Parti sur les traces de sa grand-mère et de ses origines familiales, Patrick Weber nous conduit d'Altrincham à Manchester, de Londres à Bruxelles, d'Anvers aux camps de concentration allemands.
A l'occasion du 100e anniversaire de la victoire de 1918, le roman de Maggie raconte le destin vrai d'une femme dont la vie a été bouleversée par la Première guerre mondiale. Les guerres sont propices à la naissance des grandes histoires d'amour. En période de conflit, on aime avec passion et rapidité, comme si chaque jour était le dernier. Des vies basculent au milieu des morts qui se succèdent.
La société change de visage et l'Europe se dirige, sans le savoir, vers un autre désastre. A l'occasion du centième anniversaire de la victoire de 1918, le roman de Maggie raconte le destin d'une femme dont la vie a été bouleversée par le conflit. On y retrouve l'esprit de Downton Abbey et celui de la jeunesse d'Agatha Christie qui se porta volontaire dans les hôpitaux et dont Maggie sera une fidèle lectrice.
Mais on y croise aussi les affres de la Seconde Guerre mondiale, l'ombre de la Guerre Froide et la folie consumériste qui caractérise les lendemains de conflit. Un monde jeté à terre n'a qu'une seule volonté, celle de renaître plus grand, plus beau et plus fort. Mais quand les " golden sixties " surgissent, il est trop tard pour les témoins des heures sombres. Ils incarnent des épisodes tragiques que chacun cherche à oublier. A travers la vie, les choix et la mort de Maggie, c'est l'histoire de ces innombrables femmes du XXe siècle qui s'incarne.
On les a un peu oubliées mais les femmes d'aujourd'hui leur doivent beaucoup. Parti sur les traces de sa grand-mère et de ses origines familiales, Patrick Weber nous conduit d'Altrincham à Manchester, de Londres à Bruxelles, d'Anvers aux camps de concentration allemands.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Son souvenir est vivant
On dit souvent que nos morts, les personnes qui ont compté dans notre vie, que l’on ait pu les connaître ne serait-ce que partiellement du temps de leur vivant ou pas du tout, restent vivant dans nos cœurs et notre esprit. C’est indéniablement vrai en plus de souligner que pour les membres de sa propre famille, on porte en prime un peu de leurs gènes. Savoir tout cela peut suffire à beaucoup d’entre nous. D’autres vont avoir le désir d’aller encore plus loin pour des raisons qui leur seront très personnelles. Il y aura autant de motivations que de personnes concernées. « Maggie, une vie pour en finir » est un ouvrage sur la grand-mère de l’auteur, on est donc en plein dans le cas de figure des gens qui veulent aller plus loin que le simple rappel de souvenirs. Il faut dire aussi que n’ayant qu’entendu parler de cette Maggie par l’intermédiaire d’une tierce personne, les souvenirs étaient absents ou fabriqués par un seul récit. Un travail d’enquête fut donc nécessaire pour que puisse naître ce livre. Evidemment que pour chaque ouvrage, une certaine documentation est nécessaire, mais en l’occurrence, ce n’est pas tout à fait un roman qu’on a entre les mains. C’est plutôt une biographie partiellement romancée d’une femme ordinaire qui ne l’était pas pour sa famille et à laquelle nous aussi on peut s’attacher. Elle aurait pu être notre grand-mère aussi. On l’aimera ou pas. On oscillera parce qu’elle est humaine et nous aussi. On ne sera pas toujours d’accord avec ses choix, sa façon d’être, de faire, de penser… Tout cela est possible grâce à l’écriture de Patrick Weber qui fait que Maggie est bel et bien vivante dans les yeux du lecteur. On pourrait croire qu’il va être particulièrement ennuyeux de lire l’histoire de cette enfant, puis jeune fille, puis femme. Il n’en sera rien. Au début, le rythme est un peu lent, comme pour poser les bases, puis comme dans la vie réelle, le temps semble s’accélérer. Peut-être un peu trop et certains passages vont un peu vite en besogne. Cela nous laisse un peu sur notre faim, mais c’est peut-être la conséquence de recherches n’ayant pu aboutir ou de sources trop légères qui ont obligé l’auteur à faire des choix d’écriture ? On ne le saura jamais, mais en revanche, on finit par découvrir le secret de famille. Ce livre se lit aisément et vous fera passer quelques heures avec une femme qui a beaucoup vécu, trop sans doute et qui un jour fera un choix que tous ne comprendront pas. Avec ce récit, on peut mieux saisir pourquoi car une personne, l’auteur, a fournit l’effort de nous donner un maximum d’éléments pour ce faire. Maggie peut maintenant vivre encore un peu à travers la mémoire des lecteurs…
On dit souvent que nos morts, les personnes qui ont compté dans notre vie, que l’on ait pu les connaître ne serait-ce que partiellement du temps de leur vivant ou pas du tout, restent vivant dans nos cœurs et notre esprit. C’est indéniablement vrai en plus de souligner que pour les membres de sa propre famille, on porte en prime un peu de leurs gènes. Savoir tout cela peut suffire à beaucoup d’entre nous. D’autres vont avoir le désir d’aller encore plus loin pour des raisons qui leur seront très personnelles. Il y aura autant de motivations que de personnes concernées. « Maggie, une vie pour en finir » est un ouvrage sur la grand-mère de l’auteur, on est donc en plein dans le cas de figure des gens qui veulent aller plus loin que le simple rappel de souvenirs. Il faut dire aussi que n’ayant qu’entendu parler de cette Maggie par l’intermédiaire d’une tierce personne, les souvenirs étaient absents ou fabriqués par un seul récit. Un travail d’enquête fut donc nécessaire pour que puisse naître ce livre. Evidemment que pour chaque ouvrage, une certaine documentation est nécessaire, mais en l’occurrence, ce n’est pas tout à fait un roman qu’on a entre les mains. C’est plutôt une biographie partiellement romancée d’une femme ordinaire qui ne l’était pas pour sa famille et à laquelle nous aussi on peut s’attacher. Elle aurait pu être notre grand-mère aussi. On l’aimera ou pas. On oscillera parce qu’elle est humaine et nous aussi. On ne sera pas toujours d’accord avec ses choix, sa façon d’être, de faire, de penser… Tout cela est possible grâce à l’écriture de Patrick Weber qui fait que Maggie est bel et bien vivante dans les yeux du lecteur. On pourrait croire qu’il va être particulièrement ennuyeux de lire l’histoire de cette enfant, puis jeune fille, puis femme. Il n’en sera rien. Au début, le rythme est un peu lent, comme pour poser les bases, puis comme dans la vie réelle, le temps semble s’accélérer. Peut-être un peu trop et certains passages vont un peu vite en besogne. Cela nous laisse un peu sur notre faim, mais c’est peut-être la conséquence de recherches n’ayant pu aboutir ou de sources trop légères qui ont obligé l’auteur à faire des choix d’écriture ? On ne le saura jamais, mais en revanche, on finit par découvrir le secret de famille. Ce livre se lit aisément et vous fera passer quelques heures avec une femme qui a beaucoup vécu, trop sans doute et qui un jour fera un choix que tous ne comprendront pas. Avec ce récit, on peut mieux saisir pourquoi car une personne, l’auteur, a fournit l’effort de nous donner un maximum d’éléments pour ce faire. Maggie peut maintenant vivre encore un peu à travers la mémoire des lecteurs…
Une biographie doublement intéressante à lire.
Une biographie doublement intéressante à lire. Premièrement parce que comme toute bonne biographie elle nous apprend à connaître un personnage fort, fait de douleurs et de joies, et traversant une époque, pour le moins, chargée. Deuxièmement, parce que le dit personnage se trouve être la grand-mère maternelle de l’auteur. Ce second point donne une profondeur au roman que l’on obtient rarement dans ce genre d’ouvrages. Maggie n’est donc pas « seulement » une héroïne, elle est aussi le visage du passé de la famille de Patrick Weber et la personne qui, par son absence et son incroyable vécu a donné à l’auteur l’envie de nous raconter son histoire. Pour ce qui est du style employé, j’ai tout simplement adoré celui que ce prolifique écrivain a choisi d’adopter pour cette biographie ! Rien n’est figé, les phrases s’écoulent le plus naturellement du monde rendant la lecture très immersive. Le ton des protagonistes est d’un tel naturel qu’il nous permet souvent des sourires, ce qui, avouons-le, n’est pas courant dans ce genre de littérature. La grande et la petite Histoire s’entremêlent, de façon très poétique mais aussi très naturelle. Maggie, comme des millions d’autres femmes, a traversé une époque qui, en plus d’être celle du symbole de la violence des hommes entre eux, était aussi celle où être une femme forte était synonyme de combat quotidien. C’est donc avec un réel plaisir que nous suivons sa vie, souvent douloureuse, mais toujours infiniment riche d’expériences. Parce que c’est l’histoire d’une vie, marquées par de trop nombreux deuils insurmontables. Parce que c’est une véritable tranche de l’Histoire que nous vivons avec elle, de son enfance à sa vie durant deux guerres mondiales, et de celles-ci au milieu des années 60. Parce que c’est l’histoire d’une femme, incroyable forte, dont nous apprenons à connaître les faiblesses. C’est l’histoire d’une famille qui, à force de chagrins et de secrets, s’est dispersée aux quatre vents. C’est l’histoire que l’on conta à un jeune enfant à de nombreuses reprises, et qui une fois devenu auteur décida de combler les blancs et de nous la conter à son tour. Une histoire tragiquement belle. Une histoire à lire.
Une biographie doublement intéressante à lire. Premièrement parce que comme toute bonne biographie elle nous apprend à connaître un personnage fort, fait de douleurs et de joies, et traversant une époque, pour le moins, chargée. Deuxièmement, parce que le dit personnage se trouve être la grand-mère maternelle de l’auteur. Ce second point donne une profondeur au roman que l’on obtient rarement dans ce genre d’ouvrages. Maggie n’est donc pas « seulement » une héroïne, elle est aussi le visage du passé de la famille de Patrick Weber et la personne qui, par son absence et son incroyable vécu a donné à l’auteur l’envie de nous raconter son histoire. Pour ce qui est du style employé, j’ai tout simplement adoré celui que ce prolifique écrivain a choisi d’adopter pour cette biographie ! Rien n’est figé, les phrases s’écoulent le plus naturellement du monde rendant la lecture très immersive. Le ton des protagonistes est d’un tel naturel qu’il nous permet souvent des sourires, ce qui, avouons-le, n’est pas courant dans ce genre de littérature. La grande et la petite Histoire s’entremêlent, de façon très poétique mais aussi très naturelle. Maggie, comme des millions d’autres femmes, a traversé une époque qui, en plus d’être celle du symbole de la violence des hommes entre eux, était aussi celle où être une femme forte était synonyme de combat quotidien. C’est donc avec un réel plaisir que nous suivons sa vie, souvent douloureuse, mais toujours infiniment riche d’expériences. Parce que c’est l’histoire d’une vie, marquées par de trop nombreux deuils insurmontables. Parce que c’est une véritable tranche de l’Histoire que nous vivons avec elle, de son enfance à sa vie durant deux guerres mondiales, et de celles-ci au milieu des années 60. Parce que c’est l’histoire d’une femme, incroyable forte, dont nous apprenons à connaître les faiblesses. C’est l’histoire d’une famille qui, à force de chagrins et de secrets, s’est dispersée aux quatre vents. C’est l’histoire que l’on conta à un jeune enfant à de nombreuses reprises, et qui une fois devenu auteur décida de combler les blancs et de nous la conter à son tour. Une histoire tragiquement belle. Une histoire à lire.
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