Ma boite à outils pour la reprise. MA BOITE A OUTILS POUR LA REPRISE [NUM]
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- Nombre de pages128
- FormatePub
- ISBN978-2-7499-2866-1
- EAN9782749928661
- Date de parution23/03/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille494 Ko
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
Jean-Claude Bourrelier, quatrième enfant d'une famille pauvre de la Sarthe, muni curieusement de son seul CAP de charcutier, a bâti en quarante ans un empire du bricolage qui emploie près de 5 000 personnes. Sa volonté, sa « niaque » lui ont permis de surmonter non seulement son manque de diplômes mais aussi une demi-surdité qui n'a jamais freiné son optimisme, le moteur indispensable pour entreprendre.
Propriétaire d'un premier magasin à Paris dans les années 1970, il a peu à peu agrandi son groupe pour devenir le numéro 3 du bricolage en France, tout en ouvrant des magasins en Espagne et au Benelux. Travailleur acharné, défenseur de valeurs humanistes, respectueux et proche de ses collaborateurs - il « tourne » régulièrement dans ses magasins le dimanche, et prend en considération les requêtes de ses employés -, il cherche toujours à se former, à progresser quitte à se mettre en difficulté.
Jean-Claude Bourrelier incarne une nouvelle forme de capitalisme, à visage humain. La loi Macron vient de récompenser son combat pour l'ouverture des magasins le dimanche et fait plus que jamais de lui l'un des entrepreneurs français à suivre.
Propriétaire d'un premier magasin à Paris dans les années 1970, il a peu à peu agrandi son groupe pour devenir le numéro 3 du bricolage en France, tout en ouvrant des magasins en Espagne et au Benelux. Travailleur acharné, défenseur de valeurs humanistes, respectueux et proche de ses collaborateurs - il « tourne » régulièrement dans ses magasins le dimanche, et prend en considération les requêtes de ses employés -, il cherche toujours à se former, à progresser quitte à se mettre en difficulté.
Jean-Claude Bourrelier incarne une nouvelle forme de capitalisme, à visage humain. La loi Macron vient de récompenser son combat pour l'ouverture des magasins le dimanche et fait plus que jamais de lui l'un des entrepreneurs français à suivre.
Jean-Claude Bourrelier, quatrième enfant d'une famille pauvre de la Sarthe, muni curieusement de son seul CAP de charcutier, a bâti en quarante ans un empire du bricolage qui emploie près de 5 000 personnes. Sa volonté, sa « niaque » lui ont permis de surmonter non seulement son manque de diplômes mais aussi une demi-surdité qui n'a jamais freiné son optimisme, le moteur indispensable pour entreprendre.
Propriétaire d'un premier magasin à Paris dans les années 1970, il a peu à peu agrandi son groupe pour devenir le numéro 3 du bricolage en France, tout en ouvrant des magasins en Espagne et au Benelux. Travailleur acharné, défenseur de valeurs humanistes, respectueux et proche de ses collaborateurs - il « tourne » régulièrement dans ses magasins le dimanche, et prend en considération les requêtes de ses employés -, il cherche toujours à se former, à progresser quitte à se mettre en difficulté.
Jean-Claude Bourrelier incarne une nouvelle forme de capitalisme, à visage humain. La loi Macron vient de récompenser son combat pour l'ouverture des magasins le dimanche et fait plus que jamais de lui l'un des entrepreneurs français à suivre.
Propriétaire d'un premier magasin à Paris dans les années 1970, il a peu à peu agrandi son groupe pour devenir le numéro 3 du bricolage en France, tout en ouvrant des magasins en Espagne et au Benelux. Travailleur acharné, défenseur de valeurs humanistes, respectueux et proche de ses collaborateurs - il « tourne » régulièrement dans ses magasins le dimanche, et prend en considération les requêtes de ses employés -, il cherche toujours à se former, à progresser quitte à se mettre en difficulté.
Jean-Claude Bourrelier incarne une nouvelle forme de capitalisme, à visage humain. La loi Macron vient de récompenser son combat pour l'ouverture des magasins le dimanche et fait plus que jamais de lui l'un des entrepreneurs français à suivre.