Littératures en langues africaines. Production et diffusion
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- Nombre de pages362
- FormatPDF
- ISBN978-2-8111-1947-8
- EAN9782811119478
- Date de parution13/01/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurKarthala
Résumé
Les littératures en langues africaines sont encore mal connues, alors qu'elles sont riches et très diversifiées, réunissant aussi bien des productions orales que des productions écrites en plusieurs graphies.
Ce volume présente des études sur les littératures de treize pays : Algérie, Cameroun, Comores, Djibouti, Gabon, Madagascar, Mali, Niger, Nigéria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie et Tchad. Les langues concernées sont le bulu, le hausa, l'igbo, le kabyle, le kinyarwanda, le malgache, le mandingue, l'orungo, le peul, le shikomori, le somali, le swahili, le tupuri et le wolof.
Les vingt-deux contributions s'organisent selon deux problématiques : la production d'abord et la diffusion ensuite des littératures en langues africaines, en distinguant pour chacune d'elles l'oralité et la scripturalité pour s'intéresser également à l'articulation entre les deux modalités de communication.
Dans son introduction, Ursula Baumgardt définit le cadre théorique et méthodologique du projet pilote ELLAF (Encyclopédie des littératures en langues africaines) qui est à la source de l'ouvrage.
Elle contextualise ainsi la production de la littérature orale et de la néo-oralité, tout comme sa diffusion numérique et les manifestations de l'écriture littéraire dans toute sa richesse. L'articulation étroite entre littératures orales et littératures écrites en langues africaines constitue la grande originalité de ces travaux. Elle permet une approche différenciée des textes et contribue à poser les bases d'une comparaison des littératures en fonction de la langue de production et du mode de communication utilisés. En conclusion, il est proposé d'améliorer les structures d'édition et de diffusion de ces littératures, d'encourager leur transmission et leur enseignement.
Elle contextualise ainsi la production de la littérature orale et de la néo-oralité, tout comme sa diffusion numérique et les manifestations de l'écriture littéraire dans toute sa richesse. L'articulation étroite entre littératures orales et littératures écrites en langues africaines constitue la grande originalité de ces travaux. Elle permet une approche différenciée des textes et contribue à poser les bases d'une comparaison des littératures en fonction de la langue de production et du mode de communication utilisés. En conclusion, il est proposé d'améliorer les structures d'édition et de diffusion de ces littératures, d'encourager leur transmission et leur enseignement.
Les littératures en langues africaines sont encore mal connues, alors qu'elles sont riches et très diversifiées, réunissant aussi bien des productions orales que des productions écrites en plusieurs graphies.
Ce volume présente des études sur les littératures de treize pays : Algérie, Cameroun, Comores, Djibouti, Gabon, Madagascar, Mali, Niger, Nigéria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie et Tchad. Les langues concernées sont le bulu, le hausa, l'igbo, le kabyle, le kinyarwanda, le malgache, le mandingue, l'orungo, le peul, le shikomori, le somali, le swahili, le tupuri et le wolof.
Les vingt-deux contributions s'organisent selon deux problématiques : la production d'abord et la diffusion ensuite des littératures en langues africaines, en distinguant pour chacune d'elles l'oralité et la scripturalité pour s'intéresser également à l'articulation entre les deux modalités de communication.
Dans son introduction, Ursula Baumgardt définit le cadre théorique et méthodologique du projet pilote ELLAF (Encyclopédie des littératures en langues africaines) qui est à la source de l'ouvrage.
Elle contextualise ainsi la production de la littérature orale et de la néo-oralité, tout comme sa diffusion numérique et les manifestations de l'écriture littéraire dans toute sa richesse. L'articulation étroite entre littératures orales et littératures écrites en langues africaines constitue la grande originalité de ces travaux. Elle permet une approche différenciée des textes et contribue à poser les bases d'une comparaison des littératures en fonction de la langue de production et du mode de communication utilisés. En conclusion, il est proposé d'améliorer les structures d'édition et de diffusion de ces littératures, d'encourager leur transmission et leur enseignement.
Elle contextualise ainsi la production de la littérature orale et de la néo-oralité, tout comme sa diffusion numérique et les manifestations de l'écriture littéraire dans toute sa richesse. L'articulation étroite entre littératures orales et littératures écrites en langues africaines constitue la grande originalité de ces travaux. Elle permet une approche différenciée des textes et contribue à poser les bases d'une comparaison des littératures en fonction de la langue de production et du mode de communication utilisés. En conclusion, il est proposé d'améliorer les structures d'édition et de diffusion de ces littératures, d'encourager leur transmission et leur enseignement.
















