Lichtenberg
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- Nombre de pages170
- FormatePub
- ISBN978-2-84485-902-0
- EAN9782844859020
- Date de parution04/09/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille788 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Allia
Résumé
On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'influence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages.
On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg.
Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son ouvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sinologue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.
On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg.
Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son ouvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sinologue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.
On connaît mal Georg Christoph Lichtenberg (1746-1799) dans les pays de langue française : un littérateur marginal, croit-on savoir, auteur d'aphorismes, de paradoxes et d'observations amusantes. On ignore qu'il fut l'un des représentants les plus remarquables des Lumières en Allemagne et à sa façon l'un des plus profonds, dont l'influence a été secrète mais continue depuis deux cents ans. Ses Cahiers, tenus de 1764 à 1799, dans lesquels il notait au jour le jour tout ce qui lui passait par la tête, sont devenus un classique d'environ 1600 pages.
On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg.
Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son ouvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sinologue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.
On y voit un esprit d'une qualité rare s'interroger et se parler à lui-même sur tous les sujets qui l'intéressent. Les deux anthologies de ses Cahiers publiées à ce jour en France, celle de Marthe Robert (1947) et celle de Charles Le Blanc (1997), laissent trop à désirer. Elles ne donnent aucune idée du charme de sa prose, de son agilité intellectuelle et de la profondeur de sa pensée. Jean François Billeter, qui pratique Lichtenberg depuis longtemps et qui est lui-même de langue française et allemande, s'est proposé de combler cette lacune en prenant le parti de réunir et de traduire les passages des Cahiers qui ont le plus retenu son attention au fil des années, et de présenter au lecteur français son Lichtenberg.
Il a ajouté un aperçu de la vie de cet auteur, un aperçu de son ouvre et un bref essai où il explique les raisons qu'il a eues, lui le sinologue, de s'intéresser à cet esprit exceptionnel.
















