Lettres de Rome (1808-1810). La Rome pontificale sous l'occupation napoléonienne
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages152
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-344-0486-5
- EAN9791034404865
- Date de parution26/02/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Strasb...
- Commentateur (texte)Nicolas Bourguinat
- Commentateur (texte)Hélène Risch
Résumé
Traduit ici pour la première fois en français, ce livre fit sensation en Europe en 1816 à sa première publication, et fit comparer son auteur à Madame de Staël. Il est ici accompagné d'un commentaire et d'une annotation qui en éclairent la portée pour le lecteur d'aujourd'hui : reprenant la forme classique du journal par lettres, le texte a l'apparence d'anecdotes de voyage centrées sur la Rome pontificale des années 1808-1810, mais Friederike Brun le transforme en une méditation politique et y développe une critique radicale du despotisme napoléonien.
Elle tient la chronique de la vie des communautés d'expatriés allemands, rapporte l'hostilité de la population et du clergé de Rome au nouveau pouvoir imposé par les Français, et éclaire d'un jour sombre les premiers temps de la domination napoléonienne dans la Ville Éternelle, sous les ordres du préfet Tournon et du général Miollis. À l'arrivée, la protestante danoise dresse un émouvant éloge du pape Pie VII, considéré tout à la fois comme victime de l'arbitraire et comme symbole de la résistance passive au tyran, et elle appelle de ses voux le retour de l'Europe à la liberté.
Elle tient la chronique de la vie des communautés d'expatriés allemands, rapporte l'hostilité de la population et du clergé de Rome au nouveau pouvoir imposé par les Français, et éclaire d'un jour sombre les premiers temps de la domination napoléonienne dans la Ville Éternelle, sous les ordres du préfet Tournon et du général Miollis. À l'arrivée, la protestante danoise dresse un émouvant éloge du pape Pie VII, considéré tout à la fois comme victime de l'arbitraire et comme symbole de la résistance passive au tyran, et elle appelle de ses voux le retour de l'Europe à la liberté.
Traduit ici pour la première fois en français, ce livre fit sensation en Europe en 1816 à sa première publication, et fit comparer son auteur à Madame de Staël. Il est ici accompagné d'un commentaire et d'une annotation qui en éclairent la portée pour le lecteur d'aujourd'hui : reprenant la forme classique du journal par lettres, le texte a l'apparence d'anecdotes de voyage centrées sur la Rome pontificale des années 1808-1810, mais Friederike Brun le transforme en une méditation politique et y développe une critique radicale du despotisme napoléonien.
Elle tient la chronique de la vie des communautés d'expatriés allemands, rapporte l'hostilité de la population et du clergé de Rome au nouveau pouvoir imposé par les Français, et éclaire d'un jour sombre les premiers temps de la domination napoléonienne dans la Ville Éternelle, sous les ordres du préfet Tournon et du général Miollis. À l'arrivée, la protestante danoise dresse un émouvant éloge du pape Pie VII, considéré tout à la fois comme victime de l'arbitraire et comme symbole de la résistance passive au tyran, et elle appelle de ses voux le retour de l'Europe à la liberté.
Elle tient la chronique de la vie des communautés d'expatriés allemands, rapporte l'hostilité de la population et du clergé de Rome au nouveau pouvoir imposé par les Français, et éclaire d'un jour sombre les premiers temps de la domination napoléonienne dans la Ville Éternelle, sous les ordres du préfet Tournon et du général Miollis. À l'arrivée, la protestante danoise dresse un émouvant éloge du pape Pie VII, considéré tout à la fois comme victime de l'arbitraire et comme symbole de la résistance passive au tyran, et elle appelle de ses voux le retour de l'Europe à la liberté.