Lettres d'un diplomate en Chine au début du XXe siècle. Hong Kong, Hai Nan, Yunnana (1901-1909)
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- Nombre de pages320
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45664-8
- EAN9782296456648
- Date de parution01/02/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Tiré de la correspondance du grand-père maternel de l'auteur, Raphaël Réau, cet ouvrage est la suite de Jeune Diplomate au Siam (1894-1900). Alors que les pressions des Puissances accélèrent le déclin de la dynastie mandchoue, il décrit la vie professionnelle et familiale d'un jeune ménage et de ses deux filles au cours de ses trois affectations successives en Chine de 1900 à 1908. Il permet de prendre conscience de l'ampleur inimaginable des changements intervenus dans les conditions de vie en à peine un siècle.
L'île de Hong Kong, depuis 1842 sous souveraineté anglaise, était un havre de paix et une base d'action des révolutionnaires chinois. Le consulat géré par Raphaël était alors le poste le plus proche de la zone d'influence française récemment créée en Asie par l'Union indochinoise. La position stratégique, face au Tonkin, de la grande île chinoise de Hai Nan, où il fut ensuite vice-consul, suscitait des convoitises.
Celles-ci provoquaient, sur son éventuelle conquête, des divergences franco-françaises que l'on retrouvait, amplifiées, sur la province chinoise du Yunnan, où Raphaël allait gérer le consulat de Mongtseu. Car, à l'immense défi technique que représentait la construction, par la France, d'un chemin de fer reliant Hanoi à Yunnanfu, s'ajoutaient avec les Chinois des difficultés d'ordre aussi bien politique que technique et sécuritaire, soulevées par cet immense chantier, dans une région hostile à bien des points de vue.
L'île de Hong Kong, depuis 1842 sous souveraineté anglaise, était un havre de paix et une base d'action des révolutionnaires chinois. Le consulat géré par Raphaël était alors le poste le plus proche de la zone d'influence française récemment créée en Asie par l'Union indochinoise. La position stratégique, face au Tonkin, de la grande île chinoise de Hai Nan, où il fut ensuite vice-consul, suscitait des convoitises.
Celles-ci provoquaient, sur son éventuelle conquête, des divergences franco-françaises que l'on retrouvait, amplifiées, sur la province chinoise du Yunnan, où Raphaël allait gérer le consulat de Mongtseu. Car, à l'immense défi technique que représentait la construction, par la France, d'un chemin de fer reliant Hanoi à Yunnanfu, s'ajoutaient avec les Chinois des difficultés d'ordre aussi bien politique que technique et sécuritaire, soulevées par cet immense chantier, dans une région hostile à bien des points de vue.
Tiré de la correspondance du grand-père maternel de l'auteur, Raphaël Réau, cet ouvrage est la suite de Jeune Diplomate au Siam (1894-1900). Alors que les pressions des Puissances accélèrent le déclin de la dynastie mandchoue, il décrit la vie professionnelle et familiale d'un jeune ménage et de ses deux filles au cours de ses trois affectations successives en Chine de 1900 à 1908. Il permet de prendre conscience de l'ampleur inimaginable des changements intervenus dans les conditions de vie en à peine un siècle.
L'île de Hong Kong, depuis 1842 sous souveraineté anglaise, était un havre de paix et une base d'action des révolutionnaires chinois. Le consulat géré par Raphaël était alors le poste le plus proche de la zone d'influence française récemment créée en Asie par l'Union indochinoise. La position stratégique, face au Tonkin, de la grande île chinoise de Hai Nan, où il fut ensuite vice-consul, suscitait des convoitises.
Celles-ci provoquaient, sur son éventuelle conquête, des divergences franco-françaises que l'on retrouvait, amplifiées, sur la province chinoise du Yunnan, où Raphaël allait gérer le consulat de Mongtseu. Car, à l'immense défi technique que représentait la construction, par la France, d'un chemin de fer reliant Hanoi à Yunnanfu, s'ajoutaient avec les Chinois des difficultés d'ordre aussi bien politique que technique et sécuritaire, soulevées par cet immense chantier, dans une région hostile à bien des points de vue.
L'île de Hong Kong, depuis 1842 sous souveraineté anglaise, était un havre de paix et une base d'action des révolutionnaires chinois. Le consulat géré par Raphaël était alors le poste le plus proche de la zone d'influence française récemment créée en Asie par l'Union indochinoise. La position stratégique, face au Tonkin, de la grande île chinoise de Hai Nan, où il fut ensuite vice-consul, suscitait des convoitises.
Celles-ci provoquaient, sur son éventuelle conquête, des divergences franco-françaises que l'on retrouvait, amplifiées, sur la province chinoise du Yunnan, où Raphaël allait gérer le consulat de Mongtseu. Car, à l'immense défi technique que représentait la construction, par la France, d'un chemin de fer reliant Hanoi à Yunnanfu, s'ajoutaient avec les Chinois des difficultés d'ordre aussi bien politique que technique et sécuritaire, soulevées par cet immense chantier, dans une région hostile à bien des points de vue.