Lettre ouverte à ceux qui en ont plus qu'assez du socialisme
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- Nombre de pages183
- FormatPDF
- ISBN2-402-50543-5
- EAN9782402505437
- Date de parution01/01/1985
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille44 Mo
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Albi...
Résumé
Jusqu'ici, lorsque la gauche et les socialistes arrivaient au pouvoir, ils n'y restaient pas davantage que deux ans. Ce qui leur suffisait, d'ailleurs, pour déjà faire un maximum de bêtises et fournir largement la preuve de leurs incapacités. Mais enfin, le moment venu, ils savaient s'effacer. Le centre ou la droite s'efforçaient alors de limiter les dégâts. Voilà ce qui se passa en 1926, 1934 et 1938.
Cette fois, la gauche et les socialistes auront tenu près de cinq ans. Ils l'ont dû, bien sûr, aux institutions de la Ve République dont ils n'avaient jamais cessé de dire pis que pendre avant d'en profiter au maximum. Durant leur long exercice du pouvoir, il va pourtant de soi qu'ils ont eu le temps de faire beaucoup plus de mal que leurs aînés en deux ans. En écrivant cette lettre ouverte, j'ai donc essayé de dresser un bilan de la désastreuse gestion qui fut celle de notre pays depuis le printemps 1981.
Et de dire à la gauche ses quatre vérités. Quelques autres aussi d'ailleurs. Mais je me suis également demandé si cette funeste expérience ne présentait pas une sorte de nécessité. Pour enfin exorciser la France de l'insidieuse tentation du socialisme. M. D.
Cette fois, la gauche et les socialistes auront tenu près de cinq ans. Ils l'ont dû, bien sûr, aux institutions de la Ve République dont ils n'avaient jamais cessé de dire pis que pendre avant d'en profiter au maximum. Durant leur long exercice du pouvoir, il va pourtant de soi qu'ils ont eu le temps de faire beaucoup plus de mal que leurs aînés en deux ans. En écrivant cette lettre ouverte, j'ai donc essayé de dresser un bilan de la désastreuse gestion qui fut celle de notre pays depuis le printemps 1981.
Et de dire à la gauche ses quatre vérités. Quelques autres aussi d'ailleurs. Mais je me suis également demandé si cette funeste expérience ne présentait pas une sorte de nécessité. Pour enfin exorciser la France de l'insidieuse tentation du socialisme. M. D.
Jusqu'ici, lorsque la gauche et les socialistes arrivaient au pouvoir, ils n'y restaient pas davantage que deux ans. Ce qui leur suffisait, d'ailleurs, pour déjà faire un maximum de bêtises et fournir largement la preuve de leurs incapacités. Mais enfin, le moment venu, ils savaient s'effacer. Le centre ou la droite s'efforçaient alors de limiter les dégâts. Voilà ce qui se passa en 1926, 1934 et 1938.
Cette fois, la gauche et les socialistes auront tenu près de cinq ans. Ils l'ont dû, bien sûr, aux institutions de la Ve République dont ils n'avaient jamais cessé de dire pis que pendre avant d'en profiter au maximum. Durant leur long exercice du pouvoir, il va pourtant de soi qu'ils ont eu le temps de faire beaucoup plus de mal que leurs aînés en deux ans. En écrivant cette lettre ouverte, j'ai donc essayé de dresser un bilan de la désastreuse gestion qui fut celle de notre pays depuis le printemps 1981.
Et de dire à la gauche ses quatre vérités. Quelques autres aussi d'ailleurs. Mais je me suis également demandé si cette funeste expérience ne présentait pas une sorte de nécessité. Pour enfin exorciser la France de l'insidieuse tentation du socialisme. M. D.
Cette fois, la gauche et les socialistes auront tenu près de cinq ans. Ils l'ont dû, bien sûr, aux institutions de la Ve République dont ils n'avaient jamais cessé de dire pis que pendre avant d'en profiter au maximum. Durant leur long exercice du pouvoir, il va pourtant de soi qu'ils ont eu le temps de faire beaucoup plus de mal que leurs aînés en deux ans. En écrivant cette lettre ouverte, j'ai donc essayé de dresser un bilan de la désastreuse gestion qui fut celle de notre pays depuis le printemps 1981.
Et de dire à la gauche ses quatre vérités. Quelques autres aussi d'ailleurs. Mais je me suis également demandé si cette funeste expérience ne présentait pas une sorte de nécessité. Pour enfin exorciser la France de l'insidieuse tentation du socialisme. M. D.