Lettre de Mandiargues

Par : Sophie Laroque-Texier

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  • Nombre de pages276
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-38773-X
  • EAN9782296387737
  • Date de parution01/02/2005
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

André Pieyre de Mandiargues (1909-1991) commence à écrire vers 1935 les poèmes de L'Âge de craie. Entre l'étude et le lectures, il voyage en Europe et dans l'Orient méditerranéen et publie son premier livre en 1943, Dans les années sordides, recueil de poèmes en prose et de petits contes. Dès lors, il ne cessera d'écrire. Le prix des Critiques lui est décerné pour Soleil des loups (1951), celui de la Nouvelle pour Feu de braise (1961) et en 1967, le prix Goncourt est attribué à La Marge.
Cette lecture interroge tous les écrits de Mandiargues : poème, conte, récit, théâtre et essai à partir de la poétique, et montre en quoi cet ensemble importe comme œuvre. Elle analyse l'imagination qui détermine une relation au monde de nature fortement visuelle et la singularité d'une parole incarnée. L'étude découvre une dynamique de la contradiction qui s'exprime dans une esthétique de l'oscillation et de l'écart dont l'originalité et la grandeur résident dans une sorte de tension, sans résolution, qui se constitue en espace littéraire de révérence.
André Pieyre de Mandiargues (1909-1991) commence à écrire vers 1935 les poèmes de L'Âge de craie. Entre l'étude et le lectures, il voyage en Europe et dans l'Orient méditerranéen et publie son premier livre en 1943, Dans les années sordides, recueil de poèmes en prose et de petits contes. Dès lors, il ne cessera d'écrire. Le prix des Critiques lui est décerné pour Soleil des loups (1951), celui de la Nouvelle pour Feu de braise (1961) et en 1967, le prix Goncourt est attribué à La Marge.
Cette lecture interroge tous les écrits de Mandiargues : poème, conte, récit, théâtre et essai à partir de la poétique, et montre en quoi cet ensemble importe comme œuvre. Elle analyse l'imagination qui détermine une relation au monde de nature fortement visuelle et la singularité d'une parole incarnée. L'étude découvre une dynamique de la contradiction qui s'exprime dans une esthétique de l'oscillation et de l'écart dont l'originalité et la grandeur résident dans une sorte de tension, sans résolution, qui se constitue en espace littéraire de révérence.
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