Les victimes sont nos enfants
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- Nombre de pages124
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-97455-90-3
- EAN9791097455903
- Date de parution14/07/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurCent Mille Milliards
Résumé
Benoît Lugan plonge au cour des réalités de la guerre pour mettre des mots sur un paradoxe qui perdure encore aujourd'hui : les humains sont fascinés par elle, bien qu'elle broie et dévore hommes, femmes, enfants... Entre beauté et horreur, Les victimes sont nos enfants révèle un mal propre à la race humaine : jouer sa vie pour les beaux yeux de la guerre.
Les dix nouvelles nous plongent directement au cour des batailles, des élans patriotiques et des peurs des combattants.
Des affrontements napoléoniens aux drônes, Benoît Lugan explore le fléau de la guerre sous toutes ces formes et interroge cet étrange paradoxe : l'être humain ne rejette pas toujours la violence et s'accommode de la mort. Il montre des hommes et des femmes pris dans une exaltation et une fascination incontrôlables. Il en reste pourtant des êtres humains broyés par les traumatismes et la dureté de la guerre. Après Le crayon de Dieu n'a pas de gomme et Des lits de marbre, allongés sous les arbres, l'auteur continue d'explorer l'âme humaine.
Le style précis et lumineux de Benoît Lugan exprime avec talent la beauté et l'horreur de la violence dans laquelle nous tombons inexorablement. Les nouvelles courtes et rapides s'enchaînent tels des combats rapprochés, et nous nous retrouvons, personnages ou lecteurs, pris au piège de la réalité fascinante de la mort.
Des affrontements napoléoniens aux drônes, Benoît Lugan explore le fléau de la guerre sous toutes ces formes et interroge cet étrange paradoxe : l'être humain ne rejette pas toujours la violence et s'accommode de la mort. Il montre des hommes et des femmes pris dans une exaltation et une fascination incontrôlables. Il en reste pourtant des êtres humains broyés par les traumatismes et la dureté de la guerre. Après Le crayon de Dieu n'a pas de gomme et Des lits de marbre, allongés sous les arbres, l'auteur continue d'explorer l'âme humaine.
Le style précis et lumineux de Benoît Lugan exprime avec talent la beauté et l'horreur de la violence dans laquelle nous tombons inexorablement. Les nouvelles courtes et rapides s'enchaînent tels des combats rapprochés, et nous nous retrouvons, personnages ou lecteurs, pris au piège de la réalité fascinante de la mort.
Benoît Lugan plonge au cour des réalités de la guerre pour mettre des mots sur un paradoxe qui perdure encore aujourd'hui : les humains sont fascinés par elle, bien qu'elle broie et dévore hommes, femmes, enfants... Entre beauté et horreur, Les victimes sont nos enfants révèle un mal propre à la race humaine : jouer sa vie pour les beaux yeux de la guerre.
Les dix nouvelles nous plongent directement au cour des batailles, des élans patriotiques et des peurs des combattants.
Des affrontements napoléoniens aux drônes, Benoît Lugan explore le fléau de la guerre sous toutes ces formes et interroge cet étrange paradoxe : l'être humain ne rejette pas toujours la violence et s'accommode de la mort. Il montre des hommes et des femmes pris dans une exaltation et une fascination incontrôlables. Il en reste pourtant des êtres humains broyés par les traumatismes et la dureté de la guerre. Après Le crayon de Dieu n'a pas de gomme et Des lits de marbre, allongés sous les arbres, l'auteur continue d'explorer l'âme humaine.
Le style précis et lumineux de Benoît Lugan exprime avec talent la beauté et l'horreur de la violence dans laquelle nous tombons inexorablement. Les nouvelles courtes et rapides s'enchaînent tels des combats rapprochés, et nous nous retrouvons, personnages ou lecteurs, pris au piège de la réalité fascinante de la mort.
Des affrontements napoléoniens aux drônes, Benoît Lugan explore le fléau de la guerre sous toutes ces formes et interroge cet étrange paradoxe : l'être humain ne rejette pas toujours la violence et s'accommode de la mort. Il montre des hommes et des femmes pris dans une exaltation et une fascination incontrôlables. Il en reste pourtant des êtres humains broyés par les traumatismes et la dureté de la guerre. Après Le crayon de Dieu n'a pas de gomme et Des lits de marbre, allongés sous les arbres, l'auteur continue d'explorer l'âme humaine.
Le style précis et lumineux de Benoît Lugan exprime avec talent la beauté et l'horreur de la violence dans laquelle nous tombons inexorablement. Les nouvelles courtes et rapides s'enchaînent tels des combats rapprochés, et nous nous retrouvons, personnages ou lecteurs, pris au piège de la réalité fascinante de la mort.