Les tiges de mil et les pattes du héron. Lire et traduire les poésies orientales Volume 2 (2010 - 2012)
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- Nombre de pages464
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-271-13000-6
- EAN9782271130006
- Date de parution27/11/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurCNRS Éditions via OpenEdition
Résumé
Comment traduire le poème oriental ? Comment transposer les profondeurs de la psyché humaine exprimées dans des langues, des formes, une pensée même, qui n'ont rien d'équivalent avec celles du français ? Selon quels critères ? Les auteurs de cet ouvrage répondent à ces interrogations en distinguant les éléments qui font la valeur esthétique de l'original. Pour eux, le traducteur recourt d'abord à l'analyse des jeux de composition, des modalités d'expression, des formes et des images qui jouent un rôle-clé dans l'univers de signification de l'original.
Ayant acquis une connaissance intime du texte, il peut alors établir une relation cohérente entre le système de composition du poème et celui qui constitue le fond stylistique de la littérature de référence. Ces modèles, fort éloignés des théories littéraires que l'on connaît en Occident, constituent le « fonds » de l'imagination créatrice qu'il va mettre au service de la traduction. En essayant de mettre en relation deux modèles stylistiques, deux contextes linguistiques, culturels et langagiers, voire deux univers civilisationnels, le traducteur peut espérer satisfaire au goût esthétique du lecteur et lui donner à voir, à sentir et à aimer, à travers la traduction, les beautés du poème original, sa poésie.
Second volet d'une recherche menée au sein du Réseau Asie « Lire et traduire les poésies orientales » (2005-2012), ce volume continue l'exploration du thème de l'amour, base anthropologique commune des ouvres étudiées ; le champ d'études se limite aux poésies prémodernes de l'Asie orientale (chinois, coréen, japonais, vietnamien), de l'Inde (avhadi, kannada, sanskrit, ourdou, télougou) et de la Perse ; les travaux se développent à travers une discussion entre des praticiens de la traduction et des spécialistes du langage.
Ayant acquis une connaissance intime du texte, il peut alors établir une relation cohérente entre le système de composition du poème et celui qui constitue le fond stylistique de la littérature de référence. Ces modèles, fort éloignés des théories littéraires que l'on connaît en Occident, constituent le « fonds » de l'imagination créatrice qu'il va mettre au service de la traduction. En essayant de mettre en relation deux modèles stylistiques, deux contextes linguistiques, culturels et langagiers, voire deux univers civilisationnels, le traducteur peut espérer satisfaire au goût esthétique du lecteur et lui donner à voir, à sentir et à aimer, à travers la traduction, les beautés du poème original, sa poésie.
Second volet d'une recherche menée au sein du Réseau Asie « Lire et traduire les poésies orientales » (2005-2012), ce volume continue l'exploration du thème de l'amour, base anthropologique commune des ouvres étudiées ; le champ d'études se limite aux poésies prémodernes de l'Asie orientale (chinois, coréen, japonais, vietnamien), de l'Inde (avhadi, kannada, sanskrit, ourdou, télougou) et de la Perse ; les travaux se développent à travers une discussion entre des praticiens de la traduction et des spécialistes du langage.
Comment traduire le poème oriental ? Comment transposer les profondeurs de la psyché humaine exprimées dans des langues, des formes, une pensée même, qui n'ont rien d'équivalent avec celles du français ? Selon quels critères ? Les auteurs de cet ouvrage répondent à ces interrogations en distinguant les éléments qui font la valeur esthétique de l'original. Pour eux, le traducteur recourt d'abord à l'analyse des jeux de composition, des modalités d'expression, des formes et des images qui jouent un rôle-clé dans l'univers de signification de l'original.
Ayant acquis une connaissance intime du texte, il peut alors établir une relation cohérente entre le système de composition du poème et celui qui constitue le fond stylistique de la littérature de référence. Ces modèles, fort éloignés des théories littéraires que l'on connaît en Occident, constituent le « fonds » de l'imagination créatrice qu'il va mettre au service de la traduction. En essayant de mettre en relation deux modèles stylistiques, deux contextes linguistiques, culturels et langagiers, voire deux univers civilisationnels, le traducteur peut espérer satisfaire au goût esthétique du lecteur et lui donner à voir, à sentir et à aimer, à travers la traduction, les beautés du poème original, sa poésie.
Second volet d'une recherche menée au sein du Réseau Asie « Lire et traduire les poésies orientales » (2005-2012), ce volume continue l'exploration du thème de l'amour, base anthropologique commune des ouvres étudiées ; le champ d'études se limite aux poésies prémodernes de l'Asie orientale (chinois, coréen, japonais, vietnamien), de l'Inde (avhadi, kannada, sanskrit, ourdou, télougou) et de la Perse ; les travaux se développent à travers une discussion entre des praticiens de la traduction et des spécialistes du langage.
Ayant acquis une connaissance intime du texte, il peut alors établir une relation cohérente entre le système de composition du poème et celui qui constitue le fond stylistique de la littérature de référence. Ces modèles, fort éloignés des théories littéraires que l'on connaît en Occident, constituent le « fonds » de l'imagination créatrice qu'il va mettre au service de la traduction. En essayant de mettre en relation deux modèles stylistiques, deux contextes linguistiques, culturels et langagiers, voire deux univers civilisationnels, le traducteur peut espérer satisfaire au goût esthétique du lecteur et lui donner à voir, à sentir et à aimer, à travers la traduction, les beautés du poème original, sa poésie.
Second volet d'une recherche menée au sein du Réseau Asie « Lire et traduire les poésies orientales » (2005-2012), ce volume continue l'exploration du thème de l'amour, base anthropologique commune des ouvres étudiées ; le champ d'études se limite aux poésies prémodernes de l'Asie orientale (chinois, coréen, japonais, vietnamien), de l'Inde (avhadi, kannada, sanskrit, ourdou, télougou) et de la Perse ; les travaux se développent à travers une discussion entre des praticiens de la traduction et des spécialistes du langage.








