Les Terres d'Or
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- Nombre de pages170
- FormatePub
- ISBN978-2-322-16410-3
- EAN9782322164103
- Date de parution12/10/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Bien loin de la civilisation, s'étendent à l'infini, dans les vastes Amériques, des plaines immenses entrecoupées de prairies, plus immenses encore. C'est, ou plutôt c'était le territoire Indien. Ces terres d'or, convoitées par d'acharnés aventuriers, sont devenues la proie du premier occupant; elles ont été divisées, morcelées, mises en lambeaux par leurs insatiables hôtes: la solitude a été mise au pillage; chacun a voulu avoir sa part à la curée.
Arpenteurs, spéculateurs, locataires, fermiers, trafiquants, forestiers, chasseurs, et par dessus tout chercheurs d'aventures, se sont abattus par légions sur le patrimoine Indien et s'en sont emparés violemment, par doit de conquête. Les enfants perdus de la civilisation se sont installés là comme chez eux, et bientôt les noms de Kansas, de Nebraska, sont devenus aussi familiers que ceux de New York, Londres ou Paris: les Pawnies, les Ottawas, les Ottoes, les Kickappos, les Puncas, toutes les peuplades aborigènes ont disparu successivement comme des foyers éteints, refoulés par l'incessante et implacable pression des Faces-Pâles.
Des ogres au désert; des oiseaux de proie; d'insolents usurpateurs; des voleurs sans retenue et sans conscience; les Blancs ont été tout cela et pis encore dans ce malheureux Nouveau Monde qui aurait bien voulu rester toujours inconnu......
Arpenteurs, spéculateurs, locataires, fermiers, trafiquants, forestiers, chasseurs, et par dessus tout chercheurs d'aventures, se sont abattus par légions sur le patrimoine Indien et s'en sont emparés violemment, par doit de conquête. Les enfants perdus de la civilisation se sont installés là comme chez eux, et bientôt les noms de Kansas, de Nebraska, sont devenus aussi familiers que ceux de New York, Londres ou Paris: les Pawnies, les Ottawas, les Ottoes, les Kickappos, les Puncas, toutes les peuplades aborigènes ont disparu successivement comme des foyers éteints, refoulés par l'incessante et implacable pression des Faces-Pâles.
Des ogres au désert; des oiseaux de proie; d'insolents usurpateurs; des voleurs sans retenue et sans conscience; les Blancs ont été tout cela et pis encore dans ce malheureux Nouveau Monde qui aurait bien voulu rester toujours inconnu......
Bien loin de la civilisation, s'étendent à l'infini, dans les vastes Amériques, des plaines immenses entrecoupées de prairies, plus immenses encore. C'est, ou plutôt c'était le territoire Indien. Ces terres d'or, convoitées par d'acharnés aventuriers, sont devenues la proie du premier occupant; elles ont été divisées, morcelées, mises en lambeaux par leurs insatiables hôtes: la solitude a été mise au pillage; chacun a voulu avoir sa part à la curée.
Arpenteurs, spéculateurs, locataires, fermiers, trafiquants, forestiers, chasseurs, et par dessus tout chercheurs d'aventures, se sont abattus par légions sur le patrimoine Indien et s'en sont emparés violemment, par doit de conquête. Les enfants perdus de la civilisation se sont installés là comme chez eux, et bientôt les noms de Kansas, de Nebraska, sont devenus aussi familiers que ceux de New York, Londres ou Paris: les Pawnies, les Ottawas, les Ottoes, les Kickappos, les Puncas, toutes les peuplades aborigènes ont disparu successivement comme des foyers éteints, refoulés par l'incessante et implacable pression des Faces-Pâles.
Des ogres au désert; des oiseaux de proie; d'insolents usurpateurs; des voleurs sans retenue et sans conscience; les Blancs ont été tout cela et pis encore dans ce malheureux Nouveau Monde qui aurait bien voulu rester toujours inconnu......
Arpenteurs, spéculateurs, locataires, fermiers, trafiquants, forestiers, chasseurs, et par dessus tout chercheurs d'aventures, se sont abattus par légions sur le patrimoine Indien et s'en sont emparés violemment, par doit de conquête. Les enfants perdus de la civilisation se sont installés là comme chez eux, et bientôt les noms de Kansas, de Nebraska, sont devenus aussi familiers que ceux de New York, Londres ou Paris: les Pawnies, les Ottawas, les Ottoes, les Kickappos, les Puncas, toutes les peuplades aborigènes ont disparu successivement comme des foyers éteints, refoulés par l'incessante et implacable pression des Faces-Pâles.
Des ogres au désert; des oiseaux de proie; d'insolents usurpateurs; des voleurs sans retenue et sans conscience; les Blancs ont été tout cela et pis encore dans ce malheureux Nouveau Monde qui aurait bien voulu rester toujours inconnu......