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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-213-68401-7
- EAN9782213684017
- Date de parution22/01/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille305 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
« Je ne considère pas le titre d'Amériques comme purement géographique, mais comme symbole de découvertes - de nouveaux mondes sur terre, dans le ciel, ou dans l'esprit des hommes », écrivait Edgard Varèse. Le rôle qu'ont joué les États-Unis dans la constitution d'une nouveauté en musique est l'objet de cet ouvrage. On y voit que le Nouveau Monde, en se fondant sur sa culture populaire, a maintenu des liens plus ou moins étroits avec l'ancien.
L'émancipation progressive se réalise dans l'ouvre de compositeurs fondateurs (Charles Ives, George Gershwin notamment) ainsi que dans la création d'un genre spécifique, la comédie musicale, qui se développe jusqu'à Hollywood et rayonne dans le monde entier. À la suite de Gershwin et Copland, Leonard Bernstein réalise l'idéal d'une synthèse entre genre populaire (jazz, musical) et musique savante.
Les échanges sont incessants : terre d'immigration, les États-Unis accueillent de nombreux musiciens (interprètes ou compositeurs) victimes des totalitarismes; des Américains viennent se former en Europe ; des Fondations commandent des ouvres qui enrichissent le répertoire. La modernité du langage s'exprime également sous diverses formes, d'Elliott Carter à John Cage, jusqu'aux plus récents John Adams, Philip Glass ou Steve Reich.
Nicolas Southon est docteur en musicologie et ancien élève du Conservatoire de Paris. Ses travaux portent sur la musique en France aux XIXe et XXe siècles, en particulier sur Poulenc, dont il a publié les écrits, et Fauré.
L'émancipation progressive se réalise dans l'ouvre de compositeurs fondateurs (Charles Ives, George Gershwin notamment) ainsi que dans la création d'un genre spécifique, la comédie musicale, qui se développe jusqu'à Hollywood et rayonne dans le monde entier. À la suite de Gershwin et Copland, Leonard Bernstein réalise l'idéal d'une synthèse entre genre populaire (jazz, musical) et musique savante.
Les échanges sont incessants : terre d'immigration, les États-Unis accueillent de nombreux musiciens (interprètes ou compositeurs) victimes des totalitarismes; des Américains viennent se former en Europe ; des Fondations commandent des ouvres qui enrichissent le répertoire. La modernité du langage s'exprime également sous diverses formes, d'Elliott Carter à John Cage, jusqu'aux plus récents John Adams, Philip Glass ou Steve Reich.
Nicolas Southon est docteur en musicologie et ancien élève du Conservatoire de Paris. Ses travaux portent sur la musique en France aux XIXe et XXe siècles, en particulier sur Poulenc, dont il a publié les écrits, et Fauré.
« Je ne considère pas le titre d'Amériques comme purement géographique, mais comme symbole de découvertes - de nouveaux mondes sur terre, dans le ciel, ou dans l'esprit des hommes », écrivait Edgard Varèse. Le rôle qu'ont joué les États-Unis dans la constitution d'une nouveauté en musique est l'objet de cet ouvrage. On y voit que le Nouveau Monde, en se fondant sur sa culture populaire, a maintenu des liens plus ou moins étroits avec l'ancien.
L'émancipation progressive se réalise dans l'ouvre de compositeurs fondateurs (Charles Ives, George Gershwin notamment) ainsi que dans la création d'un genre spécifique, la comédie musicale, qui se développe jusqu'à Hollywood et rayonne dans le monde entier. À la suite de Gershwin et Copland, Leonard Bernstein réalise l'idéal d'une synthèse entre genre populaire (jazz, musical) et musique savante.
Les échanges sont incessants : terre d'immigration, les États-Unis accueillent de nombreux musiciens (interprètes ou compositeurs) victimes des totalitarismes; des Américains viennent se former en Europe ; des Fondations commandent des ouvres qui enrichissent le répertoire. La modernité du langage s'exprime également sous diverses formes, d'Elliott Carter à John Cage, jusqu'aux plus récents John Adams, Philip Glass ou Steve Reich.
Nicolas Southon est docteur en musicologie et ancien élève du Conservatoire de Paris. Ses travaux portent sur la musique en France aux XIXe et XXe siècles, en particulier sur Poulenc, dont il a publié les écrits, et Fauré.
L'émancipation progressive se réalise dans l'ouvre de compositeurs fondateurs (Charles Ives, George Gershwin notamment) ainsi que dans la création d'un genre spécifique, la comédie musicale, qui se développe jusqu'à Hollywood et rayonne dans le monde entier. À la suite de Gershwin et Copland, Leonard Bernstein réalise l'idéal d'une synthèse entre genre populaire (jazz, musical) et musique savante.
Les échanges sont incessants : terre d'immigration, les États-Unis accueillent de nombreux musiciens (interprètes ou compositeurs) victimes des totalitarismes; des Américains viennent se former en Europe ; des Fondations commandent des ouvres qui enrichissent le répertoire. La modernité du langage s'exprime également sous diverses formes, d'Elliott Carter à John Cage, jusqu'aux plus récents John Adams, Philip Glass ou Steve Reich.
Nicolas Southon est docteur en musicologie et ancien élève du Conservatoire de Paris. Ses travaux portent sur la musique en France aux XIXe et XXe siècles, en particulier sur Poulenc, dont il a publié les écrits, et Fauré.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
1/5
“ D'un ennui... ”
Style pédant et universitaire de l'auteur qui s'ennuie lui-même de cette histoire mal relatée de la musique aux USA. Succession de titres, références de dictionnaire, des notes et des notes, etc. très cher pour 15€
inutile et encombrant !
Style pédant et universitaire de l'auteur qui s'ennuie lui-même de cette histoire mal relatée de la musique aux USA. Succession de titres, références de dictionnaire, des notes et des notes, etc. très cher pour 15€
inutile et encombrant !
1/5
“ Décevant et indigeste ”
L'auteur tente ici de dresser un "panorama" de cette formidable histoire de la musique américaine. L'ensemble est au demeurant décevant : on passe d'un compositeur à un autre, les références s'accumulent en italique sans véritable intérêt - autre que celui de citer ou de mentionner pour justifier le titre "panorama". Pire qu'un dictionnaire aussi car là il n'y a rien qui puisse nous surprendre et le style est simplement... Universitaire. Ne vous attendez pas à une "histoire de la musique" mais plutôt à une succession de noms. Enfin, au bout de plusieurs pages l'auteur semble lui même s'ennuyer de cette thématique et donne l'illusion d'y connaître quelque chose en donnant des noms d'oeuvres et d'auteurs puisés dans des encyclopédies. 15€ pour un livre qui ne les vaut pas. SVP DECITRE remboursez moi
L'auteur tente ici de dresser un "panorama" de cette formidable histoire de la musique américaine. L'ensemble est au demeurant décevant : on passe d'un compositeur à un autre, les références s'accumulent en italique sans véritable intérêt - autre que celui de citer ou de mentionner pour justifier le titre "panorama". Pire qu'un dictionnaire aussi car là il n'y a rien qui puisse nous surprendre et le style est simplement... Universitaire. Ne vous attendez pas à une "histoire de la musique" mais plutôt à une succession de noms. Enfin, au bout de plusieurs pages l'auteur semble lui même s'ennuyer de cette thématique et donne l'illusion d'y connaître quelque chose en donnant des noms d'oeuvres et d'auteurs puisés dans des encyclopédies. 15€ pour un livre qui ne les vaut pas. SVP DECITRE remboursez moi
