Les sens du vote. Une enquête sociologique (France, 2011-2014)
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- Nombre de pages230
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-6292-9
- EAN9782753562929
- Date de parution28/05/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Que savons-nous des électeurs ? Tantôt honorés comme les garants de la démocratie, tantôt dénigrés pour leur apathie, parfois dénoncés pour leurs choix irrationnels ou soupçonnés de se laisser trop aisément séduire par les sirènes populistes, les électeurs des démocraties contemporaines font l'objet d'analyses contradictoires et leurs choix paraissent aujourd'hui plus mystérieux que jamais. La science électorale qui a construit, en France et aux États-Unis, de solides modèles d'interprétation du vote semble elle-même partiellement désarmée.
Face à un électeur qui se donne désormais à voir comme plus versatile et moins prévisible, plus critique à l'égard du politique et qui donne moins aveuglément sa voix à ses représentants, les enquêtes par sondage paraissent de moins en moins susceptibles d'éclairer les racines sociales du vote et de comprendre les mécanismes des choix électoraux. Une équipe de politistes et de sociologues français a mené pendant trois ans une enquête inédite : suivre et interroger tout au long de la campagne de l'élection présidentielle et des législatives de 2012, 69 électeurs représentant une certaine diversité de la population française.
Jeunes des classes populaires scolarisés en lycée professionnel et « bourgeois » des beaux quartiers, professeurs et entrepreneurs, salariés des petites classes moyennes et cadres de la finance ou de l'industrie du luxe ont ainsi été longuement interrogés, avant, pendant et après ces échéances électorales majeures. Ces centaines d'heures d'entretiens constituent un témoignage inédit des perceptions du politique, des campagnes électorales et des élections par ces Français ordinaires.
Elles permettent surtout de revisiter ce que nous croyons savoir du vote et de la politisation et de proposer une sociologie compréhensive des choix électoraux qui restitue la diversité des sens du vote dans les démocraties contemporaines.
Face à un électeur qui se donne désormais à voir comme plus versatile et moins prévisible, plus critique à l'égard du politique et qui donne moins aveuglément sa voix à ses représentants, les enquêtes par sondage paraissent de moins en moins susceptibles d'éclairer les racines sociales du vote et de comprendre les mécanismes des choix électoraux. Une équipe de politistes et de sociologues français a mené pendant trois ans une enquête inédite : suivre et interroger tout au long de la campagne de l'élection présidentielle et des législatives de 2012, 69 électeurs représentant une certaine diversité de la population française.
Jeunes des classes populaires scolarisés en lycée professionnel et « bourgeois » des beaux quartiers, professeurs et entrepreneurs, salariés des petites classes moyennes et cadres de la finance ou de l'industrie du luxe ont ainsi été longuement interrogés, avant, pendant et après ces échéances électorales majeures. Ces centaines d'heures d'entretiens constituent un témoignage inédit des perceptions du politique, des campagnes électorales et des élections par ces Français ordinaires.
Elles permettent surtout de revisiter ce que nous croyons savoir du vote et de la politisation et de proposer une sociologie compréhensive des choix électoraux qui restitue la diversité des sens du vote dans les démocraties contemporaines.
Que savons-nous des électeurs ? Tantôt honorés comme les garants de la démocratie, tantôt dénigrés pour leur apathie, parfois dénoncés pour leurs choix irrationnels ou soupçonnés de se laisser trop aisément séduire par les sirènes populistes, les électeurs des démocraties contemporaines font l'objet d'analyses contradictoires et leurs choix paraissent aujourd'hui plus mystérieux que jamais. La science électorale qui a construit, en France et aux États-Unis, de solides modèles d'interprétation du vote semble elle-même partiellement désarmée.
Face à un électeur qui se donne désormais à voir comme plus versatile et moins prévisible, plus critique à l'égard du politique et qui donne moins aveuglément sa voix à ses représentants, les enquêtes par sondage paraissent de moins en moins susceptibles d'éclairer les racines sociales du vote et de comprendre les mécanismes des choix électoraux. Une équipe de politistes et de sociologues français a mené pendant trois ans une enquête inédite : suivre et interroger tout au long de la campagne de l'élection présidentielle et des législatives de 2012, 69 électeurs représentant une certaine diversité de la population française.
Jeunes des classes populaires scolarisés en lycée professionnel et « bourgeois » des beaux quartiers, professeurs et entrepreneurs, salariés des petites classes moyennes et cadres de la finance ou de l'industrie du luxe ont ainsi été longuement interrogés, avant, pendant et après ces échéances électorales majeures. Ces centaines d'heures d'entretiens constituent un témoignage inédit des perceptions du politique, des campagnes électorales et des élections par ces Français ordinaires.
Elles permettent surtout de revisiter ce que nous croyons savoir du vote et de la politisation et de proposer une sociologie compréhensive des choix électoraux qui restitue la diversité des sens du vote dans les démocraties contemporaines.
Face à un électeur qui se donne désormais à voir comme plus versatile et moins prévisible, plus critique à l'égard du politique et qui donne moins aveuglément sa voix à ses représentants, les enquêtes par sondage paraissent de moins en moins susceptibles d'éclairer les racines sociales du vote et de comprendre les mécanismes des choix électoraux. Une équipe de politistes et de sociologues français a mené pendant trois ans une enquête inédite : suivre et interroger tout au long de la campagne de l'élection présidentielle et des législatives de 2012, 69 électeurs représentant une certaine diversité de la population française.
Jeunes des classes populaires scolarisés en lycée professionnel et « bourgeois » des beaux quartiers, professeurs et entrepreneurs, salariés des petites classes moyennes et cadres de la finance ou de l'industrie du luxe ont ainsi été longuement interrogés, avant, pendant et après ces échéances électorales majeures. Ces centaines d'heures d'entretiens constituent un témoignage inédit des perceptions du politique, des campagnes électorales et des élections par ces Français ordinaires.
Elles permettent surtout de revisiter ce que nous croyons savoir du vote et de la politisation et de proposer une sociologie compréhensive des choix électoraux qui restitue la diversité des sens du vote dans les démocraties contemporaines.