Les Sciences de la vie dans la pensée française au XVIIIè siècle
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- Nombre de pages852
- FormatPDF
- ISBN978-2-226-22303-6
- EAN9782226223036
- Date de parution11/02/1993
- Protection num.Adobe DRM
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Voici la troisième édition de la thèse de Jacques Roger qui, dès sa parution en 1963, fut salué comme un « très important ouvrage » dont l'ambition était de « refaire l'histoire des découvertes scientifiques sur la génération des animaux, mais, aux confins des domaines respectifs de l'histoire de la philosophie et de l'histoire des sciences, d'écrire un chapitre de l'histoire des idées, capable de conduire à une meilleure connaissance de l'homme.
» (La Revue d'histoire des sciences, XVII, nº2, avril-juin 1964, Yves Laissus, p.190). Jacques Roger est un historien des sciences, né en 1920 et mort le 26 mars 1990. Agrégé de lettres classiques en 1943, Jacques Roger présente un parcours original, échappant « à la bipartition de l'histoire des sciences entre scientifiques et philosophes ». N'étant pas un historien de formation, il n'en a pas moins contribuer à introduire la méthode historique dans le domaine de l'histoire des sciences.
Doyen de l'université de Tours, il devient professeur d'histoire des sciences à l'université Paris-I (1970), directeur à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, directeur du Centre international de synthèse et rédacteur en chef de la Revue de synthèse. Ses travaux, essentiellement consacrés au développement des sciences naturelles à l'époque moderne et à Buffon (1707-1788), font encore autorité.
» (La Revue d'histoire des sciences, XVII, nº2, avril-juin 1964, Yves Laissus, p.190). Jacques Roger est un historien des sciences, né en 1920 et mort le 26 mars 1990. Agrégé de lettres classiques en 1943, Jacques Roger présente un parcours original, échappant « à la bipartition de l'histoire des sciences entre scientifiques et philosophes ». N'étant pas un historien de formation, il n'en a pas moins contribuer à introduire la méthode historique dans le domaine de l'histoire des sciences.
Doyen de l'université de Tours, il devient professeur d'histoire des sciences à l'université Paris-I (1970), directeur à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, directeur du Centre international de synthèse et rédacteur en chef de la Revue de synthèse. Ses travaux, essentiellement consacrés au développement des sciences naturelles à l'époque moderne et à Buffon (1707-1788), font encore autorité.
Voici la troisième édition de la thèse de Jacques Roger qui, dès sa parution en 1963, fut salué comme un « très important ouvrage » dont l'ambition était de « refaire l'histoire des découvertes scientifiques sur la génération des animaux, mais, aux confins des domaines respectifs de l'histoire de la philosophie et de l'histoire des sciences, d'écrire un chapitre de l'histoire des idées, capable de conduire à une meilleure connaissance de l'homme.
» (La Revue d'histoire des sciences, XVII, nº2, avril-juin 1964, Yves Laissus, p.190). Jacques Roger est un historien des sciences, né en 1920 et mort le 26 mars 1990. Agrégé de lettres classiques en 1943, Jacques Roger présente un parcours original, échappant « à la bipartition de l'histoire des sciences entre scientifiques et philosophes ». N'étant pas un historien de formation, il n'en a pas moins contribuer à introduire la méthode historique dans le domaine de l'histoire des sciences.
Doyen de l'université de Tours, il devient professeur d'histoire des sciences à l'université Paris-I (1970), directeur à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, directeur du Centre international de synthèse et rédacteur en chef de la Revue de synthèse. Ses travaux, essentiellement consacrés au développement des sciences naturelles à l'époque moderne et à Buffon (1707-1788), font encore autorité.
» (La Revue d'histoire des sciences, XVII, nº2, avril-juin 1964, Yves Laissus, p.190). Jacques Roger est un historien des sciences, né en 1920 et mort le 26 mars 1990. Agrégé de lettres classiques en 1943, Jacques Roger présente un parcours original, échappant « à la bipartition de l'histoire des sciences entre scientifiques et philosophes ». N'étant pas un historien de formation, il n'en a pas moins contribuer à introduire la méthode historique dans le domaine de l'histoire des sciences.
Doyen de l'université de Tours, il devient professeur d'histoire des sciences à l'université Paris-I (1970), directeur à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, directeur du Centre international de synthèse et rédacteur en chef de la Revue de synthèse. Ses travaux, essentiellement consacrés au développement des sciences naturelles à l'époque moderne et à Buffon (1707-1788), font encore autorité.