Les Sandales blanches

Par : Malika Bellaribi

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  • Nombre de pages228
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-4772-6
  • EAN9782702147726
  • Date de parution08/10/2008
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille698 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

Faire une carrière de mezzo-soprano, voilà qui n'est déjà pas à la portée de tout le monde. Mais connaître un tel succès quand on est né dans un bidonville à Nanterre, voilà qui est proprement stupéfiant, tant on imagine nombreux et dissuasifs les obstacles à surmonter. C'est peu dire, en effet, que rien ne prédestinait la petite Algérienne Malika Bellaribi à suivre ce parcours exceptionnel. Ni son lieu de naissance, ni une famille indifférente, voire hostile.
Et comme si les obstacles n'étaient pas assez grands, voilà qu'un très grave accident force Malika à passer des années à l'hôpital dès sa plus tendre enfance. Mais à quelque chose ce malheur est bon  : à l'abri de la violence et de l'exploitation familiales, soignée par des bonnes sours, Malika se trouve, et découvre la musique  : celle des chants religieux qui emplissent, chaque dimanche, la chapelle de l'hôpital.
La musique, c'est, la petite fille le sent, la voie du salut et du bonheur. Il lui faudra endurer encore bien des humiliations et des vicissitudes, y compris une tentative de mariage forcé en Algérie, avant d'oser défier les règles de sa communauté. Elle décide d'être libre de choisir sa vie, son amour et sa religion  : elle se convertira au catholicisme. Mais la réussite de Malika ne se borne pas à cette prouesse déjà exemplaire.
À peine son nom commence-t-il à être connu qu'elle songe à faire profiter «  les quartiers  », comme on dit, de ce qu'elle a appris et à partager la joie que lui procure le chant lyrique. Elle crée en banlieue des ateliers de chant qui s'appuient sur une pédagogie utilisant la mémoire corporelle, les cinq sens, la créativité des jeunes, les relations affectives, les règles de groupe, les tabous...
Faire une carrière de mezzo-soprano, voilà qui n'est déjà pas à la portée de tout le monde. Mais connaître un tel succès quand on est né dans un bidonville à Nanterre, voilà qui est proprement stupéfiant, tant on imagine nombreux et dissuasifs les obstacles à surmonter. C'est peu dire, en effet, que rien ne prédestinait la petite Algérienne Malika Bellaribi à suivre ce parcours exceptionnel. Ni son lieu de naissance, ni une famille indifférente, voire hostile.
Et comme si les obstacles n'étaient pas assez grands, voilà qu'un très grave accident force Malika à passer des années à l'hôpital dès sa plus tendre enfance. Mais à quelque chose ce malheur est bon  : à l'abri de la violence et de l'exploitation familiales, soignée par des bonnes sours, Malika se trouve, et découvre la musique  : celle des chants religieux qui emplissent, chaque dimanche, la chapelle de l'hôpital.
La musique, c'est, la petite fille le sent, la voie du salut et du bonheur. Il lui faudra endurer encore bien des humiliations et des vicissitudes, y compris une tentative de mariage forcé en Algérie, avant d'oser défier les règles de sa communauté. Elle décide d'être libre de choisir sa vie, son amour et sa religion  : elle se convertira au catholicisme. Mais la réussite de Malika ne se borne pas à cette prouesse déjà exemplaire.
À peine son nom commence-t-il à être connu qu'elle songe à faire profiter «  les quartiers  », comme on dit, de ce qu'elle a appris et à partager la joie que lui procure le chant lyrique. Elle crée en banlieue des ateliers de chant qui s'appuient sur une pédagogie utilisant la mémoire corporelle, les cinq sens, la créativité des jeunes, les relations affectives, les règles de groupe, les tabous...