Les rémunérations obscènes

Par : Philippe Steiner

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages111
  • FormatePub
  • ISBN978-2-35522-047-0
  • EAN9782355220470
  • Date de parution07/06/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille179 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurZones

Résumé

Cet essai vif et documenté met à jour l'ampleur des rémunérations obscènes en France. Contre les économistes qui prétendent les justifier au prix de contorsions sur le thème de la concurrence, il s'intéresse aux réactions de l'opinion publique et aux réactions " morales " comme ferment d'une force politique de contestation. Une question centrale dans la future campagne électorale. Les rémunérations - salaires, bonus, stock-options, retraites " chapeau ", Golden hello - flambent aux sommets de la pyramide sociale.
Régulièrement, la presse se penche sur ces " très hauts revenus ", offrant à l'homme ordinaire un aperçu du monde des " surhommes " du capitalisme moderne. Et, en janvier 2010, le président Barack Obama demandait - en vain - que Wall Street cesse de verser des " bonus obscènes " aux banquiers, alors que la crise de 2008 a plongé dans la misère des millions d'Américains. Dans cet essai vif et documenté, Philippe Steiner met à jour l'ampleur de ces rémunérations obscènes.
Il montre comment les économistes prétendent en expliquer la formation, au prix de contorsions compliquées sur le thème de la concurrence. Et, à partir de la vision alternative que propose la sociologie, il s'intéresse aux réactions de l'opinion publique face aux informations médiatiques. Les réactions morales ne seraient-elles que l'expression de la méconnaissance des " lois de l'économie mondialisée " ? La manifestation pathétique de l'impuissance ? Ou plutôt le ferment d'une force politique de contestation, tant les rémunérations ont partie liée à un mouvement profond du capitalisme financier contemporain, creusant toujours plus les inégalités économiques ?
Cet essai vif et documenté met à jour l'ampleur des rémunérations obscènes en France. Contre les économistes qui prétendent les justifier au prix de contorsions sur le thème de la concurrence, il s'intéresse aux réactions de l'opinion publique et aux réactions " morales " comme ferment d'une force politique de contestation. Une question centrale dans la future campagne électorale. Les rémunérations - salaires, bonus, stock-options, retraites " chapeau ", Golden hello - flambent aux sommets de la pyramide sociale.
Régulièrement, la presse se penche sur ces " très hauts revenus ", offrant à l'homme ordinaire un aperçu du monde des " surhommes " du capitalisme moderne. Et, en janvier 2010, le président Barack Obama demandait - en vain - que Wall Street cesse de verser des " bonus obscènes " aux banquiers, alors que la crise de 2008 a plongé dans la misère des millions d'Américains. Dans cet essai vif et documenté, Philippe Steiner met à jour l'ampleur de ces rémunérations obscènes.
Il montre comment les économistes prétendent en expliquer la formation, au prix de contorsions compliquées sur le thème de la concurrence. Et, à partir de la vision alternative que propose la sociologie, il s'intéresse aux réactions de l'opinion publique face aux informations médiatiques. Les réactions morales ne seraient-elles que l'expression de la méconnaissance des " lois de l'économie mondialisée " ? La manifestation pathétique de l'impuissance ? Ou plutôt le ferment d'une force politique de contestation, tant les rémunérations ont partie liée à un mouvement profond du capitalisme financier contemporain, creusant toujours plus les inégalités économiques ?