Il est, en plein Paris, un édifice qui renferme autant de trésors que la caverne d'Ali-Baba : l'Hôtel Drouot. Encore faut-il, pour y pénétrer, connaître le « Sésame, ouvre-toi ». Ce Petit manuel des ventes aux enchères vous le révélera. A vrai dire, il ne contient aucune formule magique, mais un exposé précis du mécanisme des ventes aux enchères et une description des us et coutumes de la maison. Il répond à toutes les questions que le profane peut se poser : à qui s'adresser pour vendre un encombrant buffet Henri II ? Peut-on acquérir un objet sans assister personnellement à la vente ? Quels sont les frais à la charge du vendeur et de l'acheteur ? Quelles sont les garanties accordées aux acquéreurs ? etc.
Quand vous l'aurez lu, vous en saurez autant que les plus fidèles habitués des ventes publiques et vous serez à même de devenir propriétaire, à des prix défiant toute concurrence, d'une toile de Renoir, d'un frigidaire « en parfait état de marche » ou d'un lot de matelas usagés... Utile, ce livre n'en est pas moins plaisant. Donnant libre cours à son naturel, François Duret-Robert décrit avec un certain irrespect les personnages qui composent la faune « drouotesque » et se fait l'écho des mille et une anecdotes que répandent les mauvaises langues.
Il a pu ainsi dresser une liste très complète de tous les « trucs » qui ont été utilisés par certains professionnels pour « tricher » dans les ventes publiques. Bien sûr, tout cela ne prête pas à conséquence, car il ne s'agit pas des exploits d'Ali-Baba et de ses quarante voleurs, mais simplement des Quatre cents coups du marteau d'ivoire.
Il est, en plein Paris, un édifice qui renferme autant de trésors que la caverne d'Ali-Baba : l'Hôtel Drouot. Encore faut-il, pour y pénétrer, connaître le « Sésame, ouvre-toi ». Ce Petit manuel des ventes aux enchères vous le révélera. A vrai dire, il ne contient aucune formule magique, mais un exposé précis du mécanisme des ventes aux enchères et une description des us et coutumes de la maison. Il répond à toutes les questions que le profane peut se poser : à qui s'adresser pour vendre un encombrant buffet Henri II ? Peut-on acquérir un objet sans assister personnellement à la vente ? Quels sont les frais à la charge du vendeur et de l'acheteur ? Quelles sont les garanties accordées aux acquéreurs ? etc.
Quand vous l'aurez lu, vous en saurez autant que les plus fidèles habitués des ventes publiques et vous serez à même de devenir propriétaire, à des prix défiant toute concurrence, d'une toile de Renoir, d'un frigidaire « en parfait état de marche » ou d'un lot de matelas usagés... Utile, ce livre n'en est pas moins plaisant. Donnant libre cours à son naturel, François Duret-Robert décrit avec un certain irrespect les personnages qui composent la faune « drouotesque » et se fait l'écho des mille et une anecdotes que répandent les mauvaises langues.
Il a pu ainsi dresser une liste très complète de tous les « trucs » qui ont été utilisés par certains professionnels pour « tricher » dans les ventes publiques. Bien sûr, tout cela ne prête pas à conséquence, car il ne s'agit pas des exploits d'Ali-Baba et de ses quarante voleurs, mais simplement des Quatre cents coups du marteau d'ivoire.