Les problèmes des archives en Afrique. A quand la solution ?
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- Nombre de pages170
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17628-7
- EAN9782296176287
- Date de parution01/09/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Aucun État, aucun organisme, grand ou petit, ne veut mourir. Vivre passe par la mise en place d'une gestion rigoureuse des fonds ou des collections d'archives, c'est-à-dire du patrimoine documentaire dont l'aspect quantitatif ne cesse de croître. Vivre, c'est s'interroger sur les documents à créer absolument ou, au contraire, à éliminer. C'est créer et traiter les dossiers et assurer leur conservation et leur intégrité.
Mais pour de nombreuses personnes, les archives représentent de vieux documents poussiéreux et sans importance. Il importe de se débarrasser de cette idée de vieux papiers attachée au terme d'archives. La théorie des trois âges montre le cycle de vie des documents : comme un être humain, un document naît, vit et meurt. Naissant, il est déjà une archive, mais ne commence pas sa vie au 3e âge ou au stade inactif.
Ainsi la place de l'archiviste doit donc être près des décideurs. L'importance des archives pour le développement d'un pays, la bonne marche de l'administration et de l'entreprise, est mise en évidence par l'auteur qui lance un signal de détresse, car les dégâts causés par l'absence d'archives organisées sont tout aussi graves que ceux causés par la guerre. Mais ces dégâts sont sournois, aux conséquences graves et détectées parfois sur un très long terme.
Ce signal de détresse est tiré pour un continent dont il connaît bien l'âme : l'Afrique francophone. Ces pays, très fortement marqués par la colonisation et la décolonisation, s'efforcent aujourd'hui de se construire, de se reconstruire dans leur personnalité propre. Mais ils oublient, jour après jour, faute d'organisation, leur passé proche comme leur passé lointain. On peut s'interroger sur cet état de fait.
Il n'est pas question ici de douter de la responsabilité et de l'engagement des décideurs. Cependant ces derniers, qui ont pourtant un rôle de première importance, sont trop absorbés par le présent et, par ailleurs, ne sont pas suffisamment alertés sur les dysfonctionnements liés à l'absence de politique d'archivage et d'information. L'auteur s'efforce de montrer non seulement l'impérative nécessité d'avoir des archives bien organisées à tous les niveaux, mais aussi leur apport dans la gestion et la bonne gouvernance et expose le fruit d'une expérience de terrain et d'un travail approfondi.
Mais pour de nombreuses personnes, les archives représentent de vieux documents poussiéreux et sans importance. Il importe de se débarrasser de cette idée de vieux papiers attachée au terme d'archives. La théorie des trois âges montre le cycle de vie des documents : comme un être humain, un document naît, vit et meurt. Naissant, il est déjà une archive, mais ne commence pas sa vie au 3e âge ou au stade inactif.
Ainsi la place de l'archiviste doit donc être près des décideurs. L'importance des archives pour le développement d'un pays, la bonne marche de l'administration et de l'entreprise, est mise en évidence par l'auteur qui lance un signal de détresse, car les dégâts causés par l'absence d'archives organisées sont tout aussi graves que ceux causés par la guerre. Mais ces dégâts sont sournois, aux conséquences graves et détectées parfois sur un très long terme.
Ce signal de détresse est tiré pour un continent dont il connaît bien l'âme : l'Afrique francophone. Ces pays, très fortement marqués par la colonisation et la décolonisation, s'efforcent aujourd'hui de se construire, de se reconstruire dans leur personnalité propre. Mais ils oublient, jour après jour, faute d'organisation, leur passé proche comme leur passé lointain. On peut s'interroger sur cet état de fait.
Il n'est pas question ici de douter de la responsabilité et de l'engagement des décideurs. Cependant ces derniers, qui ont pourtant un rôle de première importance, sont trop absorbés par le présent et, par ailleurs, ne sont pas suffisamment alertés sur les dysfonctionnements liés à l'absence de politique d'archivage et d'information. L'auteur s'efforce de montrer non seulement l'impérative nécessité d'avoir des archives bien organisées à tous les niveaux, mais aussi leur apport dans la gestion et la bonne gouvernance et expose le fruit d'une expérience de terrain et d'un travail approfondi.
Aucun État, aucun organisme, grand ou petit, ne veut mourir. Vivre passe par la mise en place d'une gestion rigoureuse des fonds ou des collections d'archives, c'est-à-dire du patrimoine documentaire dont l'aspect quantitatif ne cesse de croître. Vivre, c'est s'interroger sur les documents à créer absolument ou, au contraire, à éliminer. C'est créer et traiter les dossiers et assurer leur conservation et leur intégrité.
Mais pour de nombreuses personnes, les archives représentent de vieux documents poussiéreux et sans importance. Il importe de se débarrasser de cette idée de vieux papiers attachée au terme d'archives. La théorie des trois âges montre le cycle de vie des documents : comme un être humain, un document naît, vit et meurt. Naissant, il est déjà une archive, mais ne commence pas sa vie au 3e âge ou au stade inactif.
Ainsi la place de l'archiviste doit donc être près des décideurs. L'importance des archives pour le développement d'un pays, la bonne marche de l'administration et de l'entreprise, est mise en évidence par l'auteur qui lance un signal de détresse, car les dégâts causés par l'absence d'archives organisées sont tout aussi graves que ceux causés par la guerre. Mais ces dégâts sont sournois, aux conséquences graves et détectées parfois sur un très long terme.
Ce signal de détresse est tiré pour un continent dont il connaît bien l'âme : l'Afrique francophone. Ces pays, très fortement marqués par la colonisation et la décolonisation, s'efforcent aujourd'hui de se construire, de se reconstruire dans leur personnalité propre. Mais ils oublient, jour après jour, faute d'organisation, leur passé proche comme leur passé lointain. On peut s'interroger sur cet état de fait.
Il n'est pas question ici de douter de la responsabilité et de l'engagement des décideurs. Cependant ces derniers, qui ont pourtant un rôle de première importance, sont trop absorbés par le présent et, par ailleurs, ne sont pas suffisamment alertés sur les dysfonctionnements liés à l'absence de politique d'archivage et d'information. L'auteur s'efforce de montrer non seulement l'impérative nécessité d'avoir des archives bien organisées à tous les niveaux, mais aussi leur apport dans la gestion et la bonne gouvernance et expose le fruit d'une expérience de terrain et d'un travail approfondi.
Mais pour de nombreuses personnes, les archives représentent de vieux documents poussiéreux et sans importance. Il importe de se débarrasser de cette idée de vieux papiers attachée au terme d'archives. La théorie des trois âges montre le cycle de vie des documents : comme un être humain, un document naît, vit et meurt. Naissant, il est déjà une archive, mais ne commence pas sa vie au 3e âge ou au stade inactif.
Ainsi la place de l'archiviste doit donc être près des décideurs. L'importance des archives pour le développement d'un pays, la bonne marche de l'administration et de l'entreprise, est mise en évidence par l'auteur qui lance un signal de détresse, car les dégâts causés par l'absence d'archives organisées sont tout aussi graves que ceux causés par la guerre. Mais ces dégâts sont sournois, aux conséquences graves et détectées parfois sur un très long terme.
Ce signal de détresse est tiré pour un continent dont il connaît bien l'âme : l'Afrique francophone. Ces pays, très fortement marqués par la colonisation et la décolonisation, s'efforcent aujourd'hui de se construire, de se reconstruire dans leur personnalité propre. Mais ils oublient, jour après jour, faute d'organisation, leur passé proche comme leur passé lointain. On peut s'interroger sur cet état de fait.
Il n'est pas question ici de douter de la responsabilité et de l'engagement des décideurs. Cependant ces derniers, qui ont pourtant un rôle de première importance, sont trop absorbés par le présent et, par ailleurs, ne sont pas suffisamment alertés sur les dysfonctionnements liés à l'absence de politique d'archivage et d'information. L'auteur s'efforce de montrer non seulement l'impérative nécessité d'avoir des archives bien organisées à tous les niveaux, mais aussi leur apport dans la gestion et la bonne gouvernance et expose le fruit d'une expérience de terrain et d'un travail approfondi.