Les prisonniers de Lacan. Une introduction au temps logique
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- Nombre de pages154
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-3536-3
- EAN9791037035363
- Date de parution27/04/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Il arrive qu'à certaines questions la réponse de l'idiot ne soit pas entendue. On se targue d'être profond en demandant « Qui suis-je ? », et l'on congédie avec mépris le naïf qui répond : « Je suis un homme ». Cette assertion, pourtant, est loin d'aller de soi. La réduire à un jugement prédicatif revient à négliger le procès original que son énonciation implique. Car elle relève d'une logique collective par laquelle un sujet s'identifie à un groupe.
C'est cette logique qu'il s'agit d'élucider à travers le commentaire d'un article de Jacques Lacan : "Le temps logique et l'assertion de certitude anticipée". Le problème des prisonniers sert de fil directeur. Sa résolution fait exploser le cadre classique de la logique en restituant le mouvement de toute identification, oublié dans son résultat. Face au malaise contemporain, cette révolte logique prescrit un universel ensembliste.
Celui dont le sujet de la civilisation scientifique a besoin pour ne pas retourner contre son prochain une ségrégation qu'il prétend dépasser.
C'est cette logique qu'il s'agit d'élucider à travers le commentaire d'un article de Jacques Lacan : "Le temps logique et l'assertion de certitude anticipée". Le problème des prisonniers sert de fil directeur. Sa résolution fait exploser le cadre classique de la logique en restituant le mouvement de toute identification, oublié dans son résultat. Face au malaise contemporain, cette révolte logique prescrit un universel ensembliste.
Celui dont le sujet de la civilisation scientifique a besoin pour ne pas retourner contre son prochain une ségrégation qu'il prétend dépasser.
Il arrive qu'à certaines questions la réponse de l'idiot ne soit pas entendue. On se targue d'être profond en demandant « Qui suis-je ? », et l'on congédie avec mépris le naïf qui répond : « Je suis un homme ». Cette assertion, pourtant, est loin d'aller de soi. La réduire à un jugement prédicatif revient à négliger le procès original que son énonciation implique. Car elle relève d'une logique collective par laquelle un sujet s'identifie à un groupe.
C'est cette logique qu'il s'agit d'élucider à travers le commentaire d'un article de Jacques Lacan : "Le temps logique et l'assertion de certitude anticipée". Le problème des prisonniers sert de fil directeur. Sa résolution fait exploser le cadre classique de la logique en restituant le mouvement de toute identification, oublié dans son résultat. Face au malaise contemporain, cette révolte logique prescrit un universel ensembliste.
Celui dont le sujet de la civilisation scientifique a besoin pour ne pas retourner contre son prochain une ségrégation qu'il prétend dépasser.
C'est cette logique qu'il s'agit d'élucider à travers le commentaire d'un article de Jacques Lacan : "Le temps logique et l'assertion de certitude anticipée". Le problème des prisonniers sert de fil directeur. Sa résolution fait exploser le cadre classique de la logique en restituant le mouvement de toute identification, oublié dans son résultat. Face au malaise contemporain, cette révolte logique prescrit un universel ensembliste.
Celui dont le sujet de la civilisation scientifique a besoin pour ne pas retourner contre son prochain une ségrégation qu'il prétend dépasser.