Les pirates contre Rome
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- Nombre de pages276
- FormatePub
- ISBN978-2-251-90153-4
- EAN9782251901534
- Date de parution13/05/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
Résumé
Notre monde est confronté aujourd'hui aux pirates somaliens ou nigérians qui attaquent indifféremment les navires de plaisance ou les pétroliers. Les Romains ont connu eux aussi bien des difficultés avec le pirate, ennemi insaisissable dès qu'il était dans son élément, réfractaire à tout traité et que le peuple haïssait plus que tout. La fin de la République romaine permet d'observer un moment de l'histoire antique où deux formes de piraterie cohabitent.
La petite piraterie, immémoriale, dérangeante, dangereuse pour ceux qui la subissent mais qui n'interfère pas outre mesure dans la conduite du monde. Autrement plus préoccupante est la grande piraterie car ce ne sont plus des individus isolés qui s'y livrent mais des peuples entiers, avec leurs villes, leurs ports, leurs arsenaux. Apparue sur les rivages désolés de l'Anatolie, en Cilicie, une forme particulièrement virulente de banditisme marin va gagner peu à peu le bassin méditerranéen, se combinant avec d'autres facteurs et d'autres pirateries localisées pour finalement gêner l'expansion souveraine de Rome.
Cet ouvrage donne à comprendre comment ces forbans travaillaient, quels étaient leurs bateaux, leurs tactiques, leurs butins mais aussi quels efforts a dû déployer le Sénat romain pour réduire puis éliminer ces redoutables Ciliciens.
La petite piraterie, immémoriale, dérangeante, dangereuse pour ceux qui la subissent mais qui n'interfère pas outre mesure dans la conduite du monde. Autrement plus préoccupante est la grande piraterie car ce ne sont plus des individus isolés qui s'y livrent mais des peuples entiers, avec leurs villes, leurs ports, leurs arsenaux. Apparue sur les rivages désolés de l'Anatolie, en Cilicie, une forme particulièrement virulente de banditisme marin va gagner peu à peu le bassin méditerranéen, se combinant avec d'autres facteurs et d'autres pirateries localisées pour finalement gêner l'expansion souveraine de Rome.
Cet ouvrage donne à comprendre comment ces forbans travaillaient, quels étaient leurs bateaux, leurs tactiques, leurs butins mais aussi quels efforts a dû déployer le Sénat romain pour réduire puis éliminer ces redoutables Ciliciens.
Notre monde est confronté aujourd'hui aux pirates somaliens ou nigérians qui attaquent indifféremment les navires de plaisance ou les pétroliers. Les Romains ont connu eux aussi bien des difficultés avec le pirate, ennemi insaisissable dès qu'il était dans son élément, réfractaire à tout traité et que le peuple haïssait plus que tout. La fin de la République romaine permet d'observer un moment de l'histoire antique où deux formes de piraterie cohabitent.
La petite piraterie, immémoriale, dérangeante, dangereuse pour ceux qui la subissent mais qui n'interfère pas outre mesure dans la conduite du monde. Autrement plus préoccupante est la grande piraterie car ce ne sont plus des individus isolés qui s'y livrent mais des peuples entiers, avec leurs villes, leurs ports, leurs arsenaux. Apparue sur les rivages désolés de l'Anatolie, en Cilicie, une forme particulièrement virulente de banditisme marin va gagner peu à peu le bassin méditerranéen, se combinant avec d'autres facteurs et d'autres pirateries localisées pour finalement gêner l'expansion souveraine de Rome.
Cet ouvrage donne à comprendre comment ces forbans travaillaient, quels étaient leurs bateaux, leurs tactiques, leurs butins mais aussi quels efforts a dû déployer le Sénat romain pour réduire puis éliminer ces redoutables Ciliciens.
La petite piraterie, immémoriale, dérangeante, dangereuse pour ceux qui la subissent mais qui n'interfère pas outre mesure dans la conduite du monde. Autrement plus préoccupante est la grande piraterie car ce ne sont plus des individus isolés qui s'y livrent mais des peuples entiers, avec leurs villes, leurs ports, leurs arsenaux. Apparue sur les rivages désolés de l'Anatolie, en Cilicie, une forme particulièrement virulente de banditisme marin va gagner peu à peu le bassin méditerranéen, se combinant avec d'autres facteurs et d'autres pirateries localisées pour finalement gêner l'expansion souveraine de Rome.
Cet ouvrage donne à comprendre comment ces forbans travaillaient, quels étaient leurs bateaux, leurs tactiques, leurs butins mais aussi quels efforts a dû déployer le Sénat romain pour réduire puis éliminer ces redoutables Ciliciens.