Les Piétons de la gloire
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages108
- FormatePub
- ISBN2-402-01504-7
- EAN9782402015042
- Date de parution01/01/1983
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille492 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Soli...
Résumé
Débarquant dans la baie de Saint-Tropez le 9 septembre 1944, des « durs » de l'Armée d'Afrique ont pris du sable dans leurs mains, et certains ont pleuré comme des enfants. Ils revenaient d'une très longue route. Ils étaient jeunes, mais mûrs déjà de multiples souffrances. Ils revenaient avec leurs morts. Ils avaient combattu en Italie, Tunisie, ailleurs, et la France, ce matin-là, n'était plus un mot, des souvenirs, des images, mais la mère-terre.
Ils étaient revenus chez eux. Il faut comprendre. Les exilés le savent mieux.
Ils étaient revenus chez eux. Il faut comprendre. Les exilés le savent mieux.
Débarquant dans la baie de Saint-Tropez le 9 septembre 1944, des « durs » de l'Armée d'Afrique ont pris du sable dans leurs mains, et certains ont pleuré comme des enfants. Ils revenaient d'une très longue route. Ils étaient jeunes, mais mûrs déjà de multiples souffrances. Ils revenaient avec leurs morts. Ils avaient combattu en Italie, Tunisie, ailleurs, et la France, ce matin-là, n'était plus un mot, des souvenirs, des images, mais la mère-terre.
Ils étaient revenus chez eux. Il faut comprendre. Les exilés le savent mieux.
Ils étaient revenus chez eux. Il faut comprendre. Les exilés le savent mieux.














