Les peurs urbaines et l'autre sexe
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages242
- FormatPDF
- ISBN2-296-33704-X
- EAN9782296337046
- Date de parution01/10/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Garçons cogneurs et violeurs, filles démunies et outragées sont les deux images fortes par lesquelles les discours sur les " violences urbaines " dessinent le masculin et le féminin quand l'un et l'une se croisent dans la ville. Pourtant, l'observation dément ce stéréotype. Au quotidien, des garçons sont accusés de manquer de virilité et subissent des sévices corporels, des filles ont appris à se battre et prennent l'initiative d'agressions.
Comment des figures aussi opposées et inégalitaires peuvent-elles toujours symboliser les relations de sexe dans les espaces du hasard et de la rencontre inopinée ? Associer les victimes au féminin et la puissance destructrice au masculin revient à maintenir les unes sous la protection, et donc dans la soumission, de ceux qui ont la force physique et le savoir-faire pour les défendre, pour les dominer.
Comment des figures aussi opposées et inégalitaires peuvent-elles toujours symboliser les relations de sexe dans les espaces du hasard et de la rencontre inopinée ? Associer les victimes au féminin et la puissance destructrice au masculin revient à maintenir les unes sous la protection, et donc dans la soumission, de ceux qui ont la force physique et le savoir-faire pour les défendre, pour les dominer.
Garçons cogneurs et violeurs, filles démunies et outragées sont les deux images fortes par lesquelles les discours sur les " violences urbaines " dessinent le masculin et le féminin quand l'un et l'une se croisent dans la ville. Pourtant, l'observation dément ce stéréotype. Au quotidien, des garçons sont accusés de manquer de virilité et subissent des sévices corporels, des filles ont appris à se battre et prennent l'initiative d'agressions.
Comment des figures aussi opposées et inégalitaires peuvent-elles toujours symboliser les relations de sexe dans les espaces du hasard et de la rencontre inopinée ? Associer les victimes au féminin et la puissance destructrice au masculin revient à maintenir les unes sous la protection, et donc dans la soumission, de ceux qui ont la force physique et le savoir-faire pour les défendre, pour les dominer.
Comment des figures aussi opposées et inégalitaires peuvent-elles toujours symboliser les relations de sexe dans les espaces du hasard et de la rencontre inopinée ? Associer les victimes au féminin et la puissance destructrice au masculin revient à maintenir les unes sous la protection, et donc dans la soumission, de ceux qui ont la force physique et le savoir-faire pour les défendre, pour les dominer.