Les Pères Blancs entre les deux guerres mondiales. Histoire des missionnaires d'Afrique (1919 - 1939)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages432
- FormatPDF
- ISBN978-2-8111-1409-1
- EAN9782811114091
- Date de parution20/04/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurKarthala
- TraducteurRaphaël Deillon
Résumé
Cet ouvrage continue l'histoire de la Société des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs), commencée dans deux livres précédents de cette collection - ceux de Jean-Claude Ceillier et d'Aylward Shorter - pour la période allant de 1919 à 1939. Fondée en 1868 par Mgr Lavigerie, la Société a concentré toutes ses activités missionnaires sur le continent africain, à part un seul poste à Jérusalem. En Afrique subsaharienne, les missionnaires sont arrivés avant la domination politique européenne sur le continent.
Mais, entre les deux guerres, la Mission s'est développée dans le cadre du système colonial français, belge et britannique. Le but premier du missionnaire était religieux. Il ne s'agissait pas d'enseigner quelques formules et de baptiser, mais d'infuser chez le nouveau chrétien une foi profonde et un style de vie à l'imitation du Christ. L'influence de la Mission débordait largement sur la société africaine.
Chaque poste de mission consistait en une organisation complexe de communautés de vie, administrée par les Pères, avec souvent un ou plusieurs Frères chargés des choses matérielles, un couvent de Soeurs et une équipe de catéchistes. Entre les deux guerres, les Pères Blancs ont travaillé dans de nombreux pays, en partant d'Alger, au Nord du continent, jusqu'au Malawi sous l'équateur. Bien qu'ils aient reçu la même formation, ils ont su adapter leurs méthodes d'approche aux circonstances de chaque vicariat.
À chaque région sa particularité, dessinée par le contexte. C'est là l'histoire d'une seule société missionnaire, et comme il est impossible de tout dire, cette histoire est relativement partielle. Il reste encore une abondance d'informations et de documentation pour d'autres historiens désireux de poursuivre cette étude. Francis Nolan, né en Angleterre en 1934, fait partie des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs).
Ordonné prêtre en 1958 après des études en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Maîtrise en histoire (Oxford). Maîtrise en Études africaines (Université du Sussex). Doctorat en histoire à Cambridge avec une thèse sur le christianisme en Tanzanie. Après plusieurs années d'enseignement au Royaume-Uni et en Tanzanie, il a passé vingt-quatre ans au service de plusieurs paroisses rurales de ce dernier pays.
Il est actuellement dans une paroisse de Dar es Salaam.
Mais, entre les deux guerres, la Mission s'est développée dans le cadre du système colonial français, belge et britannique. Le but premier du missionnaire était religieux. Il ne s'agissait pas d'enseigner quelques formules et de baptiser, mais d'infuser chez le nouveau chrétien une foi profonde et un style de vie à l'imitation du Christ. L'influence de la Mission débordait largement sur la société africaine.
Chaque poste de mission consistait en une organisation complexe de communautés de vie, administrée par les Pères, avec souvent un ou plusieurs Frères chargés des choses matérielles, un couvent de Soeurs et une équipe de catéchistes. Entre les deux guerres, les Pères Blancs ont travaillé dans de nombreux pays, en partant d'Alger, au Nord du continent, jusqu'au Malawi sous l'équateur. Bien qu'ils aient reçu la même formation, ils ont su adapter leurs méthodes d'approche aux circonstances de chaque vicariat.
À chaque région sa particularité, dessinée par le contexte. C'est là l'histoire d'une seule société missionnaire, et comme il est impossible de tout dire, cette histoire est relativement partielle. Il reste encore une abondance d'informations et de documentation pour d'autres historiens désireux de poursuivre cette étude. Francis Nolan, né en Angleterre en 1934, fait partie des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs).
Ordonné prêtre en 1958 après des études en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Maîtrise en histoire (Oxford). Maîtrise en Études africaines (Université du Sussex). Doctorat en histoire à Cambridge avec une thèse sur le christianisme en Tanzanie. Après plusieurs années d'enseignement au Royaume-Uni et en Tanzanie, il a passé vingt-quatre ans au service de plusieurs paroisses rurales de ce dernier pays.
Il est actuellement dans une paroisse de Dar es Salaam.
Cet ouvrage continue l'histoire de la Société des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs), commencée dans deux livres précédents de cette collection - ceux de Jean-Claude Ceillier et d'Aylward Shorter - pour la période allant de 1919 à 1939. Fondée en 1868 par Mgr Lavigerie, la Société a concentré toutes ses activités missionnaires sur le continent africain, à part un seul poste à Jérusalem. En Afrique subsaharienne, les missionnaires sont arrivés avant la domination politique européenne sur le continent.
Mais, entre les deux guerres, la Mission s'est développée dans le cadre du système colonial français, belge et britannique. Le but premier du missionnaire était religieux. Il ne s'agissait pas d'enseigner quelques formules et de baptiser, mais d'infuser chez le nouveau chrétien une foi profonde et un style de vie à l'imitation du Christ. L'influence de la Mission débordait largement sur la société africaine.
Chaque poste de mission consistait en une organisation complexe de communautés de vie, administrée par les Pères, avec souvent un ou plusieurs Frères chargés des choses matérielles, un couvent de Soeurs et une équipe de catéchistes. Entre les deux guerres, les Pères Blancs ont travaillé dans de nombreux pays, en partant d'Alger, au Nord du continent, jusqu'au Malawi sous l'équateur. Bien qu'ils aient reçu la même formation, ils ont su adapter leurs méthodes d'approche aux circonstances de chaque vicariat.
À chaque région sa particularité, dessinée par le contexte. C'est là l'histoire d'une seule société missionnaire, et comme il est impossible de tout dire, cette histoire est relativement partielle. Il reste encore une abondance d'informations et de documentation pour d'autres historiens désireux de poursuivre cette étude. Francis Nolan, né en Angleterre en 1934, fait partie des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs).
Ordonné prêtre en 1958 après des études en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Maîtrise en histoire (Oxford). Maîtrise en Études africaines (Université du Sussex). Doctorat en histoire à Cambridge avec une thèse sur le christianisme en Tanzanie. Après plusieurs années d'enseignement au Royaume-Uni et en Tanzanie, il a passé vingt-quatre ans au service de plusieurs paroisses rurales de ce dernier pays.
Il est actuellement dans une paroisse de Dar es Salaam.
Mais, entre les deux guerres, la Mission s'est développée dans le cadre du système colonial français, belge et britannique. Le but premier du missionnaire était religieux. Il ne s'agissait pas d'enseigner quelques formules et de baptiser, mais d'infuser chez le nouveau chrétien une foi profonde et un style de vie à l'imitation du Christ. L'influence de la Mission débordait largement sur la société africaine.
Chaque poste de mission consistait en une organisation complexe de communautés de vie, administrée par les Pères, avec souvent un ou plusieurs Frères chargés des choses matérielles, un couvent de Soeurs et une équipe de catéchistes. Entre les deux guerres, les Pères Blancs ont travaillé dans de nombreux pays, en partant d'Alger, au Nord du continent, jusqu'au Malawi sous l'équateur. Bien qu'ils aient reçu la même formation, ils ont su adapter leurs méthodes d'approche aux circonstances de chaque vicariat.
À chaque région sa particularité, dessinée par le contexte. C'est là l'histoire d'une seule société missionnaire, et comme il est impossible de tout dire, cette histoire est relativement partielle. Il reste encore une abondance d'informations et de documentation pour d'autres historiens désireux de poursuivre cette étude. Francis Nolan, né en Angleterre en 1934, fait partie des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs).
Ordonné prêtre en 1958 après des études en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Maîtrise en histoire (Oxford). Maîtrise en Études africaines (Université du Sussex). Doctorat en histoire à Cambridge avec une thèse sur le christianisme en Tanzanie. Après plusieurs années d'enseignement au Royaume-Uni et en Tanzanie, il a passé vingt-quatre ans au service de plusieurs paroisses rurales de ce dernier pays.
Il est actuellement dans une paroisse de Dar es Salaam.




