Comment la République finit par oublier
ceux qu'elle devrait protéger
Ils tiennent littéralement le pays debout. Dans l'ombre, sans bruit.
Il y a les " premiers de cordée " : ils ramassent nos poubelles, conduisent nos bus, mais certains dorment la nuit sur un carton.
Il y a ces infirmières des déserts médicaux qui vont jusqu'à soigner gracieusement.
L'Éducation nationale ? En banlieue, on fait classe dans des écoles où les radiateurs pendent aux murs.
La lutte contre l'insécurité ? Des hommes en bleu travaillent bien au-delà de leurs horaires pour sécuriser des quartiers délaissés.
Les élus ? Sur le terrain 70 heures par semaine et pourtant oubliés de la classe dirigeante, là-haut, dans la capitale.
Le ras-le-bol, à force de grandir, se transforme.
Allant au-delà des cris de colère, ce livre-enquête, fruit de quatre ans de reportage dans tout le pays, cherche à comprendre pourquoi de plus en plus de Français se sentent oubliés.
Il donne aussi à voir des solidarités intérieures tenues à bout de bras, les " épuisés " refusant de lâcher.
La question est d'intérêt général : car pourquoi continuer à penser collectif quand on se sent abandonné ?
Comment la République finit par oublier
ceux qu'elle devrait protéger
Ils tiennent littéralement le pays debout. Dans l'ombre, sans bruit.
Il y a les " premiers de cordée " : ils ramassent nos poubelles, conduisent nos bus, mais certains dorment la nuit sur un carton.
Il y a ces infirmières des déserts médicaux qui vont jusqu'à soigner gracieusement.
L'Éducation nationale ? En banlieue, on fait classe dans des écoles où les radiateurs pendent aux murs.
La lutte contre l'insécurité ? Des hommes en bleu travaillent bien au-delà de leurs horaires pour sécuriser des quartiers délaissés.
Les élus ? Sur le terrain 70 heures par semaine et pourtant oubliés de la classe dirigeante, là-haut, dans la capitale.
Le ras-le-bol, à force de grandir, se transforme.
Allant au-delà des cris de colère, ce livre-enquête, fruit de quatre ans de reportage dans tout le pays, cherche à comprendre pourquoi de plus en plus de Français se sentent oubliés.
Il donne aussi à voir des solidarités intérieures tenues à bout de bras, les " épuisés " refusant de lâcher.
La question est d'intérêt général : car pourquoi continuer à penser collectif quand on se sent abandonné ?