Les orages de la Sarkozye. De la présidence impériale au pouvoir tempéré
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- Nombre de pages310
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46771-2
- EAN9782296467712
- Date de parution01/07/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après L'entrée en Sarkozye et La Sarkozye gouvernante, parues aux même éditions, ce troisième volume, Les orages de la Sarkozye, retrace une période marquée par la crise économique des années 2009-2010. L'expansion économique avait dévalorisé le rôle de l'État et provoqué une déferlante libérale. La crise, elle, exige une action accrue de ce dernier. Elle revalorise l'interventionnisme. Régulation et assistance retrouvent leurs lettres de noblesse dans les fonctions étatiques.
La crise économique provoque un scepticisme et une défiance à l'égard du président de la République, qui n'en poursuit pas moins une politique active et volontariste de réforme. Le quinquennat a bouleversé l'équilibre des institutions. La présidence quinquennale a perdu de la hauteur. Le chef de l'État doit, plus encore qu'hier, s'investir dans le quotidien. Certes, Nicolas Sarkozy ne paraît pas gêné par cette transformation, lui qui marque de son empreinte chaque soupir de l'action étatique.
Mais cette omniprésence du président n'est guère approuvée par l'opinion publique, qui recherche plus de grandeur et moins de gesticulations. Le désamour s'amorce entre l'opinion et le président. C'est le temps des orages. Comme dans toute l'Europe, la crise économique désespère les populations, qui sont tentées d'en attribuer la responsabilité au pouvoir. Le temps de la présidence impériale est passé.
Le pouvoir tempéré lui a succédé. Cette chronique libre et indépendante éclaire les changements profonds que traverse la société française.
La crise économique provoque un scepticisme et une défiance à l'égard du président de la République, qui n'en poursuit pas moins une politique active et volontariste de réforme. Le quinquennat a bouleversé l'équilibre des institutions. La présidence quinquennale a perdu de la hauteur. Le chef de l'État doit, plus encore qu'hier, s'investir dans le quotidien. Certes, Nicolas Sarkozy ne paraît pas gêné par cette transformation, lui qui marque de son empreinte chaque soupir de l'action étatique.
Mais cette omniprésence du président n'est guère approuvée par l'opinion publique, qui recherche plus de grandeur et moins de gesticulations. Le désamour s'amorce entre l'opinion et le président. C'est le temps des orages. Comme dans toute l'Europe, la crise économique désespère les populations, qui sont tentées d'en attribuer la responsabilité au pouvoir. Le temps de la présidence impériale est passé.
Le pouvoir tempéré lui a succédé. Cette chronique libre et indépendante éclaire les changements profonds que traverse la société française.
Après L'entrée en Sarkozye et La Sarkozye gouvernante, parues aux même éditions, ce troisième volume, Les orages de la Sarkozye, retrace une période marquée par la crise économique des années 2009-2010. L'expansion économique avait dévalorisé le rôle de l'État et provoqué une déferlante libérale. La crise, elle, exige une action accrue de ce dernier. Elle revalorise l'interventionnisme. Régulation et assistance retrouvent leurs lettres de noblesse dans les fonctions étatiques.
La crise économique provoque un scepticisme et une défiance à l'égard du président de la République, qui n'en poursuit pas moins une politique active et volontariste de réforme. Le quinquennat a bouleversé l'équilibre des institutions. La présidence quinquennale a perdu de la hauteur. Le chef de l'État doit, plus encore qu'hier, s'investir dans le quotidien. Certes, Nicolas Sarkozy ne paraît pas gêné par cette transformation, lui qui marque de son empreinte chaque soupir de l'action étatique.
Mais cette omniprésence du président n'est guère approuvée par l'opinion publique, qui recherche plus de grandeur et moins de gesticulations. Le désamour s'amorce entre l'opinion et le président. C'est le temps des orages. Comme dans toute l'Europe, la crise économique désespère les populations, qui sont tentées d'en attribuer la responsabilité au pouvoir. Le temps de la présidence impériale est passé.
Le pouvoir tempéré lui a succédé. Cette chronique libre et indépendante éclaire les changements profonds que traverse la société française.
La crise économique provoque un scepticisme et une défiance à l'égard du président de la République, qui n'en poursuit pas moins une politique active et volontariste de réforme. Le quinquennat a bouleversé l'équilibre des institutions. La présidence quinquennale a perdu de la hauteur. Le chef de l'État doit, plus encore qu'hier, s'investir dans le quotidien. Certes, Nicolas Sarkozy ne paraît pas gêné par cette transformation, lui qui marque de son empreinte chaque soupir de l'action étatique.
Mais cette omniprésence du président n'est guère approuvée par l'opinion publique, qui recherche plus de grandeur et moins de gesticulations. Le désamour s'amorce entre l'opinion et le président. C'est le temps des orages. Comme dans toute l'Europe, la crise économique désespère les populations, qui sont tentées d'en attribuer la responsabilité au pouvoir. Le temps de la présidence impériale est passé.
Le pouvoir tempéré lui a succédé. Cette chronique libre et indépendante éclaire les changements profonds que traverse la société française.