Les oiseaux familiers

Par : Jacqueline Kasarhérou, Bernard Kagane

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  • Nombre de pages32
  • FormatPDF
  • ISBN2-402-54423-6
  • EAN9782402544238
  • Date de parution01/01/1960
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille15 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Libr...

Résumé

Ces gros oiseaux, de cinquante cm de long, aux reflets bleus ou violets, sont noirs - ce qui est la couleur du deuil pour les Européens. - Ils mangent ce qu'ils trouvent, suivant les saisons, y compris la chair des hommes morts sur les champs de bataille. Cette mauvaise habitude a nui à la réputation des corbeaux ! En Bretagne, on imagina que l'âme "noire" des damnés revenait sur Terre, en empruntant la forme de "l'oiseau de malheur", pour tourmenter les vivants ! Ici et là, dans les provinces françaises, les corbeaux rodant auprès des maisons, en hiver, le soir venu, étaient accusés de desseins plus noirs que leur habit.
Et, quand ils se rassemblaient - pour jouer, par exemple - on craignait de pouvoir prédire l'imminence d'une guerre. En revanche, les Indiens d'Amérique du Nord associaient les corbeaux aux charmes de la pluie et d'une longue vie.
Ces gros oiseaux, de cinquante cm de long, aux reflets bleus ou violets, sont noirs - ce qui est la couleur du deuil pour les Européens. - Ils mangent ce qu'ils trouvent, suivant les saisons, y compris la chair des hommes morts sur les champs de bataille. Cette mauvaise habitude a nui à la réputation des corbeaux ! En Bretagne, on imagina que l'âme "noire" des damnés revenait sur Terre, en empruntant la forme de "l'oiseau de malheur", pour tourmenter les vivants ! Ici et là, dans les provinces françaises, les corbeaux rodant auprès des maisons, en hiver, le soir venu, étaient accusés de desseins plus noirs que leur habit.
Et, quand ils se rassemblaient - pour jouer, par exemple - on craignait de pouvoir prédire l'imminence d'une guerre. En revanche, les Indiens d'Amérique du Nord associaient les corbeaux aux charmes de la pluie et d'une longue vie.