Les morts inutiles. Un chirurgien français en camp nazi
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- Nombre de pages112
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22494-0
- EAN9782296224940
- Date de parution01/04/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En 1944, le docteur François Wetterwald (1911-1993), chirurgien et animateur du réseau de Résistance " Vengeance ", est déporté au camp de concentration de Mauthausen, puis affecté à 1' " hôpital " d'une de ses annexes, Ebensee. Au coeur de cet uni-ers dantesque, où tout contribue à la déshumanisation, il ne renie jamais ses convictions éthiques et, en dépit des conditions extrêmes de précarité et des pressions exercées sur lui, ne cesse d'exercer sa profession sans faillir jusqu'à la libération du camp.
Médaillé de la Résistance, commandeur de la Légion d'honneur, François Wetterwald participera à la création de l'Association nationale des médecins déportés et internés de la Résistance dont il sera secrétaire général puis président d'honneur jusqu'à son décès le 14 juin 1993, à Mont-St-Aignan, près de Rouen. Son texte, Les morts inutiles, rédigé durant sa détention et à son retour en France en 1945, est un chef-d'oeuvre d'humanisme d'une exceptionnelle tenue littéraire.
Pourtant, alors que l'on peut parler d'un foisonnement de la " littérature concentrationnaire ", l'ouvrage de François Wetterwald reste toujours relativement confidentiel pour des raisons expliquées dans cette édition. C'est pourquoi j'ai souhaité qu'il puisse être aujourd'hui mis à la disposition de tous, et notamment des nouvelles générations qui devront peut-être un jour, dans des circonstances très particulières, savoir se mobiliser avec courage et sans concession.
L'époque contemporaine a été et est encore par bien des aspects celle des " morts inutiles ". Lire François Wetterwald, c'est se persuader qu'un autre monde est possible pour peu que l'on veuille s'en donner les moyens...
Médaillé de la Résistance, commandeur de la Légion d'honneur, François Wetterwald participera à la création de l'Association nationale des médecins déportés et internés de la Résistance dont il sera secrétaire général puis président d'honneur jusqu'à son décès le 14 juin 1993, à Mont-St-Aignan, près de Rouen. Son texte, Les morts inutiles, rédigé durant sa détention et à son retour en France en 1945, est un chef-d'oeuvre d'humanisme d'une exceptionnelle tenue littéraire.
Pourtant, alors que l'on peut parler d'un foisonnement de la " littérature concentrationnaire ", l'ouvrage de François Wetterwald reste toujours relativement confidentiel pour des raisons expliquées dans cette édition. C'est pourquoi j'ai souhaité qu'il puisse être aujourd'hui mis à la disposition de tous, et notamment des nouvelles générations qui devront peut-être un jour, dans des circonstances très particulières, savoir se mobiliser avec courage et sans concession.
L'époque contemporaine a été et est encore par bien des aspects celle des " morts inutiles ". Lire François Wetterwald, c'est se persuader qu'un autre monde est possible pour peu que l'on veuille s'en donner les moyens...
En 1944, le docteur François Wetterwald (1911-1993), chirurgien et animateur du réseau de Résistance " Vengeance ", est déporté au camp de concentration de Mauthausen, puis affecté à 1' " hôpital " d'une de ses annexes, Ebensee. Au coeur de cet uni-ers dantesque, où tout contribue à la déshumanisation, il ne renie jamais ses convictions éthiques et, en dépit des conditions extrêmes de précarité et des pressions exercées sur lui, ne cesse d'exercer sa profession sans faillir jusqu'à la libération du camp.
Médaillé de la Résistance, commandeur de la Légion d'honneur, François Wetterwald participera à la création de l'Association nationale des médecins déportés et internés de la Résistance dont il sera secrétaire général puis président d'honneur jusqu'à son décès le 14 juin 1993, à Mont-St-Aignan, près de Rouen. Son texte, Les morts inutiles, rédigé durant sa détention et à son retour en France en 1945, est un chef-d'oeuvre d'humanisme d'une exceptionnelle tenue littéraire.
Pourtant, alors que l'on peut parler d'un foisonnement de la " littérature concentrationnaire ", l'ouvrage de François Wetterwald reste toujours relativement confidentiel pour des raisons expliquées dans cette édition. C'est pourquoi j'ai souhaité qu'il puisse être aujourd'hui mis à la disposition de tous, et notamment des nouvelles générations qui devront peut-être un jour, dans des circonstances très particulières, savoir se mobiliser avec courage et sans concession.
L'époque contemporaine a été et est encore par bien des aspects celle des " morts inutiles ". Lire François Wetterwald, c'est se persuader qu'un autre monde est possible pour peu que l'on veuille s'en donner les moyens...
Médaillé de la Résistance, commandeur de la Légion d'honneur, François Wetterwald participera à la création de l'Association nationale des médecins déportés et internés de la Résistance dont il sera secrétaire général puis président d'honneur jusqu'à son décès le 14 juin 1993, à Mont-St-Aignan, près de Rouen. Son texte, Les morts inutiles, rédigé durant sa détention et à son retour en France en 1945, est un chef-d'oeuvre d'humanisme d'une exceptionnelle tenue littéraire.
Pourtant, alors que l'on peut parler d'un foisonnement de la " littérature concentrationnaire ", l'ouvrage de François Wetterwald reste toujours relativement confidentiel pour des raisons expliquées dans cette édition. C'est pourquoi j'ai souhaité qu'il puisse être aujourd'hui mis à la disposition de tous, et notamment des nouvelles générations qui devront peut-être un jour, dans des circonstances très particulières, savoir se mobiliser avec courage et sans concession.
L'époque contemporaine a été et est encore par bien des aspects celle des " morts inutiles ". Lire François Wetterwald, c'est se persuader qu'un autre monde est possible pour peu que l'on veuille s'en donner les moyens...