Pie II, de son nom de naissance Enea Silvio Piccolomini, et généralement connu dans la littérature sous son nom latin Aeneas Sylvius (né le 18 octobre 1405 à Corsignano, dans la République de Sienne et mort le 15 août 1464 à Ancône) fut le 210e pape de l'Eglise catholique romaine (du 19 août 1458 au 15 août 1464).
Nouveauté
Les misères des gens de cour. Suivi de Le songe de fortune
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- Nombre de pages144
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-37747-041-9
- EAN9782377470419
- Date de parution08/09/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurUGA Éditions
- TraducteurSerge Stolf
Résumé
Ce volume réunit deux textes, inédits en français moderne, d'un des plus grands humanistes du xve siècle, Enea Silvio Piccolomini, qui deviendra pape sous le nom de Pie II en 1458. Les Misères des gens de cour est une critique acérée, sous les traits d'une satire ravageuse, de la vie de cour, école de désillusion pour tous ceux - intellectuels et autres - qui côtoient le pouvoir et ses fallacieux miroirs aux alouettes.
C'est dire l'actualité de ce court traité de « savoir-survivre » à la cour des puissants. De l'esclavage des élites aux aléas de la Fortune qui récompense souvent les mauvais au détriment des vertueux, il n'y a qu'un pas : dans Le Songe de Fortune, Piccolomini s'interroge sur cette déesse capricieuse, qui fait et défait le destin des individus et des empires. Rien n'est stable en ce monde, mais la victoire, souvent provisoire, appartient à ceux qui osent défier la fatalité.
Insérés dans la réalité politique et culturelle du xve siècle, ces deux textes au style percutant invitent néanmoins à réfléchir sur les asservissements qui menacent toute société civilisée.
C'est dire l'actualité de ce court traité de « savoir-survivre » à la cour des puissants. De l'esclavage des élites aux aléas de la Fortune qui récompense souvent les mauvais au détriment des vertueux, il n'y a qu'un pas : dans Le Songe de Fortune, Piccolomini s'interroge sur cette déesse capricieuse, qui fait et défait le destin des individus et des empires. Rien n'est stable en ce monde, mais la victoire, souvent provisoire, appartient à ceux qui osent défier la fatalité.
Insérés dans la réalité politique et culturelle du xve siècle, ces deux textes au style percutant invitent néanmoins à réfléchir sur les asservissements qui menacent toute société civilisée.
Ce volume réunit deux textes, inédits en français moderne, d'un des plus grands humanistes du xve siècle, Enea Silvio Piccolomini, qui deviendra pape sous le nom de Pie II en 1458. Les Misères des gens de cour est une critique acérée, sous les traits d'une satire ravageuse, de la vie de cour, école de désillusion pour tous ceux - intellectuels et autres - qui côtoient le pouvoir et ses fallacieux miroirs aux alouettes.
C'est dire l'actualité de ce court traité de « savoir-survivre » à la cour des puissants. De l'esclavage des élites aux aléas de la Fortune qui récompense souvent les mauvais au détriment des vertueux, il n'y a qu'un pas : dans Le Songe de Fortune, Piccolomini s'interroge sur cette déesse capricieuse, qui fait et défait le destin des individus et des empires. Rien n'est stable en ce monde, mais la victoire, souvent provisoire, appartient à ceux qui osent défier la fatalité.
Insérés dans la réalité politique et culturelle du xve siècle, ces deux textes au style percutant invitent néanmoins à réfléchir sur les asservissements qui menacent toute société civilisée.
C'est dire l'actualité de ce court traité de « savoir-survivre » à la cour des puissants. De l'esclavage des élites aux aléas de la Fortune qui récompense souvent les mauvais au détriment des vertueux, il n'y a qu'un pas : dans Le Songe de Fortune, Piccolomini s'interroge sur cette déesse capricieuse, qui fait et défait le destin des individus et des empires. Rien n'est stable en ce monde, mais la victoire, souvent provisoire, appartient à ceux qui osent défier la fatalité.
Insérés dans la réalité politique et culturelle du xve siècle, ces deux textes au style percutant invitent néanmoins à réfléchir sur les asservissements qui menacent toute société civilisée.