Les mémoires d'Edmond Simeoni

Par : Anne Chabanon

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  • Nombre de pages391
  • FormatePub
  • ISBN978-2-08-149312-4
  • EAN9782081493124
  • Date de parution03/04/2019
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille922 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Edmond Simeoni s'est éteint le 14 décembre 2018 à l'hôpital d'Ajaccio. Médecin, humaniste, défenseur intransigeant de la démocratie et des droits des peuples, le père du nationalisme corse contemporain est resté pour beaucoup l'homme d'Aleria. Celui qui, en août 1975, avait occupé une cave viticole dans la Plaine orientale de l'île, osant, le premier, défier l'État français. Le sang avait coulé, malgré lui, et il ne se l'était jamais vraiment pardonné. Il y a quelques mois, à l'automne, « le docteur » avait accepté de remonter le temps et de rassembler ses souvenirs.
L'heure était venue de raconter un parcours hors norme dans ce qui serait, disait-il non sans fierté, l'ouvrage de ses Mémoires. Au fil des pages s'y déploie une vie préoccupée par l'équité, où ses nombreux combats prennent tout leur sens : l'environnement, les fraudes, la corruption, la justice sociale et le respect de l'autre. Edmond Simeoni est mort quinze jours après la dernière rencontre avec l'auteur.
Edmond Simeoni s'est éteint le 14 décembre 2018 à l'hôpital d'Ajaccio. Médecin, humaniste, défenseur intransigeant de la démocratie et des droits des peuples, le père du nationalisme corse contemporain est resté pour beaucoup l'homme d'Aleria. Celui qui, en août 1975, avait occupé une cave viticole dans la Plaine orientale de l'île, osant, le premier, défier l'État français. Le sang avait coulé, malgré lui, et il ne se l'était jamais vraiment pardonné. Il y a quelques mois, à l'automne, « le docteur » avait accepté de remonter le temps et de rassembler ses souvenirs.
L'heure était venue de raconter un parcours hors norme dans ce qui serait, disait-il non sans fierté, l'ouvrage de ses Mémoires. Au fil des pages s'y déploie une vie préoccupée par l'équité, où ses nombreux combats prennent tout leur sens : l'environnement, les fraudes, la corruption, la justice sociale et le respect de l'autre. Edmond Simeoni est mort quinze jours après la dernière rencontre avec l'auteur.