Les marqueurs archéologiques du pouvoir
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- Nombre de pages320
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-0005-6
- EAN9791035100056
- Date de parution14/12/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
Les journées annuelles de l'école doctorale d'archéologie de l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne ont, comme leur publication dans Archéo. Doct, pris leur rythme de croisière : elles ne s'engluent pas pour autant dans la routine ni la technicité. Le thème retenu pour cette quatrième livraison d'Archéo. Doct, les marqueurs du pouvoir, est de ceux qui peuvent fédérer les jeunes archéologues des horizons et spécialités les plus divers et conférer à leurs données et leurs réflexions un vif attrait pour leurs lecteurs non archéologues.
À l'instar des autres disciplines des sciences humaines et sociales, mais avec ses outils propres, des outils au sens propre, l'archéologie scrute en effet les sphères sociales et politiques. Elle peut même contribuer de façon saisissante à mettre en lumière des facettes, voire des séquences constitutives, de ces compositions complexes, subtiles et changeantes qu'on nomme « le pouvoir ». À l'évidence, c'est l'archéologie funéraire d'une part, d'autre part l'étude de l'architecture - moyen ou manifestation du pouvoir en tant que tel ; expression du pouvoir dans la ville - qui fournissent les meilleurs angles d'approche, les données les plus nettes.
C'est donc sous ces trois entrées - les pratiques funéraires, indices du statut des défunts ; l'architecture, mise en scène et innovations ; agglomération et espace urbain, l'organisation et la gestion d'un espace révélateur - que sont assemblées les quinze contributions de ce livre. Elles entraîneront son lecteur du IIIe millénaire av. J.-C. au XVe siècle apr. J.-C., du Michoacan mexicain au Japon et du Kent à l'Inde méridionale.
La monotonie n'est pas à craindre !
À l'instar des autres disciplines des sciences humaines et sociales, mais avec ses outils propres, des outils au sens propre, l'archéologie scrute en effet les sphères sociales et politiques. Elle peut même contribuer de façon saisissante à mettre en lumière des facettes, voire des séquences constitutives, de ces compositions complexes, subtiles et changeantes qu'on nomme « le pouvoir ». À l'évidence, c'est l'archéologie funéraire d'une part, d'autre part l'étude de l'architecture - moyen ou manifestation du pouvoir en tant que tel ; expression du pouvoir dans la ville - qui fournissent les meilleurs angles d'approche, les données les plus nettes.
C'est donc sous ces trois entrées - les pratiques funéraires, indices du statut des défunts ; l'architecture, mise en scène et innovations ; agglomération et espace urbain, l'organisation et la gestion d'un espace révélateur - que sont assemblées les quinze contributions de ce livre. Elles entraîneront son lecteur du IIIe millénaire av. J.-C. au XVe siècle apr. J.-C., du Michoacan mexicain au Japon et du Kent à l'Inde méridionale.
La monotonie n'est pas à craindre !
Les journées annuelles de l'école doctorale d'archéologie de l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne ont, comme leur publication dans Archéo. Doct, pris leur rythme de croisière : elles ne s'engluent pas pour autant dans la routine ni la technicité. Le thème retenu pour cette quatrième livraison d'Archéo. Doct, les marqueurs du pouvoir, est de ceux qui peuvent fédérer les jeunes archéologues des horizons et spécialités les plus divers et conférer à leurs données et leurs réflexions un vif attrait pour leurs lecteurs non archéologues.
À l'instar des autres disciplines des sciences humaines et sociales, mais avec ses outils propres, des outils au sens propre, l'archéologie scrute en effet les sphères sociales et politiques. Elle peut même contribuer de façon saisissante à mettre en lumière des facettes, voire des séquences constitutives, de ces compositions complexes, subtiles et changeantes qu'on nomme « le pouvoir ». À l'évidence, c'est l'archéologie funéraire d'une part, d'autre part l'étude de l'architecture - moyen ou manifestation du pouvoir en tant que tel ; expression du pouvoir dans la ville - qui fournissent les meilleurs angles d'approche, les données les plus nettes.
C'est donc sous ces trois entrées - les pratiques funéraires, indices du statut des défunts ; l'architecture, mise en scène et innovations ; agglomération et espace urbain, l'organisation et la gestion d'un espace révélateur - que sont assemblées les quinze contributions de ce livre. Elles entraîneront son lecteur du IIIe millénaire av. J.-C. au XVe siècle apr. J.-C., du Michoacan mexicain au Japon et du Kent à l'Inde méridionale.
La monotonie n'est pas à craindre !
À l'instar des autres disciplines des sciences humaines et sociales, mais avec ses outils propres, des outils au sens propre, l'archéologie scrute en effet les sphères sociales et politiques. Elle peut même contribuer de façon saisissante à mettre en lumière des facettes, voire des séquences constitutives, de ces compositions complexes, subtiles et changeantes qu'on nomme « le pouvoir ». À l'évidence, c'est l'archéologie funéraire d'une part, d'autre part l'étude de l'architecture - moyen ou manifestation du pouvoir en tant que tel ; expression du pouvoir dans la ville - qui fournissent les meilleurs angles d'approche, les données les plus nettes.
C'est donc sous ces trois entrées - les pratiques funéraires, indices du statut des défunts ; l'architecture, mise en scène et innovations ; agglomération et espace urbain, l'organisation et la gestion d'un espace révélateur - que sont assemblées les quinze contributions de ce livre. Elles entraîneront son lecteur du IIIe millénaire av. J.-C. au XVe siècle apr. J.-C., du Michoacan mexicain au Japon et du Kent à l'Inde méridionale.
La monotonie n'est pas à craindre !