Ce livre, écrit dans les années 30, met la lumière sur la jeunesse éduquée de la capitale iranienne, des bancs de l'école à la taverne, de la vie familiale à la maison close, révélant une réalité sombre voire terrifiante de ces lieux de débauche et de plaisirs.
Dans une langue simple mais authentique, Mohammad Massoud touche à l'intimité et aux souffrances existentielles de son temps. Feuilletoniste, il publia pour la première fois, dans un des journaux les plus lus alors, Shafagh é Sorkh, ce roman qui remporte un succès immédiat et attire l'attention de certaines figures éminentes de la littérature iranienne comme Mohammad-Ali Djamalzadeh.
C'est le début de la reconnaissance littéraire et ce roman reste l'un des meilleurs sur la condition, les vices et les vertus d'une classe sociale du pays.
Ce livre, écrit dans les années 30, met la lumière sur la jeunesse éduquée de la capitale iranienne, des bancs de l'école à la taverne, de la vie familiale à la maison close, révélant une réalité sombre voire terrifiante de ces lieux de débauche et de plaisirs.
Dans une langue simple mais authentique, Mohammad Massoud touche à l'intimité et aux souffrances existentielles de son temps. Feuilletoniste, il publia pour la première fois, dans un des journaux les plus lus alors, Shafagh é Sorkh, ce roman qui remporte un succès immédiat et attire l'attention de certaines figures éminentes de la littérature iranienne comme Mohammad-Ali Djamalzadeh.
C'est le début de la reconnaissance littéraire et ce roman reste l'un des meilleurs sur la condition, les vices et les vertus d'une classe sociale du pays.