Les larmes d‘Isaan
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- FormatMulti-format
- ISBN978-952-273-424-2
- EAN9789522734242
- Date de parution18/06/2014
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant Mobipocket...
- ÉditeurAtramenta
Résumé
Imaginez-moi en Odipe, face à mes responsabilités du moment, et souvenez-vous de cette histoire que je vous ai susurrée maintes fois en embrassant avec suavité vos lobes délicieux :
« Le Sphinx était immobile, Odipe faisait face à lui. L'étrange animal posa une énigme. Qui marche à quatre pattes le matin, à deux le midi et à trois le soir ? Odipe doit répondre avec précision, la liberté de Thèbes en dépend.
C'est l'Homme, qui au matin de sa vie se déplace à quatre pattes, au midi de sa vie marche avec ses deux jambes, et qui, au soir de sa vie, s'aide d'une canne, marchant ainsi sur trois pattes », répondit-il. La ville fut sauvée, Odipe adulé. Je suis passé devant le Sphinx. Après m'avoir regardé longuement, la bête m'a posé l'énigme suivante : « Vous souvenez-vous de Thèbes ? Sûrement, mais Thèbes n'est plus, votre Monde est, alors cherchez le sens réel de la Suite de Thèbes 4-2-3 ». Se passionner pour les mathématiques, c'est plonger dans les ténèbres.
C'est une science abyssale magnifique. Percer ses mystères est un rayon de soleil qui vous éclaire. Faut-il avoir la compétence, la patience et la chance d'y consacrer du temps ? Pourtant, chercher le sens de la vie dans les nombres me paraît être une vaine démarche, les plus grands penseurs se sont tous perdus à le faire ; d'ailleurs, ils errent dans les forêts des songes, au clair de lune, à l'aube morne. Oublier le temps, chercher le sens, fouiller dans son intérieur, c'est parfois contradictoire ; Pierre Assouline disait que lorsque nous avons une vie intérieure, nous menons déjà une double vie.
C'est l'Homme, qui au matin de sa vie se déplace à quatre pattes, au midi de sa vie marche avec ses deux jambes, et qui, au soir de sa vie, s'aide d'une canne, marchant ainsi sur trois pattes », répondit-il. La ville fut sauvée, Odipe adulé. Je suis passé devant le Sphinx. Après m'avoir regardé longuement, la bête m'a posé l'énigme suivante : « Vous souvenez-vous de Thèbes ? Sûrement, mais Thèbes n'est plus, votre Monde est, alors cherchez le sens réel de la Suite de Thèbes 4-2-3 ». Se passionner pour les mathématiques, c'est plonger dans les ténèbres.
C'est une science abyssale magnifique. Percer ses mystères est un rayon de soleil qui vous éclaire. Faut-il avoir la compétence, la patience et la chance d'y consacrer du temps ? Pourtant, chercher le sens de la vie dans les nombres me paraît être une vaine démarche, les plus grands penseurs se sont tous perdus à le faire ; d'ailleurs, ils errent dans les forêts des songes, au clair de lune, à l'aube morne. Oublier le temps, chercher le sens, fouiller dans son intérieur, c'est parfois contradictoire ; Pierre Assouline disait que lorsque nous avons une vie intérieure, nous menons déjà une double vie.
Imaginez-moi en Odipe, face à mes responsabilités du moment, et souvenez-vous de cette histoire que je vous ai susurrée maintes fois en embrassant avec suavité vos lobes délicieux :
« Le Sphinx était immobile, Odipe faisait face à lui. L'étrange animal posa une énigme. Qui marche à quatre pattes le matin, à deux le midi et à trois le soir ? Odipe doit répondre avec précision, la liberté de Thèbes en dépend.
C'est l'Homme, qui au matin de sa vie se déplace à quatre pattes, au midi de sa vie marche avec ses deux jambes, et qui, au soir de sa vie, s'aide d'une canne, marchant ainsi sur trois pattes », répondit-il. La ville fut sauvée, Odipe adulé. Je suis passé devant le Sphinx. Après m'avoir regardé longuement, la bête m'a posé l'énigme suivante : « Vous souvenez-vous de Thèbes ? Sûrement, mais Thèbes n'est plus, votre Monde est, alors cherchez le sens réel de la Suite de Thèbes 4-2-3 ». Se passionner pour les mathématiques, c'est plonger dans les ténèbres.
C'est une science abyssale magnifique. Percer ses mystères est un rayon de soleil qui vous éclaire. Faut-il avoir la compétence, la patience et la chance d'y consacrer du temps ? Pourtant, chercher le sens de la vie dans les nombres me paraît être une vaine démarche, les plus grands penseurs se sont tous perdus à le faire ; d'ailleurs, ils errent dans les forêts des songes, au clair de lune, à l'aube morne. Oublier le temps, chercher le sens, fouiller dans son intérieur, c'est parfois contradictoire ; Pierre Assouline disait que lorsque nous avons une vie intérieure, nous menons déjà une double vie.
C'est l'Homme, qui au matin de sa vie se déplace à quatre pattes, au midi de sa vie marche avec ses deux jambes, et qui, au soir de sa vie, s'aide d'une canne, marchant ainsi sur trois pattes », répondit-il. La ville fut sauvée, Odipe adulé. Je suis passé devant le Sphinx. Après m'avoir regardé longuement, la bête m'a posé l'énigme suivante : « Vous souvenez-vous de Thèbes ? Sûrement, mais Thèbes n'est plus, votre Monde est, alors cherchez le sens réel de la Suite de Thèbes 4-2-3 ». Se passionner pour les mathématiques, c'est plonger dans les ténèbres.
C'est une science abyssale magnifique. Percer ses mystères est un rayon de soleil qui vous éclaire. Faut-il avoir la compétence, la patience et la chance d'y consacrer du temps ? Pourtant, chercher le sens de la vie dans les nombres me paraît être une vaine démarche, les plus grands penseurs se sont tous perdus à le faire ; d'ailleurs, ils errent dans les forêts des songes, au clair de lune, à l'aube morne. Oublier le temps, chercher le sens, fouiller dans son intérieur, c'est parfois contradictoire ; Pierre Assouline disait que lorsque nous avons une vie intérieure, nous menons déjà une double vie.