Les intermittences du sujet. Ecritures de soi et discontinu
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- Nombre de pages390
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-5744-4
- EAN9782753557444
- Date de parution25/09/2018
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec Watermark, ePub avec Watermark, Mobipocket avec Watermark et Accès streaming
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Cent ans après À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust, les intermittences du cour demeurent, mais les mots pour le dire s'inscrivent dans un nouveau paradigme, celui du discontinu. L'écriture de soi ne cesse d'imploser dans d'infinies intermittences génériques et scripturales qui témoignent d'un sujet désireux moins de se prendre intus et in cute que de se déprendre en privilégiant la recherche d'un soi à travers ses métamorphoses et ses virtualités.
La notion de vérité se déplace, comme le montre déjà Michel Leiris cherchant sa vérité dans les tableaux de Cranach, ou Serge Doubrovsky, inventeur du terme « autofiction ». Si la psychanalyse change la donne de la recherche de soi, la grande hache de l'Histoire entre pour une large part dans cette nouvelle écriture d'un soi comme exproprié de lui-même, notamment de son passé et de sa filiation, contraint, comme Jorge Semprun ou Alain Fleischer, à s'inventer.
Théâtre, cinéma, arts plastiques et multimédias s'en font l'écho dans des pratiques comparables de bricolage et de recomposition, à l'image d'Agnès Varda, qui, dans ses films ou ses installations, met en scène l'éphémère et le précaire. L'originalité de cet ouvrage tient à sa problématique audacieuse, urgente, complexe autant que mouvante, à laquelle elle tente de répondre en interrogeant des ouvres canoniques aussi bien que récentes grâce à des approches multiples et diverses qui mettent la littérature au cour d'un dialogue avec les arts et la pensée de son temps.
La notion de vérité se déplace, comme le montre déjà Michel Leiris cherchant sa vérité dans les tableaux de Cranach, ou Serge Doubrovsky, inventeur du terme « autofiction ». Si la psychanalyse change la donne de la recherche de soi, la grande hache de l'Histoire entre pour une large part dans cette nouvelle écriture d'un soi comme exproprié de lui-même, notamment de son passé et de sa filiation, contraint, comme Jorge Semprun ou Alain Fleischer, à s'inventer.
Théâtre, cinéma, arts plastiques et multimédias s'en font l'écho dans des pratiques comparables de bricolage et de recomposition, à l'image d'Agnès Varda, qui, dans ses films ou ses installations, met en scène l'éphémère et le précaire. L'originalité de cet ouvrage tient à sa problématique audacieuse, urgente, complexe autant que mouvante, à laquelle elle tente de répondre en interrogeant des ouvres canoniques aussi bien que récentes grâce à des approches multiples et diverses qui mettent la littérature au cour d'un dialogue avec les arts et la pensée de son temps.
Cent ans après À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust, les intermittences du cour demeurent, mais les mots pour le dire s'inscrivent dans un nouveau paradigme, celui du discontinu. L'écriture de soi ne cesse d'imploser dans d'infinies intermittences génériques et scripturales qui témoignent d'un sujet désireux moins de se prendre intus et in cute que de se déprendre en privilégiant la recherche d'un soi à travers ses métamorphoses et ses virtualités.
La notion de vérité se déplace, comme le montre déjà Michel Leiris cherchant sa vérité dans les tableaux de Cranach, ou Serge Doubrovsky, inventeur du terme « autofiction ». Si la psychanalyse change la donne de la recherche de soi, la grande hache de l'Histoire entre pour une large part dans cette nouvelle écriture d'un soi comme exproprié de lui-même, notamment de son passé et de sa filiation, contraint, comme Jorge Semprun ou Alain Fleischer, à s'inventer.
Théâtre, cinéma, arts plastiques et multimédias s'en font l'écho dans des pratiques comparables de bricolage et de recomposition, à l'image d'Agnès Varda, qui, dans ses films ou ses installations, met en scène l'éphémère et le précaire. L'originalité de cet ouvrage tient à sa problématique audacieuse, urgente, complexe autant que mouvante, à laquelle elle tente de répondre en interrogeant des ouvres canoniques aussi bien que récentes grâce à des approches multiples et diverses qui mettent la littérature au cour d'un dialogue avec les arts et la pensée de son temps.
La notion de vérité se déplace, comme le montre déjà Michel Leiris cherchant sa vérité dans les tableaux de Cranach, ou Serge Doubrovsky, inventeur du terme « autofiction ». Si la psychanalyse change la donne de la recherche de soi, la grande hache de l'Histoire entre pour une large part dans cette nouvelle écriture d'un soi comme exproprié de lui-même, notamment de son passé et de sa filiation, contraint, comme Jorge Semprun ou Alain Fleischer, à s'inventer.
Théâtre, cinéma, arts plastiques et multimédias s'en font l'écho dans des pratiques comparables de bricolage et de recomposition, à l'image d'Agnès Varda, qui, dans ses films ou ses installations, met en scène l'éphémère et le précaire. L'originalité de cet ouvrage tient à sa problématique audacieuse, urgente, complexe autant que mouvante, à laquelle elle tente de répondre en interrogeant des ouvres canoniques aussi bien que récentes grâce à des approches multiples et diverses qui mettent la littérature au cour d'un dialogue avec les arts et la pensée de son temps.