Les idées sociales de Nietzsche et la morale aristocratique du Surhomme

Par : Alfred Fouillée

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  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-38111-984-7
  • EAN9782381119847
  • Date de parution16/02/2024
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurEditions Homme et Litterature

Résumé

Nietzsche accuse de nihilisme la société européenne et, par nihilisme, il entend l'affaissement ou l'annulation de la volonté de puissance, fond de la vie individuelle et sociale. Toute la société « moderne », selon lui, est victime d'une immense erreur, qui est la cause de l'universelle décadence. Une société déchoit quand elle prend pour principes d'action des valeurs antivitales, c'est-à-dire contraires au sens même de la vie, qui est la recherche insatiable du pouvoir et de la domination.
La maladie moderne, le mal des civilisés, selon Nietzsche, c'est l'atonie et l'impuissance de la volonté... La grande faute de la société moderne, qui a fait de la religion « une décadence », de la morale une « décadence », de la philosophie une « décadence », c'est d'avoir substitué au naturel déploiement de la force la recherche artificielle et vaine de la justice pour tous, du bonheur pour tous.
Voyons ce que dit Nietzsche dans sa critique de l'idée de justice sous les formes diverses et, selon lui, également décadentes de la démocratie, du socialisme, de l'anarchisme et du christianisme.
Nietzsche accuse de nihilisme la société européenne et, par nihilisme, il entend l'affaissement ou l'annulation de la volonté de puissance, fond de la vie individuelle et sociale. Toute la société « moderne », selon lui, est victime d'une immense erreur, qui est la cause de l'universelle décadence. Une société déchoit quand elle prend pour principes d'action des valeurs antivitales, c'est-à-dire contraires au sens même de la vie, qui est la recherche insatiable du pouvoir et de la domination.
La maladie moderne, le mal des civilisés, selon Nietzsche, c'est l'atonie et l'impuissance de la volonté... La grande faute de la société moderne, qui a fait de la religion « une décadence », de la morale une « décadence », de la philosophie une « décadence », c'est d'avoir substitué au naturel déploiement de la force la recherche artificielle et vaine de la justice pour tous, du bonheur pour tous.
Voyons ce que dit Nietzsche dans sa critique de l'idée de justice sous les formes diverses et, selon lui, également décadentes de la démocratie, du socialisme, de l'anarchisme et du christianisme.
Des fonctions de la mémoire
Alfred Fouillée
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