Les Griffes de la forêt
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- Nombre de pages272
- FormatePub
- ISBN978-2-246-83853-1
- EAN9782246838531
- Date de parution03/09/2025
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
Gabriela Cabezón Cámara, l'une des plus grandes plumes de la scène littéraire argentine, nous raconte l'histoire d'Antonio de Erauso, plus connu sous le nom de la « nonne-soldat ». Nous sommes au xviième siècle, et il a quitté son Espagne natale pour mener une carrière militaire aux Amériques. En conflit avec sa hiérarchie, Antonio s'est s'évadé du camp où l'armée occupante torture des autochtones, libérant deux jeunes Indiennes Guaranies pendant sa fuite.
Caché dans la forêt, au milieu d'une nature féroce et luxuriante, Antonio écrit à sa tante pour lui raconter ses aventures. Tenant à la fois de la confession et du testament, sa longue lettre relate l'enfance d'un aristocrate né dans un corps de femme au Pays basque, placé dans un couvent dont il a pris la fuite pour mener une vie d'aventure et de voyage. Soldat, courtisan et assassin, Antonio ne se repend de rien dans son geste d'écriture ; il est plutôt grisé par cette mise à nu absolue, après un quotidien d'errance et de dissimulation.
Régulièrement interrompu par les deux filles qui l'accompagnent, Mitãkuña et Michï, Antonio prend soin d'elles pour tenir une promesse faite à la Vierge de l'orangeraie, qui lui a elle-même sauvé la vie. Roman picaresque et réflexion sur la transformation, Les griffes de la forêt dépasse la question de l'identité de genre en explorant la complexité d'Antonio : conquistador lorsqu'il pose le pied pour la première fois dans le « Nouveau Monde », il prendra fait et cause pour les Indiens en choisissant le camp de la forêt.
Ce nouveau livre de Gabriela Cabezón Cámara, déjà culte en Amérique latine, propose une nouvelle grammaire de l'amour dans laquelle le cinéma de Miyazaki, les prières en latin, et les chants basques se mêlent pour briser les carcans du Siècle d'or espagnol. Traduit de l'espagnol (Argentine) par Guillaume Contré
Caché dans la forêt, au milieu d'une nature féroce et luxuriante, Antonio écrit à sa tante pour lui raconter ses aventures. Tenant à la fois de la confession et du testament, sa longue lettre relate l'enfance d'un aristocrate né dans un corps de femme au Pays basque, placé dans un couvent dont il a pris la fuite pour mener une vie d'aventure et de voyage. Soldat, courtisan et assassin, Antonio ne se repend de rien dans son geste d'écriture ; il est plutôt grisé par cette mise à nu absolue, après un quotidien d'errance et de dissimulation.
Régulièrement interrompu par les deux filles qui l'accompagnent, Mitãkuña et Michï, Antonio prend soin d'elles pour tenir une promesse faite à la Vierge de l'orangeraie, qui lui a elle-même sauvé la vie. Roman picaresque et réflexion sur la transformation, Les griffes de la forêt dépasse la question de l'identité de genre en explorant la complexité d'Antonio : conquistador lorsqu'il pose le pied pour la première fois dans le « Nouveau Monde », il prendra fait et cause pour les Indiens en choisissant le camp de la forêt.
Ce nouveau livre de Gabriela Cabezón Cámara, déjà culte en Amérique latine, propose une nouvelle grammaire de l'amour dans laquelle le cinéma de Miyazaki, les prières en latin, et les chants basques se mêlent pour briser les carcans du Siècle d'or espagnol. Traduit de l'espagnol (Argentine) par Guillaume Contré
Gabriela Cabezón Cámara, l'une des plus grandes plumes de la scène littéraire argentine, nous raconte l'histoire d'Antonio de Erauso, plus connu sous le nom de la « nonne-soldat ». Nous sommes au xviième siècle, et il a quitté son Espagne natale pour mener une carrière militaire aux Amériques. En conflit avec sa hiérarchie, Antonio s'est s'évadé du camp où l'armée occupante torture des autochtones, libérant deux jeunes Indiennes Guaranies pendant sa fuite.
Caché dans la forêt, au milieu d'une nature féroce et luxuriante, Antonio écrit à sa tante pour lui raconter ses aventures. Tenant à la fois de la confession et du testament, sa longue lettre relate l'enfance d'un aristocrate né dans un corps de femme au Pays basque, placé dans un couvent dont il a pris la fuite pour mener une vie d'aventure et de voyage. Soldat, courtisan et assassin, Antonio ne se repend de rien dans son geste d'écriture ; il est plutôt grisé par cette mise à nu absolue, après un quotidien d'errance et de dissimulation.
Régulièrement interrompu par les deux filles qui l'accompagnent, Mitãkuña et Michï, Antonio prend soin d'elles pour tenir une promesse faite à la Vierge de l'orangeraie, qui lui a elle-même sauvé la vie. Roman picaresque et réflexion sur la transformation, Les griffes de la forêt dépasse la question de l'identité de genre en explorant la complexité d'Antonio : conquistador lorsqu'il pose le pied pour la première fois dans le « Nouveau Monde », il prendra fait et cause pour les Indiens en choisissant le camp de la forêt.
Ce nouveau livre de Gabriela Cabezón Cámara, déjà culte en Amérique latine, propose une nouvelle grammaire de l'amour dans laquelle le cinéma de Miyazaki, les prières en latin, et les chants basques se mêlent pour briser les carcans du Siècle d'or espagnol. Traduit de l'espagnol (Argentine) par Guillaume Contré
Caché dans la forêt, au milieu d'une nature féroce et luxuriante, Antonio écrit à sa tante pour lui raconter ses aventures. Tenant à la fois de la confession et du testament, sa longue lettre relate l'enfance d'un aristocrate né dans un corps de femme au Pays basque, placé dans un couvent dont il a pris la fuite pour mener une vie d'aventure et de voyage. Soldat, courtisan et assassin, Antonio ne se repend de rien dans son geste d'écriture ; il est plutôt grisé par cette mise à nu absolue, après un quotidien d'errance et de dissimulation.
Régulièrement interrompu par les deux filles qui l'accompagnent, Mitãkuña et Michï, Antonio prend soin d'elles pour tenir une promesse faite à la Vierge de l'orangeraie, qui lui a elle-même sauvé la vie. Roman picaresque et réflexion sur la transformation, Les griffes de la forêt dépasse la question de l'identité de genre en explorant la complexité d'Antonio : conquistador lorsqu'il pose le pied pour la première fois dans le « Nouveau Monde », il prendra fait et cause pour les Indiens en choisissant le camp de la forêt.
Ce nouveau livre de Gabriela Cabezón Cámara, déjà culte en Amérique latine, propose une nouvelle grammaire de l'amour dans laquelle le cinéma de Miyazaki, les prières en latin, et les chants basques se mêlent pour briser les carcans du Siècle d'or espagnol. Traduit de l'espagnol (Argentine) par Guillaume Contré