Les grandes pages du journal d'Ananda Ranga pillai. Courtier de la compagnie des Indes auprès des gouverneurs de Pondichéry (1736-1760)
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- Nombre de pages476
- FormatPDF
- ISBN2-296-31499-6
- EAN9782296314993
- Date de parution01/04/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean Deloche
Résumé
Ananda Ranga Pillai, courtier de la Compagnie des Indes auprès de quatre gouverneurs, dont le plus célèbre fut Dupleix, vécut jour par jour entre deux mondes, la communauté indienne de Pondichéry, dont il était officiellement le chef, et la société qui gravitait autour du gouverneur, dont il fut le premier interprète, le " dobache ". Son journal (1736-1760), rédigé en tamoul, constitue un document irremplaçable sur la vie quotidienne à Pondichéry, éphémère capitale d'un empire français qui domina une moitié de la péninsule.
Il permet de revivre en direct la confrontation, vécue par un observateur exceptionnel, du monde indien avec la civilisation occidentale. La présente anthologie est la réduction d'une traduction anglaise comprenant 5 200 pages en 12 volumes, publiée au début du XIXe siècle. L'original n'a jamais été traduit dans notre langue, sinon de façon très partielle (et partiale), puisque leurs auteurs ne retinrent que les louanges à la gloire de Dupleix ou en faveur de Lally-Tollendal.
Par ailleurs, des historiens ont puisé dans cette mine d'informations, sans jamais dégager la valeur littéraire de l'œuvre. C'est elle que met en évidence la présente anthologie : il y a du Saint-Simon dans la peinture de la vie de cour, du Restif dans celle des mœurs, du Molière dans le comique de situation et les effets de répétitions, du Mérimée dans le choix des petits faits et l'émotion contenue.
Enfin les amateurs d'histoire trouveront, dans cette chronique de la vie d'une cité, qui fut franco-indienne, le reflet de son évolution et, dans ses dernières pages, de son dramatique déclin.
Il permet de revivre en direct la confrontation, vécue par un observateur exceptionnel, du monde indien avec la civilisation occidentale. La présente anthologie est la réduction d'une traduction anglaise comprenant 5 200 pages en 12 volumes, publiée au début du XIXe siècle. L'original n'a jamais été traduit dans notre langue, sinon de façon très partielle (et partiale), puisque leurs auteurs ne retinrent que les louanges à la gloire de Dupleix ou en faveur de Lally-Tollendal.
Par ailleurs, des historiens ont puisé dans cette mine d'informations, sans jamais dégager la valeur littéraire de l'œuvre. C'est elle que met en évidence la présente anthologie : il y a du Saint-Simon dans la peinture de la vie de cour, du Restif dans celle des mœurs, du Molière dans le comique de situation et les effets de répétitions, du Mérimée dans le choix des petits faits et l'émotion contenue.
Enfin les amateurs d'histoire trouveront, dans cette chronique de la vie d'une cité, qui fut franco-indienne, le reflet de son évolution et, dans ses dernières pages, de son dramatique déclin.
Ananda Ranga Pillai, courtier de la Compagnie des Indes auprès de quatre gouverneurs, dont le plus célèbre fut Dupleix, vécut jour par jour entre deux mondes, la communauté indienne de Pondichéry, dont il était officiellement le chef, et la société qui gravitait autour du gouverneur, dont il fut le premier interprète, le " dobache ". Son journal (1736-1760), rédigé en tamoul, constitue un document irremplaçable sur la vie quotidienne à Pondichéry, éphémère capitale d'un empire français qui domina une moitié de la péninsule.
Il permet de revivre en direct la confrontation, vécue par un observateur exceptionnel, du monde indien avec la civilisation occidentale. La présente anthologie est la réduction d'une traduction anglaise comprenant 5 200 pages en 12 volumes, publiée au début du XIXe siècle. L'original n'a jamais été traduit dans notre langue, sinon de façon très partielle (et partiale), puisque leurs auteurs ne retinrent que les louanges à la gloire de Dupleix ou en faveur de Lally-Tollendal.
Par ailleurs, des historiens ont puisé dans cette mine d'informations, sans jamais dégager la valeur littéraire de l'œuvre. C'est elle que met en évidence la présente anthologie : il y a du Saint-Simon dans la peinture de la vie de cour, du Restif dans celle des mœurs, du Molière dans le comique de situation et les effets de répétitions, du Mérimée dans le choix des petits faits et l'émotion contenue.
Enfin les amateurs d'histoire trouveront, dans cette chronique de la vie d'une cité, qui fut franco-indienne, le reflet de son évolution et, dans ses dernières pages, de son dramatique déclin.
Il permet de revivre en direct la confrontation, vécue par un observateur exceptionnel, du monde indien avec la civilisation occidentale. La présente anthologie est la réduction d'une traduction anglaise comprenant 5 200 pages en 12 volumes, publiée au début du XIXe siècle. L'original n'a jamais été traduit dans notre langue, sinon de façon très partielle (et partiale), puisque leurs auteurs ne retinrent que les louanges à la gloire de Dupleix ou en faveur de Lally-Tollendal.
Par ailleurs, des historiens ont puisé dans cette mine d'informations, sans jamais dégager la valeur littéraire de l'œuvre. C'est elle que met en évidence la présente anthologie : il y a du Saint-Simon dans la peinture de la vie de cour, du Restif dans celle des mœurs, du Molière dans le comique de situation et les effets de répétitions, du Mérimée dans le choix des petits faits et l'émotion contenue.
Enfin les amateurs d'histoire trouveront, dans cette chronique de la vie d'une cité, qui fut franco-indienne, le reflet de son évolution et, dans ses dernières pages, de son dramatique déclin.