Les gens ordinaires ne portent pas de mitraillettes
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages128
- FormatePub
- ISBN979-10-363-6773-1
- EAN9791036367731
- Date de parution07/02/2024
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBayard
- TraducteurIrina Bonin
Résumé
Au lendemain de l'invasion de son pays par la Russie, l'écrivain ukrainien Artem Chapeye décide de s'engager dans l'armée. Ce choix spontané va marquer les mois, les années à venir et même la vie de l'auteur. Rédigé sur le front, ce récit est celui d'une personne ordinaire qui n'aurait jamais dû porter une mitraillette si la guerre n'avait pas été déclarée. Son enrôlement dans "la résistance" va ébranler ses convictions politiques et bousculer sa vie familiale et amicale.
À travers un texte poignant et intimiste, l'auteur partage le quotidien émotionnel d'un soldat et interroge la manière dont nos choix font notre identité, dans un contexte de conflit armé comme dans chaque moment de vie où le destin bascule. Traduit de l'ukrainien par Iryna Dmytrychyn Ce livre a été publié avec l'aimable autorisation des éditions Bleu et Jaune.« Journal du front et de réflexion sur l'engagement, ce récit poignant nous saisit et ne nous quitte plus. » Catherine Lalanne, Le Pèlerin« Écrivain et pacifiste, Artem Chapeye a pourtant choisi de rejoindre les rangs de l'armée ukrainienne dès les premiers jours de l'invasion russe.
Il explique les ressorts de ce choix existentiel dans un témoignage poignant. » Samuel Ribot, Le Télégramme« Artem Chapeye livre un récit poignant de la confrontation à la guerre. » Le Nouvel Obs« Son récit est celui d'un homme qui voit la guerre transformer et révéler les êtres, parfois en bien comme ces soldats qui deviennent « plus doux » et qui abandonne le superflu pour accéder à l'essentiel. » Libération
À travers un texte poignant et intimiste, l'auteur partage le quotidien émotionnel d'un soldat et interroge la manière dont nos choix font notre identité, dans un contexte de conflit armé comme dans chaque moment de vie où le destin bascule. Traduit de l'ukrainien par Iryna Dmytrychyn Ce livre a été publié avec l'aimable autorisation des éditions Bleu et Jaune.« Journal du front et de réflexion sur l'engagement, ce récit poignant nous saisit et ne nous quitte plus. » Catherine Lalanne, Le Pèlerin« Écrivain et pacifiste, Artem Chapeye a pourtant choisi de rejoindre les rangs de l'armée ukrainienne dès les premiers jours de l'invasion russe.
Il explique les ressorts de ce choix existentiel dans un témoignage poignant. » Samuel Ribot, Le Télégramme« Artem Chapeye livre un récit poignant de la confrontation à la guerre. » Le Nouvel Obs« Son récit est celui d'un homme qui voit la guerre transformer et révéler les êtres, parfois en bien comme ces soldats qui deviennent « plus doux » et qui abandonne le superflu pour accéder à l'essentiel. » Libération
Au lendemain de l'invasion de son pays par la Russie, l'écrivain ukrainien Artem Chapeye décide de s'engager dans l'armée. Ce choix spontané va marquer les mois, les années à venir et même la vie de l'auteur. Rédigé sur le front, ce récit est celui d'une personne ordinaire qui n'aurait jamais dû porter une mitraillette si la guerre n'avait pas été déclarée. Son enrôlement dans "la résistance" va ébranler ses convictions politiques et bousculer sa vie familiale et amicale.
À travers un texte poignant et intimiste, l'auteur partage le quotidien émotionnel d'un soldat et interroge la manière dont nos choix font notre identité, dans un contexte de conflit armé comme dans chaque moment de vie où le destin bascule. Traduit de l'ukrainien par Iryna Dmytrychyn Ce livre a été publié avec l'aimable autorisation des éditions Bleu et Jaune.« Journal du front et de réflexion sur l'engagement, ce récit poignant nous saisit et ne nous quitte plus. » Catherine Lalanne, Le Pèlerin« Écrivain et pacifiste, Artem Chapeye a pourtant choisi de rejoindre les rangs de l'armée ukrainienne dès les premiers jours de l'invasion russe.
Il explique les ressorts de ce choix existentiel dans un témoignage poignant. » Samuel Ribot, Le Télégramme« Artem Chapeye livre un récit poignant de la confrontation à la guerre. » Le Nouvel Obs« Son récit est celui d'un homme qui voit la guerre transformer et révéler les êtres, parfois en bien comme ces soldats qui deviennent « plus doux » et qui abandonne le superflu pour accéder à l'essentiel. » Libération
À travers un texte poignant et intimiste, l'auteur partage le quotidien émotionnel d'un soldat et interroge la manière dont nos choix font notre identité, dans un contexte de conflit armé comme dans chaque moment de vie où le destin bascule. Traduit de l'ukrainien par Iryna Dmytrychyn Ce livre a été publié avec l'aimable autorisation des éditions Bleu et Jaune.« Journal du front et de réflexion sur l'engagement, ce récit poignant nous saisit et ne nous quitte plus. » Catherine Lalanne, Le Pèlerin« Écrivain et pacifiste, Artem Chapeye a pourtant choisi de rejoindre les rangs de l'armée ukrainienne dès les premiers jours de l'invasion russe.
Il explique les ressorts de ce choix existentiel dans un témoignage poignant. » Samuel Ribot, Le Télégramme« Artem Chapeye livre un récit poignant de la confrontation à la guerre. » Le Nouvel Obs« Son récit est celui d'un homme qui voit la guerre transformer et révéler les êtres, parfois en bien comme ces soldats qui deviennent « plus doux » et qui abandonne le superflu pour accéder à l'essentiel. » Libération