Née à Saint-Malo en 1979, Agnès Martin-Lugand analyse avec finesse et humour les mécanismes de l'âme humaine pour livrer des récits attendrissant. Etant psychologue pour enfant de formation, elle rencontre un succès avec son premier roman Les gens heureux lisent et boivent du café qui a été traduit en plusieurs langues. D’autres romans suivront : Entre mes mains le bonheur se faufile, Désolée, je suis attendue et La vie est facile, ne t'inquiète pas.
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- Nombre de pages124
- FormatePub
- ISBN978-2-7499-1999-7
- EAN9782749919997
- Date de parution10/06/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille591 Ko
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
« Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. [.] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. »
Incapable de se remettre de la disparition tragique de son mari et de sa fille, Diane s'enferme chez elle, abandonnant du jour au lendemain le café littéraire qu'elle tenait, au nom singulier : « Les gens heureux lisent et boivent du café ».
Tout se fige en elle, à l'exception de son cour, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. En souvenir de Colin, son mari, Diane décide de fuir et de se réfugier en Irlande. Seule avec son passé, trouvera-t-elle, loin de ses repères, la force de se reconstruire ?
Tout se fige en elle, à l'exception de son cour, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. En souvenir de Colin, son mari, Diane décide de fuir et de se réfugier en Irlande. Seule avec son passé, trouvera-t-elle, loin de ses repères, la force de se reconstruire ?
« Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. [.] J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. »
Incapable de se remettre de la disparition tragique de son mari et de sa fille, Diane s'enferme chez elle, abandonnant du jour au lendemain le café littéraire qu'elle tenait, au nom singulier : « Les gens heureux lisent et boivent du café ».
Tout se fige en elle, à l'exception de son cour, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. En souvenir de Colin, son mari, Diane décide de fuir et de se réfugier en Irlande. Seule avec son passé, trouvera-t-elle, loin de ses repères, la force de se reconstruire ?
Tout se fige en elle, à l'exception de son cour, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. En souvenir de Colin, son mari, Diane décide de fuir et de se réfugier en Irlande. Seule avec son passé, trouvera-t-elle, loin de ses repères, la force de se reconstruire ?
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