Les gens de mon pays
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- Nombre de pages174
- FormatePub
- ISBN978-2-221-15648-3
- EAN9782221156483
- Date de parution06/11/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille619 Ko
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
"Que ce soit à travers Paris ou à travers la France, j'ai le goût d'aller y voir, un vif appétit de raconter et un désir opiniâtre de comprendre. Vingt ans après Dans mon pays lui-même, j'ai repris la route, le train, le bateau, l'avion (et même le vélo électrique), et je suis allé dans des villes, des villages et des campagnes dont je ne savais pas grand-chose, voire rien. Mais j'en connaissais des gens, rencontrés au hasard de mes activités, et ces gens m'avaient donné envie d'en apprendre davantage sur leur coin de France.
À leur tour, ils m'ont fait rencontrer des gens, qui m'ont conduit à d'autres gens. Il n'y a pas d'autre fil conducteur à ce livre que ma curiosité empathique pour ce qu'ils accomplissent et pour ce qu'ils nous disent de notre époque. Il se trouve que les étapes de mon voyage ne sont pas les endroits les plus connus, ni les plus télévisés. Personne ne sait situer le Carladez, à part les patrons de bistrots ; on ne connaît de Groix que la chanson qu'on apprend aux enfants ; de Tulle, on ne s'est guère intéressé qu'à l'ancien maire devenu président ; d'Épinal l'image est infidèle ; de l'installation du Louvre à Lens, dans une région qui espère en sa résilience, il y a beaucoup à apprendre... Devenu journaliste sur le tard, j'ai connu, admiré et aimé ces confrères toujours prêts à boucler leur sac et ignorant la hiérarchie entre les quidams et les importants qui s'étaient baptisés avec ironie l' " école des flâneurs salariés '.
J'espère m'être rapproché d'eux, comme j'espère ne pas décevoir Gilles Vigneault, qui m'a offert le titre de l'une de ses chansons qui parlent le mieux des autres. " Ph. M.
À leur tour, ils m'ont fait rencontrer des gens, qui m'ont conduit à d'autres gens. Il n'y a pas d'autre fil conducteur à ce livre que ma curiosité empathique pour ce qu'ils accomplissent et pour ce qu'ils nous disent de notre époque. Il se trouve que les étapes de mon voyage ne sont pas les endroits les plus connus, ni les plus télévisés. Personne ne sait situer le Carladez, à part les patrons de bistrots ; on ne connaît de Groix que la chanson qu'on apprend aux enfants ; de Tulle, on ne s'est guère intéressé qu'à l'ancien maire devenu président ; d'Épinal l'image est infidèle ; de l'installation du Louvre à Lens, dans une région qui espère en sa résilience, il y a beaucoup à apprendre... Devenu journaliste sur le tard, j'ai connu, admiré et aimé ces confrères toujours prêts à boucler leur sac et ignorant la hiérarchie entre les quidams et les importants qui s'étaient baptisés avec ironie l' " école des flâneurs salariés '.
J'espère m'être rapproché d'eux, comme j'espère ne pas décevoir Gilles Vigneault, qui m'a offert le titre de l'une de ses chansons qui parlent le mieux des autres. " Ph. M.
"Que ce soit à travers Paris ou à travers la France, j'ai le goût d'aller y voir, un vif appétit de raconter et un désir opiniâtre de comprendre. Vingt ans après Dans mon pays lui-même, j'ai repris la route, le train, le bateau, l'avion (et même le vélo électrique), et je suis allé dans des villes, des villages et des campagnes dont je ne savais pas grand-chose, voire rien. Mais j'en connaissais des gens, rencontrés au hasard de mes activités, et ces gens m'avaient donné envie d'en apprendre davantage sur leur coin de France.
À leur tour, ils m'ont fait rencontrer des gens, qui m'ont conduit à d'autres gens. Il n'y a pas d'autre fil conducteur à ce livre que ma curiosité empathique pour ce qu'ils accomplissent et pour ce qu'ils nous disent de notre époque. Il se trouve que les étapes de mon voyage ne sont pas les endroits les plus connus, ni les plus télévisés. Personne ne sait situer le Carladez, à part les patrons de bistrots ; on ne connaît de Groix que la chanson qu'on apprend aux enfants ; de Tulle, on ne s'est guère intéressé qu'à l'ancien maire devenu président ; d'Épinal l'image est infidèle ; de l'installation du Louvre à Lens, dans une région qui espère en sa résilience, il y a beaucoup à apprendre... Devenu journaliste sur le tard, j'ai connu, admiré et aimé ces confrères toujours prêts à boucler leur sac et ignorant la hiérarchie entre les quidams et les importants qui s'étaient baptisés avec ironie l' " école des flâneurs salariés '.
J'espère m'être rapproché d'eux, comme j'espère ne pas décevoir Gilles Vigneault, qui m'a offert le titre de l'une de ses chansons qui parlent le mieux des autres. " Ph. M.
À leur tour, ils m'ont fait rencontrer des gens, qui m'ont conduit à d'autres gens. Il n'y a pas d'autre fil conducteur à ce livre que ma curiosité empathique pour ce qu'ils accomplissent et pour ce qu'ils nous disent de notre époque. Il se trouve que les étapes de mon voyage ne sont pas les endroits les plus connus, ni les plus télévisés. Personne ne sait situer le Carladez, à part les patrons de bistrots ; on ne connaît de Groix que la chanson qu'on apprend aux enfants ; de Tulle, on ne s'est guère intéressé qu'à l'ancien maire devenu président ; d'Épinal l'image est infidèle ; de l'installation du Louvre à Lens, dans une région qui espère en sa résilience, il y a beaucoup à apprendre... Devenu journaliste sur le tard, j'ai connu, admiré et aimé ces confrères toujours prêts à boucler leur sac et ignorant la hiérarchie entre les quidams et les importants qui s'étaient baptisés avec ironie l' " école des flâneurs salariés '.
J'espère m'être rapproché d'eux, comme j'espère ne pas décevoir Gilles Vigneault, qui m'a offert le titre de l'une de ses chansons qui parlent le mieux des autres. " Ph. M.