Les filles de Jeanne. Histoires de vies anonymes, 1658 - 1915
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN978-2-89091-887-0
- EAN9782890918870
- Date de parution16/04/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions du remue-ménage
Résumé
L'itinéraire de ces discrètes filles de Jeanne nous rappelle que l'histoire d'un peuple n'est pas que le fruit des décisions politiques et économiques. Elle est construite par une infinité de « petites gens », d'acteurs, et surtout d'actrices trop souvent considérées comme « sans qualité ».
Ce récit a bien peu à voir avec le monde politique. Il s'attarde plutôt à l'histoire de paysannes ordinaires, et c'est une même lignée de femmes que l'on suivra, sur trois siècles et dix générations.
Tout commence avec Jeanne Perrin, partie de La Rochelle en 1658 pour travailler comme domestique au Cap-de-la-Madeleine. Puis d'une Madeleine à l'autre, d'une Agathe à l'autre, Andrée Lévesque suit les descendantes de Jeanne, jusqu'à Maria Mélançon Brisson, décédée au Témiscamingue en 1915. Ces anonymes ont heureusement laissé quelques traces dans des contrats notariés, des recensements ou des archives judiciaires, qui ont permis à l'historienne de les mettre en scène, de reconstituer leur vie, en conjecturant un peu, en imaginant parfois, avec en toile de fond le contexte économique et politique de leur époque.
Ces cultivatrices, le plus souvent analphabètes et mères de famille nombreuse, avaient plus qu'une histoire singulière. Elles ont façonné l'histoire.
Tout commence avec Jeanne Perrin, partie de La Rochelle en 1658 pour travailler comme domestique au Cap-de-la-Madeleine. Puis d'une Madeleine à l'autre, d'une Agathe à l'autre, Andrée Lévesque suit les descendantes de Jeanne, jusqu'à Maria Mélançon Brisson, décédée au Témiscamingue en 1915. Ces anonymes ont heureusement laissé quelques traces dans des contrats notariés, des recensements ou des archives judiciaires, qui ont permis à l'historienne de les mettre en scène, de reconstituer leur vie, en conjecturant un peu, en imaginant parfois, avec en toile de fond le contexte économique et politique de leur époque.
Ces cultivatrices, le plus souvent analphabètes et mères de famille nombreuse, avaient plus qu'une histoire singulière. Elles ont façonné l'histoire.
L'itinéraire de ces discrètes filles de Jeanne nous rappelle que l'histoire d'un peuple n'est pas que le fruit des décisions politiques et économiques. Elle est construite par une infinité de « petites gens », d'acteurs, et surtout d'actrices trop souvent considérées comme « sans qualité ».
Ce récit a bien peu à voir avec le monde politique. Il s'attarde plutôt à l'histoire de paysannes ordinaires, et c'est une même lignée de femmes que l'on suivra, sur trois siècles et dix générations.
Tout commence avec Jeanne Perrin, partie de La Rochelle en 1658 pour travailler comme domestique au Cap-de-la-Madeleine. Puis d'une Madeleine à l'autre, d'une Agathe à l'autre, Andrée Lévesque suit les descendantes de Jeanne, jusqu'à Maria Mélançon Brisson, décédée au Témiscamingue en 1915. Ces anonymes ont heureusement laissé quelques traces dans des contrats notariés, des recensements ou des archives judiciaires, qui ont permis à l'historienne de les mettre en scène, de reconstituer leur vie, en conjecturant un peu, en imaginant parfois, avec en toile de fond le contexte économique et politique de leur époque.
Ces cultivatrices, le plus souvent analphabètes et mères de famille nombreuse, avaient plus qu'une histoire singulière. Elles ont façonné l'histoire.
Tout commence avec Jeanne Perrin, partie de La Rochelle en 1658 pour travailler comme domestique au Cap-de-la-Madeleine. Puis d'une Madeleine à l'autre, d'une Agathe à l'autre, Andrée Lévesque suit les descendantes de Jeanne, jusqu'à Maria Mélançon Brisson, décédée au Témiscamingue en 1915. Ces anonymes ont heureusement laissé quelques traces dans des contrats notariés, des recensements ou des archives judiciaires, qui ont permis à l'historienne de les mettre en scène, de reconstituer leur vie, en conjecturant un peu, en imaginant parfois, avec en toile de fond le contexte économique et politique de leur époque.
Ces cultivatrices, le plus souvent analphabètes et mères de famille nombreuse, avaient plus qu'une histoire singulière. Elles ont façonné l'histoire.







