Les femmes en guerre, 1939-1945. Les oubliées de l'histoire
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- Nombre de pages172
- FormatePub
- ISBN2-402-03829-2
- EAN9782402038294
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Mart...
Résumé
Albert Oriol a choisi le pseudonyme Maloire (Ma-Loire) en témoignage de fidélité à la terre forézienne. Il a 20 ans, à la déclaration de guerre en septembre 1939. Chef d'un groupe franc, il est grièvement blessé lors de l'offensive du 10 mai 1940. À son réveil après opération, c'est le sourire apaisant d'une infirmière, dans l'hôpital de campagne de Metz. Et ce seront les soins attentifs d'un personnel féminin à Sainte-Marie des Champs (Toulouse) qui assureront son rétablissement.
En 1944, à Roanne, son groupe est éclaté. C'est une de ses agents de liaison qui - revêtue de la cape de la Croix Rouge - lui permet d'échapper en ambulance à l'étreinte policière malgré deux barrages successifs dressés sur l'itinéraire en direction de Saint-Étienne. Les activités opérationnelles de son maquis « G. M. O. 18 juin » lui permettront de découvrir l'attitude courageuse de l'infirmière mais aussi de plusieurs autres volontaires féminines.
À travers une expérience personnelle, Albert Oriol-Maloire retrace le trop discret chemin de certaines de ces « Oubliées de l'Histoire ». Hommage admiratif rendu tant à celles des combats de l'ombre qu'à celles de la reconquête, sans oublier le drame douloureux vécu par d'autres dans les camps de concentration... Un témoignage de reconnaissance et de réhabilitation aussi...
En 1944, à Roanne, son groupe est éclaté. C'est une de ses agents de liaison qui - revêtue de la cape de la Croix Rouge - lui permet d'échapper en ambulance à l'étreinte policière malgré deux barrages successifs dressés sur l'itinéraire en direction de Saint-Étienne. Les activités opérationnelles de son maquis « G. M. O. 18 juin » lui permettront de découvrir l'attitude courageuse de l'infirmière mais aussi de plusieurs autres volontaires féminines.
À travers une expérience personnelle, Albert Oriol-Maloire retrace le trop discret chemin de certaines de ces « Oubliées de l'Histoire ». Hommage admiratif rendu tant à celles des combats de l'ombre qu'à celles de la reconquête, sans oublier le drame douloureux vécu par d'autres dans les camps de concentration... Un témoignage de reconnaissance et de réhabilitation aussi...
Albert Oriol a choisi le pseudonyme Maloire (Ma-Loire) en témoignage de fidélité à la terre forézienne. Il a 20 ans, à la déclaration de guerre en septembre 1939. Chef d'un groupe franc, il est grièvement blessé lors de l'offensive du 10 mai 1940. À son réveil après opération, c'est le sourire apaisant d'une infirmière, dans l'hôpital de campagne de Metz. Et ce seront les soins attentifs d'un personnel féminin à Sainte-Marie des Champs (Toulouse) qui assureront son rétablissement.
En 1944, à Roanne, son groupe est éclaté. C'est une de ses agents de liaison qui - revêtue de la cape de la Croix Rouge - lui permet d'échapper en ambulance à l'étreinte policière malgré deux barrages successifs dressés sur l'itinéraire en direction de Saint-Étienne. Les activités opérationnelles de son maquis « G. M. O. 18 juin » lui permettront de découvrir l'attitude courageuse de l'infirmière mais aussi de plusieurs autres volontaires féminines.
À travers une expérience personnelle, Albert Oriol-Maloire retrace le trop discret chemin de certaines de ces « Oubliées de l'Histoire ». Hommage admiratif rendu tant à celles des combats de l'ombre qu'à celles de la reconquête, sans oublier le drame douloureux vécu par d'autres dans les camps de concentration... Un témoignage de reconnaissance et de réhabilitation aussi...
En 1944, à Roanne, son groupe est éclaté. C'est une de ses agents de liaison qui - revêtue de la cape de la Croix Rouge - lui permet d'échapper en ambulance à l'étreinte policière malgré deux barrages successifs dressés sur l'itinéraire en direction de Saint-Étienne. Les activités opérationnelles de son maquis « G. M. O. 18 juin » lui permettront de découvrir l'attitude courageuse de l'infirmière mais aussi de plusieurs autres volontaires féminines.
À travers une expérience personnelle, Albert Oriol-Maloire retrace le trop discret chemin de certaines de ces « Oubliées de l'Histoire ». Hommage admiratif rendu tant à celles des combats de l'ombre qu'à celles de la reconquête, sans oublier le drame douloureux vécu par d'autres dans les camps de concentration... Un témoignage de reconnaissance et de réhabilitation aussi...