Les esclaves noirs en France sous l'Ancien Régime (XVIe-XVIIIe siècles)
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- Nombre de pages164
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-20602-1
- EAN9782296206021
- Date de parution01/09/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Par ce regard vers le passé, l'auteur veut inviter les Africains à découvrir d'abord ce maillon de l'histoire bien souvent ignoré ou tout simplement mis de côté et à réveiller la mémoire française qui n'ose pas faire ce pas, bien que cette étape fasse partie intégrante de son histoire aussi. En effet, l'histoire d'une immense partie de l'Afrique et celle de la France sont liées depuis quelques siècles.
Marcel Koufinkana est d'autant plus sensible au sujet de la traite qu'il est issu d'une enclave, le bassin du Congo, d'où sont partis plus d'un million d'esclaves. Méthodique et chercheur obstiné, il a effectué une véritable quête documentaire dont les résultats lui ont permis d'animer des conférences dans toute la France et particulièrement dans les lycées, sur un sujet effacé des programmes scolaires.
Artiste aussi, engagé, passionné et vivant intensément le pluralisme culturel, il a su, au travers des chants, des percussions et de la danse, partager sa culture avec l'autre " différent ", jusqu'aux contrées les plus reculées de France avec le groupe auquel il était attaché : le Ballet Kongo. Le fruit de ses recherches sur l'esclavage fait de l'histoire une mémoire vivante, un chemin qui éclaire l'avenir.
Et si l'oeuvre artistique n'est jamais achevée, chez Ken ou Koufken, tel que nous aimions l'appeler, nous avons le témoignage de l'historien accompli.
Marcel Koufinkana est d'autant plus sensible au sujet de la traite qu'il est issu d'une enclave, le bassin du Congo, d'où sont partis plus d'un million d'esclaves. Méthodique et chercheur obstiné, il a effectué une véritable quête documentaire dont les résultats lui ont permis d'animer des conférences dans toute la France et particulièrement dans les lycées, sur un sujet effacé des programmes scolaires.
Artiste aussi, engagé, passionné et vivant intensément le pluralisme culturel, il a su, au travers des chants, des percussions et de la danse, partager sa culture avec l'autre " différent ", jusqu'aux contrées les plus reculées de France avec le groupe auquel il était attaché : le Ballet Kongo. Le fruit de ses recherches sur l'esclavage fait de l'histoire une mémoire vivante, un chemin qui éclaire l'avenir.
Et si l'oeuvre artistique n'est jamais achevée, chez Ken ou Koufken, tel que nous aimions l'appeler, nous avons le témoignage de l'historien accompli.
Par ce regard vers le passé, l'auteur veut inviter les Africains à découvrir d'abord ce maillon de l'histoire bien souvent ignoré ou tout simplement mis de côté et à réveiller la mémoire française qui n'ose pas faire ce pas, bien que cette étape fasse partie intégrante de son histoire aussi. En effet, l'histoire d'une immense partie de l'Afrique et celle de la France sont liées depuis quelques siècles.
Marcel Koufinkana est d'autant plus sensible au sujet de la traite qu'il est issu d'une enclave, le bassin du Congo, d'où sont partis plus d'un million d'esclaves. Méthodique et chercheur obstiné, il a effectué une véritable quête documentaire dont les résultats lui ont permis d'animer des conférences dans toute la France et particulièrement dans les lycées, sur un sujet effacé des programmes scolaires.
Artiste aussi, engagé, passionné et vivant intensément le pluralisme culturel, il a su, au travers des chants, des percussions et de la danse, partager sa culture avec l'autre " différent ", jusqu'aux contrées les plus reculées de France avec le groupe auquel il était attaché : le Ballet Kongo. Le fruit de ses recherches sur l'esclavage fait de l'histoire une mémoire vivante, un chemin qui éclaire l'avenir.
Et si l'oeuvre artistique n'est jamais achevée, chez Ken ou Koufken, tel que nous aimions l'appeler, nous avons le témoignage de l'historien accompli.
Marcel Koufinkana est d'autant plus sensible au sujet de la traite qu'il est issu d'une enclave, le bassin du Congo, d'où sont partis plus d'un million d'esclaves. Méthodique et chercheur obstiné, il a effectué une véritable quête documentaire dont les résultats lui ont permis d'animer des conférences dans toute la France et particulièrement dans les lycées, sur un sujet effacé des programmes scolaires.
Artiste aussi, engagé, passionné et vivant intensément le pluralisme culturel, il a su, au travers des chants, des percussions et de la danse, partager sa culture avec l'autre " différent ", jusqu'aux contrées les plus reculées de France avec le groupe auquel il était attaché : le Ballet Kongo. Le fruit de ses recherches sur l'esclavage fait de l'histoire une mémoire vivante, un chemin qui éclaire l'avenir.
Et si l'oeuvre artistique n'est jamais achevée, chez Ken ou Koufken, tel que nous aimions l'appeler, nous avons le témoignage de l'historien accompli.