Les éditocrates. Tome 2, Le cauchemar continue

Par : Sébastien Fontenelle, Mona Chollet, Laurence de Cock, Olivier Cyran
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  • Nombre de pages148
  • FormatePub
  • ISBN978-2-348-03552-4
  • EAN9782348035524
  • Date de parution05/04/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurLa Découverte

Résumé

Ils sont partout : dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur les réseaux sociaux, du matin au soir et du soir au matin, sur tous les tons et par tous les temps, ils débitent tous (à peu près) les mêmes poncifs tout en s'autofélicitant de briser des non-dits?. Nouvel état des lieux des éditocrates français. Ils sont partout : dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur les réseaux sociaux.
Du matin au soir et du soir au matin, sur tous les tons et par tous les temps, ils débitent tous (à peu près) les mêmes poncifs en s'(auto)félicitant de lever les non-dits. Se flattant sur les plateaux de tenir un discours " incorrect ", ils accusent gravement leurs adversaires d'étouffer le " débat " par leur omniprésence... Publié en 2009, Les Éditocrates, ou comment parler de (presque) tout en racontant (vraiment) n'importe quoi faisait le portrait savoureux de dix de ces prophètes des temps modernes.
Près de dix ans plus tard, il était urgent de compléter la galerie. Car le cauchemar continue. Avec la prolifération des canaux de diffusion (chaînes de télé, Facebook, Twitter, etc.), la corporation éditocratique s'est partiellement renouvelée : elle s'est (légèrement) rajeunie et (un peu) féminisée. Mais surtout : elle s'est dangereusement radicalisée. L'éditocratie a toujours des avis sur (presque) tout.
Mais, plus obsessionnelle que jamais, elle s'acharne sur celles et ceux qui ne lui ressemblent pas, et qui incarnent par conséquent le mal absolu : " le chômeur ", " le syndicaliste ", " le migrant ", " le musulman "... S'appuyant sur des démonstrations d'où le réel a été complètement banni, les éditocrates, toujours insensibles aux contestations citoyennes de leur magistère, continuent donc de fabriquer du consentement.
Mais c'est avec une brutalité et un cynisme largement inédits qu'ils ouvrent aujourd'hui au formatage des esprits. Jusqu'à quand ?
Ils sont partout : dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur les réseaux sociaux, du matin au soir et du soir au matin, sur tous les tons et par tous les temps, ils débitent tous (à peu près) les mêmes poncifs tout en s'autofélicitant de briser des non-dits?. Nouvel état des lieux des éditocrates français. Ils sont partout : dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur les réseaux sociaux.
Du matin au soir et du soir au matin, sur tous les tons et par tous les temps, ils débitent tous (à peu près) les mêmes poncifs en s'(auto)félicitant de lever les non-dits. Se flattant sur les plateaux de tenir un discours " incorrect ", ils accusent gravement leurs adversaires d'étouffer le " débat " par leur omniprésence... Publié en 2009, Les Éditocrates, ou comment parler de (presque) tout en racontant (vraiment) n'importe quoi faisait le portrait savoureux de dix de ces prophètes des temps modernes.
Près de dix ans plus tard, il était urgent de compléter la galerie. Car le cauchemar continue. Avec la prolifération des canaux de diffusion (chaînes de télé, Facebook, Twitter, etc.), la corporation éditocratique s'est partiellement renouvelée : elle s'est (légèrement) rajeunie et (un peu) féminisée. Mais surtout : elle s'est dangereusement radicalisée. L'éditocratie a toujours des avis sur (presque) tout.
Mais, plus obsessionnelle que jamais, elle s'acharne sur celles et ceux qui ne lui ressemblent pas, et qui incarnent par conséquent le mal absolu : " le chômeur ", " le syndicaliste ", " le migrant ", " le musulman "... S'appuyant sur des démonstrations d'où le réel a été complètement banni, les éditocrates, toujours insensibles aux contestations citoyennes de leur magistère, continuent donc de fabriquer du consentement.
Mais c'est avec une brutalité et un cynisme largement inédits qu'ils ouvrent aujourd'hui au formatage des esprits. Jusqu'à quand ?