Les dramaturges femmes dans l'Espagne contemporaine. La tragique au féminin
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- Nombre de pages304
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45883-3
- EAN9782296458833
- Date de parution01/04/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
"Impossible de définir une pratique féminine de l'écriture, d'une impossibilité qui se maintiendra car on ne pourra jamais la théoriser, l'enfermer, la coder, ce qui ne signifie pas qu'elle n'existe pas" (Hélène Cixous). Conscient de ce paradoxe fondateur, cet ouvrage se propose, non pas de définir la différence entre le théâtre des dramaturges espagnoles actuelles et celui de leurs homologues masculins, mais d'explorer les manifestations récurrentes du tragique chez des écrivaines telles que Lluïsa Cunillé, Beth Escudé, Itziar Pascual, Gracia Morales ou Angélica Liddell.
Entre la résistance des modalités formelles du théâtre mimétique et les velléités d'autonomisation du signifiant ; entre les modèles "du refus" des théâtres de la rupture et les éclatements postmodernes d'un théâtre performatif ; entre l'impulsion dionysiaque et la plastique apollinienne nietzschéennes, il apparaît que l'esthétique des dramaturgies féminines espagnoles contemporaines est foncièrement polymorphe, et qu'elle véhicule un tragique dont on ne sait in fine discerner avec clarté s'il est le syndrome d'une désespérance ou le terreau sur lequel s'enracinent les herbes joyeuses d'un espoir nouveau.
Entre la résistance des modalités formelles du théâtre mimétique et les velléités d'autonomisation du signifiant ; entre les modèles "du refus" des théâtres de la rupture et les éclatements postmodernes d'un théâtre performatif ; entre l'impulsion dionysiaque et la plastique apollinienne nietzschéennes, il apparaît que l'esthétique des dramaturgies féminines espagnoles contemporaines est foncièrement polymorphe, et qu'elle véhicule un tragique dont on ne sait in fine discerner avec clarté s'il est le syndrome d'une désespérance ou le terreau sur lequel s'enracinent les herbes joyeuses d'un espoir nouveau.
"Impossible de définir une pratique féminine de l'écriture, d'une impossibilité qui se maintiendra car on ne pourra jamais la théoriser, l'enfermer, la coder, ce qui ne signifie pas qu'elle n'existe pas" (Hélène Cixous). Conscient de ce paradoxe fondateur, cet ouvrage se propose, non pas de définir la différence entre le théâtre des dramaturges espagnoles actuelles et celui de leurs homologues masculins, mais d'explorer les manifestations récurrentes du tragique chez des écrivaines telles que Lluïsa Cunillé, Beth Escudé, Itziar Pascual, Gracia Morales ou Angélica Liddell.
Entre la résistance des modalités formelles du théâtre mimétique et les velléités d'autonomisation du signifiant ; entre les modèles "du refus" des théâtres de la rupture et les éclatements postmodernes d'un théâtre performatif ; entre l'impulsion dionysiaque et la plastique apollinienne nietzschéennes, il apparaît que l'esthétique des dramaturgies féminines espagnoles contemporaines est foncièrement polymorphe, et qu'elle véhicule un tragique dont on ne sait in fine discerner avec clarté s'il est le syndrome d'une désespérance ou le terreau sur lequel s'enracinent les herbes joyeuses d'un espoir nouveau.
Entre la résistance des modalités formelles du théâtre mimétique et les velléités d'autonomisation du signifiant ; entre les modèles "du refus" des théâtres de la rupture et les éclatements postmodernes d'un théâtre performatif ; entre l'impulsion dionysiaque et la plastique apollinienne nietzschéennes, il apparaît que l'esthétique des dramaturgies féminines espagnoles contemporaines est foncièrement polymorphe, et qu'elle véhicule un tragique dont on ne sait in fine discerner avec clarté s'il est le syndrome d'une désespérance ou le terreau sur lequel s'enracinent les herbes joyeuses d'un espoir nouveau.